Conférence algérienne sur l’investissement pour débattre du climat des affaires

La conférence  a réuni des opérateurs économiques dans le but de débattre du climat des affaires et des opportunités d’investissement dans des secteurs stratégiques tels que l’industrie, l’énergie, les infrastructures, l’agriculture, l’innovation, la santé ou la technologie. (Fournie)
La conférence a réuni des opérateurs économiques dans le but de débattre du climat des affaires et des opportunités d’investissement dans des secteurs stratégiques tels que l’industrie, l’énergie, les infrastructures, l’agriculture, l’innovation, la santé ou la technologie. (Fournie)
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Publié le Mardi 26 décembre 2023

Conférence algérienne sur l’investissement pour débattre du climat des affaires

  • Omar Rekkache, directeur général de l’Aapi, a confié que le climat des affaires en Algérie était «sûr et stable»
  • Des avancées significatives ont été enregistrées dans les domaines institutionnel et réglementaire pour promouvoir l’Algérie comme une destination d’investissement

PARIS: La Conférence algérienne sur l’investissement (AIC) 2023 est organisée sous l’égide du ministère de l’Industrie et de la Production pharmaceutique et de celui de l’Agriculture et du Développement rural, en partenariat avec l’Agence algérienne de promotion des investissements (Aapi). La 3e édition de cet événement a eu lieu les 18 et 19 décembre 2023. Elle a réuni des opérateurs économiques dans le but de débattre du climat des affaires et des opportunités d’investissement dans des secteurs stratégiques tels que l’industrie, l’énergie, les infrastructures, l’agriculture, l’innovation, la santé ou la technologie.  

Omar Rekkache, directeur général de l’Aapi, a confié que le climat des affaires en Algérie était «sûr et stable». Il a expliqué que «l’Algérie est considérée comme l’un des pays les plus stables à tous les niveaux, politique, social et économique». Il a rappelé en outre que son organisme avait adopté une politique d’ouverture vers l’étranger grâce à la mise en œuvre de contacts permanents avec des organisations internationales et des réseaux de coopération pour le développement économique en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique. L’objectif est de participer aux différents événements internationaux afin de saisir les diverses opportunités et de faire connaître le climat des affaires du marché algérien. 

Lors de la table ronde intitulée «Stimuler les investissements: renforcer l’attractivité pour les investissements étrangers et locaux en Algérie», Mohamed Chérif Belmihoub, expert économique, ancien ministre de la Prospective, a indiqué que l’ensemble du pays disposait d’infrastructures solides ainsi qu’un cadre institutionnel et réglementaire attractif.

«L'Algérie revient sur le plan régional et continental en qualité de locomotive économique, mais également comme partenaire de choix pour contribuer de manière efficace à la mise en œuvre effective des accords de la zone de libre-échange continentale africaine [Zlecaf]», a déclaré de son côté Racim Benghanem, l’organisateur de l’événement. Il a ajouté que le pays offrait «des secteurs diversifiés tels que l'énergie, les infrastructures, les nouvelles technologies et l'agriculture, tous propices à des investissements fructueux».

Des avancées significatives

Les experts sont unanimes: des avancées significatives ont été enregistrées dans les domaines institutionnel et réglementaire pour promouvoir l’Algérie comme une destination d’investissement. Lors de la table ronde intitulée «Stimuler les investissements: renforcer l’attractivité pour les investissements étrangers et locaux en Algérie», Mohamed Chérif Belmihoub, expert économique, ancien ministre de la Prospective, a indiqué que l’ensemble du pays disposait d’infrastructures solides ainsi qu’un cadre institutionnel et réglementaire attractif. Néanmoins, il a recommandé de poursuivre les efforts pour accroître l’attractivité en termes d’investissements, en particulier grâce à l’augmentation des capacités de la production et à la réindustrialisation. Il a soutenu qu’il était nécessaire de miser sur l’innovation ainsi que sur les nouvelles technologies.

