«Il est du devoir des Etats de vérifier que des entreprises comme le Groupe NSO ne vendent pas ou ne transfèrent pas de technologies à des Etats et des entités susceptibles de les utiliser pour violer les droits humains»
Les experts de l'ONU exhortent Israël «à divulguer pleinement les mesures qu'il a prises pour examiner les transactions d'exportation de NSO à la lumière de ses propres obligations en matière de droits humains»
Le Maroc, accusé d'avoir eu recours au logiciel d'espionnage Pegasus, multiplie les attaques judiciaires en France contre les média ayant révélé ou dénoncé l'affaire, notamment via des procédures en diffamation à la recevabilité toutefois très incertaine
Une première audience procédurale est prévue le 15 octobre devant la chambre spécialisée en droit de la presse, mais si un procès se tenait, il ne devrait pas avoir lieu avant environ deux ans
Novalpina avait racheté en 2019 NSO, connue pour son logiciel espion Pegasus, au cœur d'un scandale mondial d'espionnage
La dissolution de Novalpina a été officiellement décidée pour mettre fin à une «guerre interne» entre dirigeants de la société londonienne, selon un proche cité par Les Echos
Une vidéo diffusée sur le site de la télévision d'État montrait des armes et des grenades, dont des fusils AK-47 et des pistolets empilés à l'arrière d'un SUV blanc
L'Iran impute régulièrement la violence lors de manifestations à ses ennemis, principalement les États-Unis, Israël, ainsi que les Moudjahidine du peuple
Le ministre israélien de la Défense, Benny Gantz, se rendra mercredi à Paris afin de «tenir au courant» les autorités françaises des derniers développements concernant la NSO
La société de cybersécurité israélienne dont le logiciel Pegasus est soupçonné d'avoir été utilisé pour espionner Emmanuel Macron
L'ONG alerte dans un communiqué sur «les effets dévastateurs sur les droits humains partout dans le monde d’un secteur de la cybersurveillance peu réglementé»
Les révélations du projet Pegasus «montrent clairement les dangers et les préjudices auxquels sont exposées les personnes illégalement prises pour cible», a déclaré Agnès Callamard, secrétaire générale d’Amnesty International, citée dans ce communiqué
Une source sécuritaire avait assuré mercredi que, pour les téléphones portables de M. Macron, «les paramètres de sécurité sont les plus restrictifs possibles»
L'affaire concerne une liste de 50 000 numéros de téléphone dans le monde sélectionnés depuis 2016 par les clients de l'entreprise israélienne qui commercialise Pegasus