Flirtant avec les 3 000 milliards d'euros et en hausse en valeur absolue, le ratio de dette publique avait toutefois reculé à 111,6% du produit intérieur brut (PIB) en 2022, contre 112,9% l'année précédente, grâce à une croissance économique dynamique
L'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) doit aussi dire si l'inflation a poursuivi en juin le ralentissement amorcé le mois précédent, quand elle s'était établie à 5,1% sur un an
Entre 2011 et 2017, «les versements aux actionnaires et les dépenses par salarié.e évoluent de manière conjointe» avant une «nette rupture» en 2018, souligne Oxfam
Outre le déséquilibre dans le partage de la valeur, l'ONG regrette le manque d'investissement de ces entreprises, notamment dans la transition énergétique
«Les gens n'arrivent même plus à acheter les produits alimentaires de base, comment voulez qu'ils s'offrent une bête», soupire un client
La trêve et de récents efforts diplomatiques ont offert une bouffée d'oxygène aux 30 millions d'habitants, mais le soulagement et l'espoir ont été de courte durée
Cette année et à l'instar de tant d'autres produits de consommation, le prix du mouton «sacrifiable» a augmenté à au moins 1 000 dinars (300 euros), soit plus que le double du salaire minimum dans ce pays du Maghreb
Selon le président de la Chambre syndicale nationale des bouchers, Ahmed Laamiri, la hausse des prix des moutons s'explique aussi par un cheptel en décroissance en raison de la sécheresse
Les plus importants terminaux pétroliers de la Libye se trouvent dans l'est du pays, sous le contrôle d'un exécutif parallèle soutenu par Khalifa Haftar, l'homme fort de cette vaste région
Les recettes du pétrole, principale source de revenus du pays, sont en revanche gérées par la Compagnie nationale de pétrole (NOC) et la Banque centrale, basées à Tripoli (ouest)
Tombée en récession cet hiver, l'économie allemande devrait finir l'année dans le rouge, en queue de peloton des pays de la zone euro
Le gouvernement est encore le seul à tabler sur une croissance du produit intérieur brut (PIB) en 2023, quand les principaux instituts économiques et le FMI s'attendent désormais à un recul estimé entre 0,2 et 0,4%