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Ali Harbi, directeur de cabinet chez AHC et membre du think tank Care, expert en stratégies de développement durable et de la gouvernance des entreprises. (Fournie)

Interrogé par Arab News en français sur la stratégie algérienne en matière d’investissements, Ali Harbi, directeur de cabinet chez AHC et membre du think tank Care, expert en stratégies de développement durable et de la gouvernance des entreprises, nous révèle que «depuis 2020, la stratégie envers les investissements directs étrangers (IDE) n’a pas été suffisamment claire, avec de nombreuses restrictions et des contraintes administratives qui ont freiné l’économie. Cela a renforcé la méfiance des investisseurs internationaux envers l’Algérie. En revanche, depuis 2022, un début de clarification commence à prendre forme avec la publication du nouveau code sur les investissements et la mise en place d’une loi sur le foncier économique».

L’attractivité, le moteur des IDE

Pour Ali Harbi, d’autres dispositions restent à prendre pour reconstituer l’attractivité du pays en matière d’IDE. Parmi elles, on peut noter «la débureaucratisation effective de l’acte d’investir». Cet aspect «sera vérifié dans le cadre de l’opérationnalisation du nouveau code des investissements de l’Aapi, des dispositions relatives à la réforme financière, à l’offre de foncier économique – aujourd’hui quasiment nulle – et à la formulation de projets porteurs pour l’économie nationale. L’investissement étranger peut s’inscrire [dans ces derniers], par exemple avec la valorisation de la filière sidérurgique, celle des phosphates ou le programme national sur l’énergie solaire», a expliqué l’expert.

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Les experts sont unanimes: des avancées significatives ont été enregistrées dans les domaines institutionnel et réglementaire pour promouvoir l’Algérie comme une destination d’investissement. (Fournie)

Ce dernier a rappelé que «d’autres axes majeurs au sein desquels les IDE auront toute leur place: l’agriculture, l’industrie agroalimentaire, le domaine pharmaceutique, l’industrie mécanique de nouvelle génération, les services numériques… Ils devront faire l’objet de projets structurants et de mesures incitatives spécifiques autres que les avantages fiscaux et parafiscaux».

Il a ajouté que «l’avenir des IDE comme levier de croissance économique en Algérie se joue sur la capacité du gouvernement algérien à générer des facteurs d’attractivité comparables à l’échelle internationale et régionale ainsi qu’à travailler sur les projets structurants à fort potentiel d’exportation».

En effet, a rappelé Ali Harbi, «l’attractivité à concevoir n’est plus celle des avantages fiscaux comme dans les années 1980 et 1990, mais elle doit se baser sur la disponibilité du foncier et des chaînes logistiques, sur un système financier dynamique, sur les compétences et, bien sûr, sur des procédures claires, allégées et numérisées », conclut-il.


De nouvelles lois simplifient l'enregistrement des entreprises saoudiennes

Ces changements interviennent alors que l'Arabie saoudite a connu une augmentation de 60 % des enregistrements commerciaux en 2024. Shutterstock
Ces changements interviennent alors que l'Arabie saoudite a connu une augmentation de 60 % des enregistrements commerciaux en 2024. Shutterstock
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  • la nouvelle loi sur le registre du commerce et la loi sur les noms commerciaux entreront en vigueur le 3 avril. 
  • Ces changements interviennent alors que l'Arabie saoudite a connu une augmentation de 60 % des enregistrements commerciaux en 2024, avec 521 969 délivrés par rapport à l'année précédente.

RIYAD : L'Arabie saoudite s'apprête à introduire des changements importants dans son système d'enregistrement des entreprises lorsque la nouvelle loi sur le registre du commerce et la loi sur les noms commerciaux entreront en vigueur le 3 avril. 

Abdulrahman Al-Hussein, porte-parole officiel du ministère du Commerce, a souligné que l'un des changements majeurs comprend l'abolition des registres subsidiaires, rendant suffisant un registre commercial unique, a rapporté l'agence de presse saoudienne. 

Les lois, annoncées en septembre, suppriment également l'obligation de spécifier la ville d'enregistrement, ce qui signifie qu'un seul enregistrement commercial sera valable dans toutes les régions du Royaume, a ajouté M. Al-Hussein. 

