Au moins 421 personnes ont été interpellées en France dans la nuit de jeudi à vendredi, dont 242 en région parisienne, a annoncé le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin
Après avoir dénoncé une «instrumentalisation inacceptable de la mort d'un adolescent», Emmanuel Macron a annoncé «des moyens supplémentaires» déployés par le ministère de l'Intérieur, sans toutefois déclarer l’état d’urgence
Depuis mardi plane dans tous les esprits le souvenir des trois semaines d'émeutes de 2005, quand les banlieues des grandes villes s'étaient enflammées après la mort de deux adolescents, électrocutés dans un transformateur en tentant d'échapper à la police
En 2005, le président de droite Jacques Chirac et son ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy avaient décrété l'état d'urgence ; des appels à en faire autant ont été lancés jeudi à droite et à l'extrême droite
« Les recherches se poursuivent pour retrouver les deux disparus», selon un communiqué de la préfecture d'Ancône. Il s'agit selon la presse locale d'un enfant de huit ans et d'une femme de 56 ans
Des trombes d'eau, l'équivalent de six mois de précipitations par endroit, se sont abattues sur les Marches, provoquant inondations et torrents de boue
L'opposition, majoritaire mais divisée au sein de l'Assemblée, rend le président responsable de la «grave crise politique» qui secoue le pays depuis le 13 juin, avec des manifestations et blocages de rue quotidiens
Samedi soir, le président Lasso a mis fin à l'état d'urgence déclaré il y a huit jours dans six des 24 provinces du pays
Le Premier ministre a aussi défendu son choix, vivement critiqué par l'opposition, d'invoquer il y a une semaine une loi d'exception, la loi sur les mesures d'urgence
« Même si les blocages sont levés à travers le pays et que les frontières sont ouvertes en ce moment, même si les choses semblent très bien se résoudre à Ottawa, cet état d'urgence n'est pas terminé »
Le président Saïed entend assainir et moraliser la vie politique et économique avant les prochaines élections
Le président tunisien est resté sur sa position au sujet des partis politiques et des organisations nationales, qu’il n’entend pas associer à l’élaboration des projets de réforme
Réinstauré depuis le 25 avril à Tokyo et trois autres départements de l'ouest du pays (Osaka, Kyoto et Hyogo), l'état d'urgence devrait être prolongé jusqu'au 31 mai, alors qu'il devait initialement prendre fin mardi prochain
Le Japon est confronté à une quatrième vague locale du coronavirus, avec actuellement quelque 5.300 nouveaux cas quotidiens en moyenne hebdomadaire