Le Caire évoque un «droit historique» sur le fleuve, garanti depuis le traité signé en 1929 entre l'Egypte et le Soudan représenté par la Grande-Bretagne, puissance coloniale
Le Nil Bleu, qui prend sa source en Ethiopie, rejoint le Nil Blanc à Khartoum pour former le Nil qui traverse le Soudan et l'Egypte avant de se jeter en Méditerranée
L’Égypte craint que le barrage du Gerd ne menace son approvisionnement en eau du Nil
Le gouvernement saoudien a réitéré son appui à une solution négociée, dans un cadre international, et en accord avec l’Union africaine (UA) et la Ligue arabe,
L’ONU exhorte l’Éthiopie, le Soudan et l’Égypte à renouveler leur engagement pour éviter toute action unilatérale liée à l’exploitation d’un barrage hydroélectrique
Il n’y a tout simplement pas suffisamment d’eau pour répondre aux besoins croissants des onze pays qui dépendent du bassin du Nil
Le ministre égyptien des Affaires étrangères, Sameh Choukry, a discuté du deuxième remplissage imminent du barrage sur le Nil Bleu avec le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres
Le Soudan, quant à lui, s’inquiète au sujet de la sécurité du barrage et des flux d’eau dans ses propres installations
Le Soudan et surtout l'Egypte en aval du fleuve voient ce barrage en cours de construction comme une menace pour leurs ressources en eau et multiplient les mises en garde contre l'Ethiopie
Le grand barrage de la renaissance éthiopienne (GERD) est une source de tensions entre les trois pays depuis la pose de la première pierre en avril 2011