Ces changements interviennent alors que l'Arabie saoudite a connu une augmentation de 60 % des enregistrements commerciaux en 2024, avec 521 969 délivrés par rapport à l'année précédente, selon le ministère du Commerce.

Ces mesures s'inscrivent également dans le cadre des efforts de diversification économique du Royaume, qui visent à réduire la dépendance au pétrole et à augmenter la contribution du secteur privé au produit intérieur brut, celle-ci devant passer de 40 % à 65 % d'ici 2030. 

M. Al-Hussein a déclaré que la loi sur le registre du commerce « annule la date d'expiration du registre du commerce et n'exige qu'une confirmation annuelle des données ».

Il a souligné que le numéro d'enregistrement commercial servira désormais de numéro unifié de l'établissement, commençant par « 7 ». 

Les registres subsidiaires existants disposeront d'un délai de grâce de cinq ans pour se conformer à la nouvelle réglementation. 

En outre, la nouvelle loi sur les noms commerciaux autorise désormais la réservation et l'enregistrement de noms commerciaux en anglais, y compris les lettres et les chiffres, contrairement à la règle précédente qui n'autorisait que les noms arabes sans caractères ou chiffres étrangers. 

Cette modification permet également de gérer séparément les noms commerciaux de l'établissement, ce qui permet de transférer la propriété. Elle empêche l'enregistrement de noms identiques ou similaires pour différentes entreprises, quelles que soient leurs activités. 

M. Al-Hussein a ajouté que cette loi comprend des dispositions permettant de réserver les noms de famille comme noms commerciaux et fixe des normes pour les noms interdits ou trompeurs. 

Le cabinet saoudien a approuvé ces changements le 17 septembre, le gouvernement souhaitant rationaliser les opérations commerciales et améliorer l'environnement de travail dans son ensemble. 

Dans un message publié sur son compte X, le ministre du commerce, Majid bin Abdullah Al-Qasabi, a souligné que ces changements permettraient de rationaliser les procédures de réservation et d'enregistrement des noms commerciaux, protégeant et renforçant ainsi leur valeur, conformément aux avancées économiques et technologiques décrites dans la Vision 2030. 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Des enjeux stratégiques derrière l'apaisement diplomatique entre Paris et Alger

Le président français Emmanuel Macron (G) et le président algérien Abdelmadjid Tebboune (D) se serrent la main lors d'une cérémonie de signature au pavillon d'honneur de l'aéroport d'Alger, à Alger, le 27 août 2022. (Photo Ludovic MARIN / AFP)
Le président français Emmanuel Macron (G) et le président algérien Abdelmadjid Tebboune (D) se serrent la main lors d'une cérémonie de signature au pavillon d'honneur de l'aéroport d'Alger, à Alger, le 27 août 2022. (Photo Ludovic MARIN / AFP)
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  • Les deux chefs d'État ont souligné lundi la nécessité de renouer le dialogue « d'égal à égal » en raison de « la force des liens » unissant la France et l'Algérie, de leurs intérêts stratégiques et de sécurité.
  • La France, ancien pays colonisateur de l'Algérie, compte aujourd'hui une importante communauté algérienne (649 991 personnes en 2024, +0,5 % par rapport à 2023 auxquels s'ajoutent 1,2 million de descendants d'immigrés algériens.

PARIS : De la nécessaire coopération sécuritaire et économique à l'épineux dossier des Algériens que la France ne parvient pas à expulser, les raisons qui ont poussé Emmanuel Macron et son homologue algérien Abdelmadjid Tebboune à reprendre langue sont multiples.

Huit mois jour pour jour après le début d'une crise inédite entre les deux pays, les deux chefs d'État ont souligné lundi la nécessité de renouer le dialogue « d'égal à égal » en raison de « la force des liens » unissant la France et l'Algérie, de leurs intérêts stratégiques et de sécurité, ainsi que des « défis et crises auxquels l'Europe, la Méditerranée et l'Afrique » sont confrontées.

