Le cliché gagnant d’un photographe saoudien et les histoires qu’il raconte

Raed Abdallah al-Maliki a pris une photo primée des dômes de la Grande Mosquée depuis un hélicoptère pendant la saison du Hajj, montrant leur taille par rapport à une personne solitaire sur le toit. (Photo fournie)
Raed Abdallah al-Maliki a pris une photo primée des dômes de la Grande Mosquée depuis un hélicoptère pendant la saison du Hajj, montrant leur taille par rapport à une personne solitaire sur le toit. (Photo fournie)
Raed Abdallah al-Maliki a pris une photo primée des dômes de la Grande Mosquée depuis un hélicoptère pendant la saison du Hajj, montrant leur taille par rapport à une personne solitaire sur le toit. (Photo fournie)
Raed Abdallah al-Maliki a pris une photo primée des dômes de la Grande Mosquée depuis un hélicoptère pendant la saison du Hajj, montrant leur taille par rapport à une personne solitaire sur le toit. (Photo fournie)
Raed Abdallah al-Maliki a pris une photo primée des dômes de la Grande Mosquée depuis un hélicoptère pendant la saison du Hajj, montrant leur taille par rapport à une personne solitaire sur le toit. (Photo fournie)
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Publié le Jeudi 07 mars 2024

Le cliché gagnant d’un photographe saoudien et les histoires qu’il raconte

  • Raed Abdallah al-Maliki est passé d’amateur à artiste international
  • Il explique que lorsqu’il a commencé à participer à des concours en 2009, il a échoué, mais que malgré cela, il n’a pas hésité à continuer à y participer

LA MECQUE: Raed Abdallah al-Maliki, originaire de Taïf, a pris goût à la photographie dès son plus jeune âge, notamment en documentant les événements familiaux, ce qui lui a valu la réputation de photographe de famille.

M. Al-Maliki est titulaire d’une licence en éducation physique de l’Université d’Oumm al-Qoura et travaille actuellement au ministère de l’Éducation.

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Raed Abdallah al-Maliki a pris une photo primée des dômes de la Grande Mosquée depuis un hélicoptère pendant la saison du Hajj, montrant leur taille par rapport à une personne solitaire sur le toit. (Photo fournie)

Membre actif de nombreux clubs de photographie locaux et internationaux, M. Al-Maliki est affilié à des organisations importantes, notamment la Fédération internationale de l’art photographique et la Photographic Society of America. Il a présenté son talent lors de diverses expositions photographiques locales et internationales, remportant plusieurs récompenses.

Il a été récemment primé lors du concours de photographie «This Is Makkah», dans le cadre des activités de l’événement «Makkah Brings Us Together», organisé par la Commission royale pour la ville de La Mecque et les lieux saints.

 

FOCUS

Selon M. Al-Maliki, les progrès technologiques ont facilité la photographie, notamment grâce aux technologies d’intelligence artificielle intégrées aux appareils photo, qui contribuent à résoudre de nombreux problèmes. «À mon avis, tant qu’il y a une idée et un message, votre travail atteindra son public et vous maintiendrez votre position.»

Revenant son parcours, M. Al-Maliki a confié à Arab News: «Ma croyance en l’adage “une image vaut mille mots” est la principale motivation qui m'a poussé à poursuivre cette passion, d’autant plus qu’une photo capture un moment dans le temps et permet aux gens de se souvenir plus tard de ce qui les a rendus heureux. Ce que la photo signifie pour le photographe est un message noble qui doit être transmis correctement.»

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Raed Abdallah al-Maliki a pris une photo primée des dômes de la Grande Mosquée depuis un hélicoptère pendant la saison du Hajj, montrant leur taille par rapport à une personne solitaire sur le toit. (Photo fournie)

«Je n'oublierai jamais le premier appareil photo professionnel que mon père m’a offert. C’était comme une étape d’exploration d’un nouveau monde. À cette époque, j’ai commencé à me familiariser avec l’appareil photo, puis je me suis essayé à différents types de photographie. Je pense que cette étape a été la plus importante de mon parcours car elle m’a appris les bases de la photographie et m’a permis de plonger dans son univers exceptionnel, d’autant plus que j’ai commencé à prendre des photos diverses et à apprendre de mes erreurs», a-t-il ajouté.

