Des estimations récentes indiquent qu'entre 1 500 et 2 000 hommes ont rejoint les troupes de mercenaires pour se rendre en Azerbaïdjan
Les chiffres officiels font état de près de 3 000 morts du côté azéri. L'Azerbaïdjan refuse toutefois d’admettre que des Syriens fassent partie des morts
Réunis derrière une banderole proclamant «Aidez-nous à retrouver nos prisonniers», les manifestants parmi lesquels plusieurs célébrités ont défilé dans le centre de la capitale arménienne
«Nous demandons une action immédiate pour résoudre ce problème. Mais les autorités disent que cela ne dépend pas d'elles, que cela dépend des Azerbaïdjanais»
Cet accord consacre des victoires militaires azerbaïdjanaises importantes dans cette région montagneuse du Caucase, aujourd'hui peuplée quasi exclusivement d'Arméniens, qui a fait sécession de l'Azerbaïdjan après une guerre dans les années 1990
L'annonce a entraîné des manifestations de joie en Azerbaïdjan et de colère en Arménie, où des manifestants ont envahi dans la nuit le siège du gouvernement et du Parlement
Le Premier ministre arménien Nikol Pachinian a demandé samedi au président Vladimir Poutine d'entamer des consultations « urgentes » sur une potentielle aide sécuritaire russe
La Russie a répondu qu'elle apporterait à Erevan toute l'assistance nécessaire si les affrontements gagnaient le territoire arménien, le pacte de défense ne s'étendant pas à la région sécessionniste du Nagorny Karabakh
Un journaliste de l'AFP présent à Barda a vu des magasins et bâtiments détruits, le sol jonché de débris, tandis que des habitants se rassemblaient autour pour constater les dégâts
Erevan a immédiatement démenti avoir mené cette attaque, la deuxième en deux jours ayant tué des civils dans la région de Barda
Alors que les litiges en Méditerranée orientale entre la Turquie et ses voisins battent leur plein et que la crise du Liban continue à mobiliser Paris, une guerre s’est déclarée dans le sud du Caucase dans le Haut-Karabakh
Macron, qui déplore le recul des relations transatlantiques et «la mort cérébrale de l’OTAN» sous Trump, constate combien une action européenne commune face aux grandes crises internationales est difficile