- Relations humaines imbriquées

La France, ancien pays colonisateur de l'Algérie, compte aujourd'hui une importante communauté algérienne (649 991 personnes en 2024, +0,5 % par rapport à 2023, selon le ministère de l'Intérieur), auxquels s'ajoutent 1,2 million de descendants d'immigrés algériens, selon l'Institut national d'études démographiques.

Une restriction des visas de courte durée pour visite familiale affecterait ainsi directement les Algériens.

Le Premier ministre François Bayrou et le chef de la diplomatie Jean-Noël Barrot ont publiquement refusé de faire peser sur la diaspora algérienne le poids de cette crise diplomatique. 

- Coopération sécuritaire

« La France considère Alger comme un partenaire privilégié dans la lutte contre le terrorisme en raison de son expertise et de ses capacités dans ce domaine », note Hasni Abidi, spécialiste de l'Algérie.

Et elle a un intérêt objectif à la stabilité de l'Algérie, le plus grand pays d'Afrique, frontalier de pays (Mali, Niger, Libye) où la sécurité est chaotique.

Les deux pays vont ainsi reprendre leur coopération sur la lutte contre le jihadisme au Sahel, avec à la clé les échanges de renseignements.

L'objectif est d'y contenir la progression des groupes armés et celle des différents trafics (drogue, armes, migrants).

Les deux pays doivent aussi travailler sur la question du potentiel retour de Syrie de centaines de jihadistes algériens ou franco-algériens. 

- Intérêts économiques

L'Algérie est une puissance énergétique considérable. La France est l'un de ses clients pour le gaz (6 milliards d'euros). « C'est important pour nous, mais pas critique », tempère un diplomate, précisant que le gaz algérien représente 6 à 7 % des approvisionnements.

Néanmoins, la crise a eu des effets délétères sur les intérêts français en Algérie, où la France compte quelque 6 000 entreprises.

Les flux commerciaux ont baissé de 20 à 30 % dans certains secteurs l'an dernier, en raison notamment de l'arrêt des importations de blé français.

Si les petites entreprises sont les plus affectées, les grandes ne sont pas épargnées. Le redémarrage d'une usine Renault a ainsi été suspendu.

- Immigration -

La question de la réadmission dans leur pays d'origine des Algériens sous obligation de quitter le territoire français (OQTF) a enflammé les relations bilatérales. Cette question a été brandie à de multiples reprises par le ministre français de l'Intérieur Bruno Retailleau.

La crise a atteint son paroxysme après l'attentat de Mulhouse ayant fait un mort le 22 février, commis par un Algérien qui avait fait l'objet de plusieurs demandes de réadmission, refusées par l'Algérie. 

Le dernier rapport de la direction générale des étrangers en France note toutefois qu'en 2024, « la part de retours forcés est plus importante que la moyenne pour les éloignements d'Algériens ». Sur les quelque 34 000 Algériens interpellés en situation irrégulière, 3 000 ont été éloignés l'an dernier.

S'agissant des visas pour les dignitaires (anciens diplomates, ministres ou généraux), Alger peut aisément contourner cette restriction en raison d'un récent accord de réciprocité avec la Slovénie.

L'Italie, l'Allemagne et l'Espagne, qui achètent des milliards d'euros de gaz algérien, sont également susceptibles de leur fournir un visa Schengen.

- Accord avec l'UE

Alger a besoin du soutien de la France, dont le poids est prépondérant à Bruxelles, pour renégocier son accord d'association avec l'Union européenne.

L'UE est le plus grand partenaire commercial de l'Algérie.

Cet accord, en vigueur depuis 2005, prévoit notamment l'élimination progressive et réciproque des droits à l'importation sur les biens.

En octobre dernier, le président algérien avait annoncé vouloir négocier avec l'UE sa révision à partir de 2025, alors que les experts algériens estiment à plus de 30 milliards de dollars le manque à gagner du fait de cet accord.

Les entreprises publiques et privées algériennes ont d'importantes difficultés à rivaliser avec leurs homologues, car l'économie algérienne est restée longtemps très fermée à la concurrence, reposant traditionnellement sur l'exportation de dérivés pétroliers.

