Les opérations de maintien de la paix ne peuvent pas être un succès quand il n'y a pas de paix à maintenir», a insisté Antonio Guterres
Dans ce contexte, il appelle à une «réflexion globale sur l'avenir des opérations de maintien de la paix de l'ONU», évoquant des modèles plus «souples», avec des «stratégies de sortie appropriées»
«Des centaines de millions de personnes font face à la faim et les consommateurs sont confrontés à une crise mondiale du coût de la vie. Ils vont payer le prix», a insisté le secrétaire général de l'ONU
Dans ce contexte, Antonio Guterres s'est également dit déçu que sa lettre adressée la semaine dernière au président russe Vladimir Poutine pour tenter de trouver un accord ait été «ignorée»
En janvier, le Conseil de sécurité a prolongé de six mois le mécanisme transfrontalier qui permet l'acheminement d'aide, par le point de passage de Bab al-Hawa, sans passer par le régime syrien de Bachar Al-Assad
L'autorisation expire le 10 juillet et «le secrétaire général (Antonio Guterres) a été clair sur le besoin de la renouveler, pour couvrir 12 mois, et pour inclure tous les autres points de passage pour faciliter l'aide humanitaire vers le Nord-ouest
Le 16 juin, prenant tout le monde par surprise, le ministre malien des Affaires étrangères Abdoulaye Diop, dénonçant l'"échec" de la mission de l'ONU (Minusma), avait exigé devant le Conseil de sécurité son "retrait sans délai"
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres avait pourtant début juin jugé le maintien de la présence de la Minusma "inestimable"
Depuis vendredi à Paris, le prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane, présidera la délégation lors de cet événement d’envergure
L’objectif est de trouver un consensus pour proposer un système financier international plus solidaire et susceptible de faire face aux nombreux défis qui se présentent au monde
Le rapport annuel du secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres répertorie les violations des droits des enfants dans une vingtaine de zones de conflits dans le monde et liste en annexe les responsables de ces violations, qui incluent enfants tués et mu
De manière générale, Antonio Guterres «reste très préoccupé par l'ampleur et la gravité des violations des droits des enfants» dans les pays passés en revue, notamment République démocratique du Congo (RDC), Somalie ou Syrie