Arab News partenaire média officiel de l'équipe nationale saoudienne de cricket

le président de la SACF, le prince Saud ben Mishal, remet au rédacteur en chef de Arab News le maillot de l'équipe nationale de cricket saoudienne. (Photo fournie)
le président de la SACF, le prince Saud ben Mishal, remet au rédacteur en chef de Arab News le maillot de l'équipe nationale de cricket saoudienne. (Photo fournie)
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Publié le Dimanche 04 avril 2021

Arab News partenaire média officiel de l'équipe nationale saoudienne de cricket

  • Le partenariat s'étendra également à l'édition pakistanaise d'Arab News (www.arabnews.pk), qui a été lancée en 2018. Le cricket est un sport très populaire au Pakistan
  • Une plus grande couverture du cricket sera assurée afin de promouvoir le sport, l'activité et un mode de vie sain

RIYAD - Arab News, le principal quotidien en langue anglaise d’Arabie saoudite, a été sélectionné par la fédération saoudienne de cricket comme partenaire média officiel de l’équipe nationale.

Le partenariat verra Arab News accorder une plus grande couverture aux événements de cricket aux niveaux local et international, avec l’objectif de promouvoir le sport, l'activité et un mode de vie sain parmi les citoyens du royaume et les communautés d'expatriés.

«Nous sommes heureux d’annoncer cette coopération avec Arab News qui s’est imposé depuis 1975 comme le journal de référence des anglophones du royaume», déclare le prince Saud ben Mishal Al Saud, président de la Fédération saoudienne de cricket (SACF).

«Compte tenu du succès d'Arab News dans sa transformation numérique et son expansion internationale de ces dernières années, nous sommes convaincus qu'il sera le partenaire idéal pour donner au cricket saoudien une visibilité internationale.»

«Bien que le sport lui-même ne soit pas nouveau dans le royaume, les amateurs de cricket assisteront à un renouveau avec d'impressionnants projets d'investissement dans ses infrastructures grâce au soutien officiel de haut niveau dont bénéficie la fédération dans le cadre de Vision 2030 et du programme de qualité de vie», ajoute le prince Saud.

Commentant cette coopération, Faisal J. Abbas - Rédacteur en chef de Arab News - précise : «Le cricket est un sport internationalement suivi et a une histoire profondément ancrée dans le royaume et parmi nos lecteurs.»

«Nous remercions le prince Saud et la fédération de cricket de nous avoir choisis comme partenaire média. C'est un véritable honneur pour Arab News de porter le maillot de l'équipe nationale saoudienne. Grâce à ce partenariat, nous élargirons notre couverture de ce grand sport, nous le présenterons à une nouvelle génération de lecteurs et nous dévoilerons les projets passionnants de la fédération», ajoute M. Abbas.

Le partenariat s'étendra également à l'édition pakistanaise d'Arab News (www.arabnews.pk), qui a été lancée en 2018. Le cricket est un sport très populaire au Pakistan.

 La Fédération saoudienne de cricket a été créée en 2020, tandis que l'équipe nationale de cricket d'Arabie saoudite est devenue membre affilié du Conseil international de cricket (ICC) en 2003 et membre associé en 2016.

Après être devenue membre affilié en 2003, l'Arabie saoudite a fait ses débuts au Trophée ACC 2004, un tournoi de plus de 50 ans, et a ensuite de plus en plus participé aux journées uniques de compétitions de l'Asian Cricket Council (ACC).

En février de cette année, la Fédération saoudienne de cricket a annoncé le lancement du championnat national de cricket 2021, qui a vu plus de 7 000 joueurs de cricket s'affronter dans le plus grand tournoi jamais organisé par le Royaume.

Des joueurs de 369 équipes représentant 15 associations de cricket locales devraient prendre part à la compétition au format T20 dans 11 villes - Riyad, Dammam, Jubail, Djeddah, Madinah, Yanbu, Tabuk, Abha, Jazan, Qassim et Najran.


