Le Haut-Commissaire de l'ONU aux droits de l'homme est "choqué" par les propos du ministre israélien des Finances, Bezalel Smotrich
Le Haut-Commissaire, Volker Türk, "est choqué et consterné par les propos du ministre, selon lequel il serait justifié et moral de laisser mourir de faim 2 millions de Palestiniens à Gaza pour libérer des otages"
Le rôle de la Force de maintien de la paix de l'ONU au Liban, la FINUL, est aujourd'hui "plus important que jamais", a déclaré à l'AFP le secrétaire général adjoint aux opérations de paix, Jean-Pierre Lacroix.
"C'est le seul canal de liaison entre la partie israélienne et la partie libanaise dans toutes ses composantes, comme le Hezbollah".
Selon un rapport de Semafor, le responsable de l'information du WSJ a admis dans un courriel que l'article manquait de preuves solides, mais qu'il n'était ni inexact ni trompeur.
Le WSJ a affirmé que le personnel de l'UNRWA avait participé à l'attaque du 7 octobre, une affirmation largement démentie par les organisations internationales.
La Jordanie a condamné l'assassinat à Téhéran, en Iran, le qualifiant de crime qui risque d'enflammer les tensions régionales.
Il a appelé à une action internationale concrète et à des positions claires qui empêcheraient le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et les "ministres extrémistes et racistes" de son gouvernement d'aggraver encore les tensions.
Mahmoud Bassal, porte-parole de la Défense civile de Gaza, a fait état dans un communiqué de "10 martyrs et plusieurs blessés à la suite d'un bombardement israélien sur l'école Hamama"
Il a ajouté que le complexe abritait des personnes déplacées par la guerre dans la bande de Gaza
Le Guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a promis de se venger d'Israël après l'assassinat du chef politique du Hamas, déclarant qu'Israël « s'est préparé un châtiment sévère ».
Sami Abu Zuhri, haut responsable du Hamas, a déclaré à Reuters : « L'assassinat du frère Haniyeh par l'occupant israélien est une grave escalade qui vise à briser la volonté du Hamas.
Le ministre des Affaires étrangères a lancé un examen des allégations de crimes de guerre à Gaza.
Le procureur général a visité Israël la semaine dernière pour expliquer le changement de position du gouvernement sur la demande de mandat d’arrêt de Netanyahu.