Le groupe djihadiste a intensifié récemment ses attaques en Syrie, notamment depuis la badia, le vaste désert syrien où ses combattants sont repliés après la perte en 2019 des vastes territoires qu'il contrôlait dans ce pays
Une autre attaque du groupe ultraradical avait causé la mort d'au moins 14 militaires du régime le 9 janvier
Les deux infractions retenues sont le financement d'entreprises terroristes et le non-respect de sanctions financières internationales
Le groupe est soupçonné d'avoir versé en 2013 et 2014, via sa filiale syrienne Lafarge Cement Syria (LCS), cinq millions d'euros à des groupes djihadistes, dont l'organisation Etat islamique (EI)
Quatre étudiants qui louaient le sous-sol du bâtiment, une femme qui se trouvait au premier étage et son fils figurent parmi les morts, ainsi qu'un civil non identifié, a précisé l'OSDH
Un Syrien travaillant avec le Hezbollah et un combattant pro-Iran, dont la nationalité et l'affiliation n'ont pas été identifiées par l'ONG, ont également été tués
La Turquie avait mené à la mi-janvier des frappes contre les combattants kurdes dans le nord de l'Irak et de la Syrie
Dans la Syrie en guerre depuis 2011, les combats ont parfois ravagé les infrastructures pétrolières, cibles des convoitises des différents belligérants.
Dix personnes, dont deux combattants du Hezbollah libanais et six civils, ont été tuées dans des frappes israéliennes sur la ville de Homs dans le centre de la Syrie
Les raids menés dans la nuit de mardi à mercredi ont notamment visé un immeuble dans un quartier résidentiel de Homs, qui s'est complètement effondré
Le département d'État américain affirme que l'Irak n'a reçu aucune «pré-notification» des frappes américaines effectuées dans le pays vendredi
Le porte-parole Vedant Patel a déclaré aux journalistes que «l'Irak, comme tous les pays de la région, a compris qu'il y aurait une réponse après la mort de nos soldats»