La Turquie devrait renforcer la sécurité de ses frontières et prendre des précautions supplémentaires contre les cellules potentielles à l’intérieur du pays
La Turquie a lancé plusieurs opérations militaires transfrontalières en Syrie et dans le nord de l’Irak contre les cachettes du PKK
«Nous n'acceptons pas, nous rejetons, les condoléances de l'ambassade des Etats-Unis. Notre alliance avec un Etat qui entretient Kobané et des poches de terreur (...) doit être débattue»
La ville de Kobané est restée célèbre pour la bataille qui, en 2015, a permis aux forces kurdes soutenues par la coalition occidentale de repousser le groupe djihadiste Etat islamique
Une médecin avait réclamé une enquête indépendante sur l'emploi éventuel d'armes chimiques contre les rebelles kurdes du PKK
Ankara a dénoncé une campagne de désinformation, et le ministre turc de la Défense a assuré qu'il n'y a pas d'armes chimique dans l'inventaire des forces armées
Ces tirs nocturnes sont survenus quelques jours après que l'Irak a accusé la Turquie d'avoir bombardé le 20 juillet une station touristique dans la région du Kurdistan irakien
Après cette attaque, l'Irak a exigé que la Turquie retire ses forces de son territoire et rappelé son chargé d'affaires à Ankara, dénonçant une «violation flagrante» de sa souveraineté
L'Irak a enterré neuf vacanciers - dont un jeune marié - tués dans le bombardement d'artillerie d'un village de montagne kurde
L'Irak a accusé la Turquie voisine, qui a nié que ses troupes étaient responsables et a rejeté la faute sur les rebelles du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK)
« Nous ne nous sommes pas couchés devant (le président turc Recep Tayyip) Erdogan», a affirmé mercredi depuis Madrid la cheffe de la diplomatie suédoise Ann Linde
L'encre de l'accord à peine sèche, Ankara a immédiatement réclamé à Stockholm et Helsinki l'extradition de 33 personnes qu'elle soupçonne de « terrorisme»