M. Al-Maliki a expliqué qu’il était passé à l’étape de l’application pratique et de l’amélioration en se nourrissant visuellement et en assistant à des cours et à des ateliers spécialisés, en particulier à des expositions d’art qui permettent d’interagir avec les photographes et de bénéficier de leurs expériences.

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Raed Abdallah al-Maliki a pris une photo primée des dômes de la Grande Mosquée depuis un hélicoptère pendant la saison du Hajj, montrant leur taille par rapport à une personne solitaire sur le toit. (Photo fournie)

«Lorsque j’ai commencé à participer à des compétitions locales et internationales, je me suis fixé plusieurs objectifs à atteindre, ce qui m’a motivé à continuer. J’ai réalisé certains d’entre eux. La Fédération internationale de l’art photographique m’a décerné le titre d’“artiste international” et l’Union des photographes asiatiques celui d’“exposant d’or”.»

M. Al-Maliki a également expliqué que lorsqu’il a commencé à participer à des concours en 2009, il a échoué, mais que malgré cela, il n’a pas hésité à continuer à y participer.

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Raed Abdallah al-Maliki. (Photo fournie)

«Avec de la persévérance, en essayant de capturer des clichés différents et en m’améliorant, j’ai remporté mon premier prix international en 2013. J’ai toujours veillé à apprendre et à profiter de la communauté de photographes qui m’entoure. Quant à la photo des «dômes sur le toit de la Grande Mosquée, je la considère comme l’élément principal de mes soumissions». 

«Cette photo a remporté plus d’un prix aux niveaux local et international, y compris des médailles d’or, d’argent et de bronze, ainsi que des distinctions honorifiques dans plusieurs pays, dont récemment Oman, la Chine, la France et l’Inde», précise-t-il.

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Raed Abdallah al-Maliki a pris une photo primée des dômes de la Grande Mosquée depuis un hélicoptère pendant la saison du Hajj, montrant leur taille par rapport à une personne solitaire sur le toit. (Photo fournie)

«Ce cliché est considéré comme l’un des plus proches en raison des circonstances dans lesquelles il a été pris. En effet, il a été réalisé lors du premier vol d’hélicoptère effectué par une agence de sécurité pendant la saison du Hajj, et plus précisément le jour d’Arafat. Ce jour-là, la Grande Mosquée est connue pour être vide de pèlerins puisque ceux-ci se trouvent dans les plaines d’Arafat.»

«De plus, en raison du vent et de l’altitude à midi, plusieurs rafales de photos ont été prises jusqu’à ce que le résultat soit satisfaisant, avec seulement cette personne présente sur le toit de la Grande Mosquée, ce qui a contribué à mettre en valeur les dômes et leur taille par rapport à la personne, ainsi que la présence de toutes les nuances de couleurs monochromatiques dans l’œuvre et le contraste de ses éléments.»

«Ce que la photo signifie pour le photographe est un message noble qui doit être transmis correctement» 

Raed Abdallah al-Maliki

Concernant ce qui manque aux photographes saoudiens pour obtenir une reconnaissance internationale, il a expliqué que nous connaissons actuellement l’âge d’or de la photographie, grâce à la vision de notre inspirateur, le prince héritier Mohammed ben Salmane, qui nous considère comme la véritable force pour réaliser cette vision.

«Le Royaume est riche de sa diversité et de la beauté de ses paysages, que ce soit au nord, au sud, à l’est ou à l’ouest.»

«Chaque photographe devrait saisir l’occasion de capturer des clichés qui restent dans la mémoire des spectateurs et laissent une trace particulière, d’autant plus que la diffusion des images est devenue plus facile que jamais grâce aux diverses plates-formes de réseaux sociaux et à la facilité d’accès au monde. Je m’efforcerai de représenter mon pays et d’atteindre des positions de premier plan parce que nous sommes toujours à l’avant-garde et que rien ne peut entraver notre grande ambition.»