Dès lundi, Emmanuel Macron « a fait part au président Tebboune de l'appui de la France à la révision » de cet accord.


Les entreprises saoudiennes annoncent leurs résultats financiers pour 2024

Les entreprises saoudiennes ont annoncé leurs résultats pour 2024. (Shutterstock)
Les entreprises saoudiennes ont annoncé leurs résultats pour 2024. (Shutterstock)
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  • La Red Sea International Co. a fait état d'un redressement de sa rentabilité, annonçant un bénéfice net de 4 millions de riyals saoudiens
  • La Raydan Food Co. a affiché une perte nette de 73,1 millions de riyals saoudiens en 2024

RIYAD: De nombreuses entreprises ont publié leurs résultats financiers pour 2024 malgré la fermeture du marché saoudien en raison de la fête de l'Aïd el-Fitr, qui dure jusqu'au 2 avril.

La Red Sea International Co. a fait état d'un redressement de sa rentabilité, annonçant un bénéfice net de 4 millions de riyals saoudiens (1,07 million de dollars; 1 dollar = 0,93 euro), contre une perte nette de 23,1 millions de riyals saoudiens en 2023.

Dans un communiqué publié sur Tadawul, l'organisation a attribué cette amélioration à l'impact de l'acquisition de First Fix sur l'ensemble de l'année, ainsi qu'à l'augmentation des revenus et des performances. Le bénéfice d'exploitation est passé de 6 millions l'année précédente à 70 millions de riyals saoudiens.

La Raydan Food Co. a affiché une perte nette de 73,1 millions de riyals saoudiens en 2024, contre 30,8 millions de riyals saoudiens en 2023, soit une augmentation de 136,6 pour cent.

L'entreprise a attribué ces pertes à la baisse des ventes, à la diminution des revenus provenant des contrats et des franchises, à l'augmentation des frais de vente et de marketing, et aux coûts de dépréciation liés aux actifs de droit d'utilisation et aux terrains.

Les ajustements de la valeur des devises étrangères et les dépréciations d'investissement ont également contribué au déclin. Les ventes ont chuté de 12,4% pour atteindre 155,3 millions de riyals saoudiens, en raison de la baisse des performances des succursales et des revenus des contrats.

L'Osool and Bakheet Investment Co. est restée rentable malgré une baisse du revenu net. Les bénéfices de la société sont passés de 25,4 millions de riyals saoudiens en 2023 à 19,8 millions de riyals saoudiens en 2023, principalement en raison d'une baisse de 24% du total des revenus.

Une réduction de 31% des dépenses et une diminution de 55% des coûts de financement ont permis de compenser l'impact de cette baisse. Les autres revenus ont augmenté de 152% pour atteindre 4,2 millions de riyals saoudiens, bien que les dépenses de zakat aient augmenté de 58% pour atteindre 3,8 millions de riyals saoudiens.

La Maharah Human Resources Co. a fait état d'une forte augmentation des bénéfices, les bénéfices nets augmentant de 27,1 pour cent pour atteindre 127,4 millions de riyals saoudiens, grâce à une augmentation de 18 pour cent des revenus et à une amélioration de 6 pour cent du bénéfice brut, soutenus par la croissance du secteur des services aux entreprises.

L'organisation a bénéficié d'une réduction de 20 millions de riysals saoudien des pertes de crédit attendues et d'une augmentation de 11 millions de riyals saoudiens des autres revenus d'exploitation, principalement en raison de l'augmentation des incitations gouvernementales pour l'emploi en Arabie saoudite.

Toutefois, l'augmentation des investissements dans le capital humain a entraîné une hausse des frais généraux et administratifs de 3,5 millions de riyals saoudiens, tandis que les coûts de financement ont augmenté de 4 millions de riyals saoudiens.

En outre, les bénéfices des entreprises associées, dont la Care Shield Holding Co. et la Saudi Medical Systems Co. ont chuté de 30%, soit une baisse de 12,2 millions de riyals saoudiens, en raison des résultats plus faibles de Care Shield Holding Co. et de l'absence des données financières de la Saudi Medical Systems Co. pour les six derniers mois de l'année 2024.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com