Les États-Unis débloquent 117 millions de dollars pour les Forces libanaises

Drapeau américain agitant isolément sur fond blanc (Photo iStock)
Drapeau américain agitant isolément sur fond blanc (Photo iStock)
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  • Selon un communiqué du département d'État, ces fonds doivent aider les Forces armées libanaises (FAL) et les Forces de sécurité intérieure (FSI, chargées du maintien de l'ordre) à « garantir la souveraineté du Liban dans tout le pays ».
  • C'est ce dernier qui est à l'origine de la réunion des donateurs internationaux qui a eu lieu jeudi « avec partenaires et alliés pour évoquer le soutien crucial à la sécurité du Liban afin de pérenniser la cessation des hostilités avec Israël ».

WASHINGTON : Lles États-Unis ont annoncé  samedi le transfert de 117 millions de dollars destinés à soutenir les forces de l'ordre et l'armée libanaises, à l'issue d'une réunion de donateurs internationaux, jeudi.

Selon un communiqué du département d'État, ces fonds doivent aider les Forces armées libanaises (FAL) et les Forces de sécurité intérieure (FSI, chargées du maintien de l'ordre) à « garantir la souveraineté du Liban dans tout le pays ».

C'est ce dernier qui est à l'origine de la réunion des donateurs internationaux qui a eu lieu jeudi « avec partenaires et alliés pour évoquer le soutien crucial à la sécurité du Liban afin de pérenniser la cessation des hostilités avec Israël ».

Un cessez-le-feu a pris effet fin novembre entre le mouvement islamiste pro-iranien Hezbollah et Israël, après plus d'un an de bombardements de part et d'autre, ainsi qu'une incursion des forces israéliennes en territoire libanais à partir de fin septembre.

L'enveloppe annoncée samedi par le département d'État « démontre son engagement à continuer à travailler avec ses partenaires et alliés pour s'assurer que le Liban bénéficie du soutien nécessaire pour renforcer la sécurité du pays et de la région ».

Samedi, le président libanais, Joseph Aoun, a réclamé le retrait de l'armée israélienne « dans les délais fixés » par l'accord de cessez-le-feu.

Ce dernier prévoit le déploiement de l'armée libanaise aux côtés des Casques bleus dans le sud du pays et le retrait de l'armée israélienne dans un délai de 60 jours, soit d'ici au 26 janvier.

Le Hezbollah doit, pour sa part, retirer ses forces au nord du fleuve Litani, à environ 30 km de la frontière libano-israélienne. 


Manifestation pour revendiquer la libération de l'opposante Abir Moussi

Des partisans d'Abir Moussi, chef du Parti Destourien Libre (PDL), participent à une manifestation demandant sa libération, à Tunis le 18 janvier 2025. (Photo FETHI BELAID / AFP)
Des partisans d'Abir Moussi, chef du Parti Destourien Libre (PDL), participent à une manifestation demandant sa libération, à Tunis le 18 janvier 2025. (Photo FETHI BELAID / AFP)
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  • Plusieurs centaines de sympathisants du Parti destourien libre (PDL), qui revendique l'héritage des autocrates Bourguiba et Ben Ali, ont manifesté samedi en Tunisie pour réclamer la libération de leur dirigeante, l'opposante Abir Moussi.
  • Soupçonnée d'avoir voulu rétablir un pouvoir similaire à celui de Zine El Abidine Ben Ali, renversé en 2011 par la première révolte du Printemps arabe.

TUNIS : Plusieurs centaines de sympathisants du Parti destourien libre (PDL), qui revendique l'héritage des autocrates Bourguiba et Ben Ali, ont manifesté samedi en Tunisie pour réclamer la libération de leur dirigeante, l'opposante Abir Moussi.

Brandissant des pancartes sur lesquelles on pouvait lire « Liberté pour Abir » ou « Nous sommes des opposants, pas des traîtres ! », ils étaient entre 500 et 1 000, selon des journalistes de l'AFP. Beaucoup portaient des drapeaux tunisiens et des photos de la dirigeante du PDL.

Ils ont critiqué virulemment à la fois le président Kaïs Saied et le parti islamo-conservateur d'opposition Ennahdha. Mme Moussi, ex-députée de 49 ans, est en détention depuis son arrestation le 3 octobre 2023 devant le palais présidentiel, où, selon son parti, elle était venue déposer des recours contre des décrets de M. Saied.