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Raed Abdallah al-Maliki a pris une photo primée des dômes de la Grande Mosquée depuis un hélicoptère pendant la saison du Hajj, montrant leur taille par rapport à une personne solitaire sur le toit. (Photo fournie)

Selon M. Al-Maliki, les progrès technologiques ont facilité la photographie, notamment grâce aux technologies d’intelligence artificielle intégrées aux appareils photo, qui contribuent à résoudre de nombreux problèmes. «À mon avis, tant qu’il y a une idée et un message, votre travail atteindra son public et vous maintiendrez votre position, quel que soit l’outil utilisé pour la photographie, qu’il s’agisse d’un appareil photo professionnel ou même d’un téléphone portable.»

«Le photographe joue un rôle important dans la démonstration de la créativité, car quelles que soient les ressources disponibles, il est impossible d’impressionner les autres sans la bonne personne.» 

M. Al-Maliki a conclu en affirmant que les artistes peuvent voir leur réalité différemment, même s’ils y sont habitués. «Choisir des angles et des lieux différents, à des moments différents et avec de nouvelles idées m’aidera à trouver des sujets dignes d’être photographiés. En général, je cherche de nouveaux angles auxquels les photographes ne se sont pas intéressés, dans l’espoir de mettre en lumière un aspect différent à travers l’image».

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

 


L’Opéra de Saint-Pétersbourg présente Rigoletto de Verdi à Dubaï et Abou Dhabi

Rigoletto de Verdi mis en scène par Yuri Alexandrov, présenté par l’Opéra d’État de Saint-Pétersbourg. (Fournie)
Rigoletto de Verdi mis en scène par Yuri Alexandrov, présenté par l’Opéra d’État de Saint-Pétersbourg. (Fournie)
Direction artistique signée par Yuri Alexandrov, nommé Artiste du Peuple de Russie et lauréat du Golden Mask. (Fournie)
Direction artistique signée par Yuri Alexandrov, nommé Artiste du Peuple de Russie et lauréat du Golden Mask. (Fournie)
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  • L’Opéra de Saint-Pétersbourg, dirigé par Yuri Alexandrov, présente Rigoletto de Verdi à Dubaï et Abou Dhabi du 19 au 23 novembre
  • La mise en scène d’Alexandrov revisite le mythe du bouffon tragique, dans une production somptueuse portée par une troupe d’excellence

Dubaï: Le public des Émirats arabes unis s’apprête à vivre une expérience lyrique exceptionnelle : le chef-d’œuvre de Giuseppe Verdi, Rigoletto, sera présenté par le Théâtre d’État de l’Opéra de Saint-Pétersbourg, sous la direction du célèbre metteur en scène russe Yuri Alexandrov, les 19 et 20 novembre au Zabeel Theatre de Dubaï, puis les 22 et 23 novembre au Cultural Foundation Theatre d’Abou Dhabi.

Organisé par Art For All, cet événement marque le grand retour de la troupe russe aux Émirats, après son succès lors du programme culturel russe de l’Expo 2020. Fondée en 1987, l’Opéra de Saint-Pétersbourg s’est imposée comme l’une des compagnies lyriques les plus respectées d’Europe.

Un metteur en scène au génie reconnu

Figure majeure du monde lyrique, Yuri Alexandrov, nommé Artiste du Peuple de Russie et lauréat des prestigieux prix Golden Mask et Golden Sofit, a signé plus de 300 productions dans des maisons d’opéra de renommée mondiale, parmi lesquelles La Scala, le Metropolitan Opera de New York, l’Arena di Verona et le Théâtre Mariinsky.

Sa mise en scène de Rigoletto se distingue par une approche audacieuse, psychologique et profondément humaine. Alexandrov y réinvente les clichés traditionnels : ici, le bouffon n’est plus un vieillard difforme, mais un homme rusé, sarcastique, habité par la douleur et les contradictions morales d’un monde corrompu.

“Notre version de Rigoletto a triomphé dans de nombreux pays. Nos chanteurs, formés à cette exigence musicale, offrent une interprétation puissante et sincère,” explique Yuri Alexandrov.

