Les enquêteurs estiment qu'un "consortium" de groupes criminels sont à la manœuvre, car les 85 millions de comprimés peuvent satisfaire un marché de taille européenne.
Produit initialement au Liban, la police italienne souligne que le captagon, vendu dans tout le Moyen-Orient, "est très répandu chez les combattants pour inhiber la peur et la douleur".