Mme Moussi fait l'objet de plusieurs accusations, dont celle particulièrement grave de tentative « ayant pour but de changer la forme de l'État », soupçonnée d'avoir voulu rétablir un pouvoir similaire à celui de Zine El Abidine Ben Ali, renversé en 2011 par la première révolte du Printemps arabe.

Les manifestants ont dénoncé le décret 54 sur les « fausses nouvelles », en vertu duquel Mme Moussi est poursuivie dans cette affaire, et dont l'interprétation très large a entraîné l'incarcération depuis septembre 2022 de dizaines de politiciens, d'avocats, de militants ou de journalistes.

Pour Thameur Saad, dirigeant du PDL, emprisonner Mme Moussi pour des critiques envers l'Isie « n'est pas digne d'un pays se disant démocratique ». « Les prisons tunisiennes sont désormais remplies de victimes du décret 54 », a renchéri à l'AFP Karim Krifa, membre du comité de défense de Mme Moussi.

D'autres figures de l'opposition, dont le chef d'Ennahdha, Rached Ghannouchi, sont également emprisonnées.

Depuis le coup de force de M. Saied à l'été 2021, l'opposition et les ONG tunisiennes et étrangères ont déploré une régression des droits et des libertés en Tunisie. Le chef de l'État a été réélu à une écrasante majorité de plus de 90 % des voix le 6 octobre, lors d'un scrutin marqué toutefois par une participation très faible (moins de 30 %).


L'Égypte annonce que 50 camions-citernes de carburant entreront chaque jour dans la bande de Gaza

Le ministère palestinien de la Santé a déclaré qu'une frappe aérienne israélienne sur le camp de réfugiés de Jénine, en Cisjordanie occupée, a tué cinq personnes mardi, l'armée israélienne confirmant avoir mené une attaque dans la région. (Photo d'archives de l'AFP)
Le ministère palestinien de la Santé a déclaré qu'une frappe aérienne israélienne sur le camp de réfugiés de Jénine, en Cisjordanie occupée, a tué cinq personnes mardi, l'armée israélienne confirmant avoir mené une attaque dans la région. (Photo d'archives de l'AFP)
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  • Le ministre égyptien des Affaires étrangères, Badr Abdelatty, a annoncé samedi que 50 camions-citernes chargés de carburant devaient entrer dans la bande de Gaza à partir de dimanche, marquant le début du cessez-le-feu.
  • M. Abdelatty, dont le pays, le Qatar et les États-Unis ont servi de médiateur, a déclaré que l'accord prévoyait « l'entrée de 600 camions par jour dans la bande, dont 50 de carburant ».

LE CAIRE : Le ministre égyptien des Affaires étrangères, Badr Abdelatty, a annoncé samedi que 50 camions-citernes chargés de carburant devaient entrer dans la bande de Gaza à partir de dimanche, marquant le début du cessez-le-feu.

M. Abdelatty, dont le pays, le Qatar et les États-Unis ont servi de médiateur, a déclaré que l'accord prévoyait « l'entrée de 600 camions par jour dans la bande, dont 50 de carburant ».

La trêve devrait entrer en vigueur dimanche à 13 h 30 GMT, ouvrant ainsi la voie à un afflux massif d'aide, selon les médiateurs.

Des centaines de camions sont garés du côté égyptien du poste frontière de Rafah, un point d'entrée autrefois vital pour l'aide humanitaire, fermé depuis mai, lorsque les forces israéliennes ont pris le contrôle du côté palestinien du point de passage.

Au cours d'une conférence de presse conjointe avec son homologue nigérian, M. Abdelatty a déclaré : « Nous espérons que 300 camions se rendront au nord de la bande de Gaza », où des milliers de personnes sont bloquées dans des conditions que les agences humanitaires qualifient d'apocalyptiques.

Les travailleurs humanitaires ont mis en garde contre les obstacles monumentaux qui pourraient entraver les opérations d'aide, notamment la destruction des infrastructures qui traitaient auparavant les livraisons.