Un spectacle grandiose

Mêlant costumes somptueux, décors fastueux et orchestre d’exception, Rigoletto incarne la quintessence de l’opéra italien. Le spectacle, chanté en italien avec surtitres en anglais, dure 3h15 (avec deux entractes).

Avec cette nouvelle tournée, Yuri Alexandrov confirme son rôle de passeur culturel entre la tradition russe et les scènes internationales, offrant au public émirien une immersion dans la puissance émotionnelle du théâtre lyrique.

En savoir plus : rigoletto.platinumlist.net.


Noor Riyadh annonce les artistes du festival de lumière et d’art 2025

L'exposition comprendra une installation spéciale intitulée « Scènes d'un mariage » (photo) consacrée à l'œuvre de la regrettée Safeya Binzagr (1940-2024), figure de proue du mouvement artistique moderne en Arabie saoudite et première femme artiste saoudienne à avoir présenté une exposition solo en 1968. (Fourni)
L'exposition comprendra une installation spéciale intitulée « Scènes d'un mariage » (photo) consacrée à l'œuvre de la regrettée Safeya Binzagr (1940-2024), figure de proue du mouvement artistique moderne en Arabie saoudite et première femme artiste saoudienne à avoir présenté une exposition solo en 1968. (Fourni)
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  • Noor Riyadh 2025 réunira 59 artistes de 24 nationalités autour du thème « En un clin d’œil », symbole de la transformation rapide de la capitale saoudienne
  • Le festival, porté par Riyadh Art, veut faire de la lumière un langage universel reliant cultures et générations, tout en rendant hommage à la pionnière Safeya Binzagr

RIYADH : Le festival annuel Noor Riyadh, le plus grand festival international de lumière et d’art de la région, a dévoilé la liste de ses artistes participants, en préparation du lancement de son édition 2025, prévue du 20 novembre au 6 décembre.

Sous la direction curatoriale de Mami Kataoka, Li Zhenhua et Sara Almutlaq, l’événement se tiendra dans plusieurs pôles à travers Riyad et présentera 60 œuvres de 59 artistes issus de 24 nationalités, dont 35 créations inédites.

« Noor Riyadh se définit par ses artistes : leurs idées, leur courage et leur vision », a déclaré Nouf Almoneef, directrice du festival. « Chaque œuvre saisit l’élan de la ville à travers la lumière, nous rappelant que la créativité est un langage universel qui relie les cultures et inspire le dialogue. »

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« Love Difference » (2025) de l'artiste italien Michelangelo Pistoletto. (Fourni)

Le thème curatorial de cette année, « In the Blink of an Eye » (En un clin d’œil), reflète la transformation rapide qui façonne Riyad.

Le festival présentera des œuvres répondant à ce thème, signées par des artistes internationaux et locaux de renom, parmi lesquels Saad Al-Howede, Monira Al-Qadiri, Abdulrahman Al-Soliman, James Clar, Ivana Franke, fuse*, Ayoung Kim, Shinji Ohmaki, Michelangelo Pistoletto et Muhannad Shono.

L’exposition comprendra également une installation spéciale dédiée à la feue Safeya Binzagr (1940–2024), figure majeure de l’art moderne saoudien et première artiste femme du Royaume à avoir tenu une exposition solo en 1968.

« La lumière est à la fois un médium et une métaphore de la transformation », a expliqué Mami Kataoka, responsable du conseil curatorial. « In the Blink of an Eye montre à quelle vitesse la perception peut basculer — offrant un instant de pause au cœur du changement, pour y voir la beauté du mouvement perpétuel. »

L’édition 2025 est portée par une équipe curatoriale internationale qui rassemble des perspectives diverses sur la culture contemporaine, connectant le cœur historique de Riyad à sa ligne d’horizon moderne et à son réseau de métro. L’exposition invite le public à explorer la lumière comme vecteur de perception, de mémoire et d’élan collectif.

Cette année, Noor Riyadh se déploiera sur six sites emblématiques : le quartier Qasr Al-Hokm, le Centre historique du roi Abdulaziz, la station de métro stc, la station de métro KAFD, la tour Al-Faisaliah et le district JAX.

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« Memory Melting » (2025) de l'artiste saoudien Saad Al-Howede. (Fourni)

Organisé sous l’égide de la Commission royale pour la ville de Riyad et de Riyadh Art, Noor Riyadh incarne la mission de cette dernière : transformer la capitale saoudienne en stimulant la créativité et en enrichissant la vie quotidienne.

Depuis sa création, Riyadh Art a présenté plus de 550 œuvres d’art signées par 500 artistes saoudiens et internationaux, attirant plus de 9,6 millions de visiteurs. Noor Riyadh transforme les espaces publics du quotidien en expériences artistiques inédites, cherchant à créer un sentiment d’émerveillement partagé au sein des communautés.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Guinot Institut apporte l’excellence de la beauté française à Dubaï

 Le monde du bien-être et de la beauté à Dubaï s’enrichit d’un nouveau joyau venu tout droit de Paris. Guinot Institut Paris, reconnu comme le salon de beauté n°1 en France, vient d’ouvrir son premier institut au cœur de Dubai Healthcare City. (Photo fournie)
Le monde du bien-être et de la beauté à Dubaï s’enrichit d’un nouveau joyau venu tout droit de Paris. Guinot Institut Paris, reconnu comme le salon de beauté n°1 en France, vient d’ouvrir son premier institut au cœur de Dubai Healthcare City. (Photo fournie)
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  • Fondée il y a plus d’un demi-siècle, Guinot s’est imposée comme une référence mondiale des soins professionnels grâce à ses innovations scientifiques, ses formules exclusives et son exigence de qualité
  • Chaque soin, conçu comme un rituel personnalisé, allie science et précision pour sublimer la beauté naturelle de chaque femme

DUBAI: Le monde du bien-être et de la beauté à Dubaï s’enrichit d’un nouveau joyau venu tout droit de Paris. Guinot Institut Paris, reconnu comme le salon de beauté n°1 en France, vient d’ouvrir son premier institut au cœur de Dubai Healthcare City, marquant une nouvelle étape dans la diffusion du savoir-faire français en matière de soins de la peau.

Un héritage de plus de 50 ans d’expertise

Fondée il y a plus d’un demi-siècle, Guinot s’est imposée comme une référence mondiale des soins professionnels grâce à ses innovations scientifiques, ses formules exclusives et son exigence de qualité. Les produits Guinot, développés et fabriqués en France, respectent des standards pharmaceutiques stricts et des engagements environnementaux rigoureux.

Chaque soin, conçu comme un rituel personnalisé, allie science et précision pour sublimer la beauté naturelle de chaque femme. À Dubaï, les clientes pourront ainsi découvrir l’essence du “savoir-beauté” français, réputé pour ses résultats visibles et durables.

Une nouvelle adresse d’excellence à Dubaï

Parmi les innovations phares de la marque, le soin Hydradermie Énergie Cellulaire occupe une place centrale. Ce traitement breveté, véritable alternative non invasive aux techniques esthétiques, utilise l’ionisation et l’oxygénation pour stimuler les cellules cutanées. Résultat : une peau plus hydratée, lissée et éclatante dès la première séance.

Cette technologie exclusive illustre la philosophie Guinot : réveiller l’énergie jeunesse de la peau sans agresser ni altérer son équilibre naturel.

L’institut propose un large éventail de soins emblématiques. Chaque visite débute par une consultation personnalisée avec les esthéticiennes Guinot, surnommées les “Docteurs de Beauté”, qui définissent un protocole sur mesure pour des résultats visibles et durables.

Installé à Dubai Healthcare City, le Guinot Institut Dubaï ambitionne de devenir la nouvelle référence en matière de soins haut de gamme dans la région. Entre expertise scientifique française et hospitalité dubaïote, l’adresse promet une expérience unique, alliant élégance, efficacité et bien-être.

Les amateurs de soins d’exception peuvent désormais profiter du meilleur de la cosmétique professionnelle française sans quitter Dubaï.