Le Royaume travaille à la mise en place d’un corridor économique avec l’Inde, selon le prince héritier saoudien

Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, a conclu plusieurs accords avec le Premier ministre indien, Narendra Modi. (Twitter : @spagov)
Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, a conclu plusieurs accords avec le Premier ministre indien, Narendra Modi. (Twitter : @spagov)
Ci-dessus, les délégations présidées par le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, à droite, et par le Premier ministre indien, Narendra Modi, lors de la réunion conjointe du Conseil de partenariat stratégique saoudo-indien à New Delhi. (Twitter : @spagov)
Ci-dessus, les délégations présidées par le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, à droite, et par le Premier ministre indien, Narendra Modi, lors de la réunion conjointe du Conseil de partenariat stratégique saoudo-indien à New Delhi. (Twitter : @spagov)
Le Premier ministre indien, Narendra Modi, à droite, accueille le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane. (Twitter: @spagov)
Le Premier ministre indien, Narendra Modi, à droite, accueille le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane. (Twitter: @spagov)
Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, arrive pour une réception cérémonielle à Rashtrapati Bhavan, à New Delhi. (Twitter: @spagov)
Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, arrive pour une réception cérémonielle à Rashtrapati Bhavan, à New Delhi. (Twitter: @spagov)
La présidente indienne, Droupadi Murmu, accueille le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, sous le regard du Premier ministre, Narendra Modi. (Twitter: @spagov)
La présidente indienne, Droupadi Murmu, accueille le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, sous le regard du Premier ministre, Narendra Modi. (Twitter: @spagov)
De gauche à droite: Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane; la présidente indienne, Droupadi Murmu, et le Premier ministre, Narendra Modi, lors de la réception cérémonielle à Rashtrapati Bhavan, à New Delhi. (Twitter : @spagov)
De gauche à droite: Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane; la présidente indienne, Droupadi Murmu, et le Premier ministre, Narendra Modi, lors de la réception cérémonielle à Rashtrapati Bhavan, à New Delhi. (Twitter : @spagov)
Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, lors de la réception cérémonielle à Rashtrapati Bhavan, à New Delhi. (Twitter: @spagov)
Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, lors de la réception cérémonielle à Rashtrapati Bhavan, à New Delhi. (Twitter: @spagov)
Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, lors de la réception cérémonielle à Rashtrapati Bhavan, à New Delhi. (Twitter: @spagov)
Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, lors de la réception cérémonielle à Rashtrapati Bhavan, à New Delhi. (Twitter: @spagov)
Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, lors de la réception cérémonielle à Rashtrapati Bhavan, à New Delhi. (Twitter: @spagov)
Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, lors de la réception cérémonielle à Rashtrapati Bhavan, à New Delhi. (Twitter: @spagov)
Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, lors de la réception cérémonielle à Rashtrapati Bhavan, à New Delhi. (Twitter: @spagov)
Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, lors de la réception cérémonielle à Rashtrapati Bhavan, à New Delhi. (Twitter: @spagov)
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Publié le Lundi 11 septembre 2023

Le Royaume travaille à la mise en place d’un corridor économique avec l’Inde, selon le prince héritier saoudien

  • «Les relations entre l’Arabie saoudite et l’Inde sont mutuellement bénéfiques», selon le prince héritier, Mohammed ben Salmane
  • Le prince héritier avait déjà conclu plusieurs accords phares avec l’Inde

NEW DELHI: L’Arabie saoudite travaille à la mise en place d’un corridor économique avec l’Inde, projet qui nécessite un effort constant pour être réalisé, a annoncé le prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane, lors de la réunion conjointe du Conseil de partenariat stratégique saoudo-indien à New Delhi.

Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, a conclu plusieurs accords avec le Premier ministre indien, Narendra Modi. (Twitter : @spagov)
Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, a conclu plusieurs accords avec le Premier ministre indien, Narendra Modi. (Twitter : @spagov)

«Les relations entre l’Arabie saoudite et l’Inde sont mutuellement bénéfiques, et nous œuvrons à la création de futures opportunités pour nos deux pays», souligne-t-il, espérant réaliser des objectifs communs par le biais du Conseil de partenariat stratégique saoudo-indien.

Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, a conclu plusieurs accords avec le Premier ministre indien, Narendra Modi. (Twitter : @spagov)
Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, a conclu plusieurs accords avec le Premier ministre indien, Narendra Modi. (Twitter : @spagov)

«La communauté indienne d’Arabie saoudite fait partie de notre société et nous prenons soin d’elle comme nous prenons soin de nos citoyens», affirme-t-il.

Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, a conclu plusieurs accords avec le Premier ministre indien, Narendra Modi. (Twitter : @spagov)
Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, a conclu plusieurs accords avec le Premier ministre indien, Narendra Modi. (Twitter : @spagov)

Le prince héritier avait déjà conclu plusieurs accords phares avec l’Inde.

Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, a conclu plusieurs accords avec le Premier ministre indien, Narendra Modi. (Twitter : @spagov)
Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, a conclu plusieurs accords avec le Premier ministre indien, Narendra Modi. (Twitter : @spagov)
Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, a conclu plusieurs accords avec le Premier ministre indien, Narendra Modi. (Twitter : @spagov)
Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, a conclu plusieurs accords avec le Premier ministre indien, Narendra Modi. (Twitter : @spagov)
Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, a conclu plusieurs accords avec le Premier ministre indien, Narendra Modi. (Twitter : @spagov)
Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, a conclu plusieurs accords avec le Premier ministre indien, Narendra Modi. (Twitter : @spagov)

L’Inde s’est quant à elle félicitée de son partenariat «stratégique» avec l’Arabie saoudite, quelques jours après avoir dévoilé une route commerciale et de transport majeure reliant l’Europe, le Moyen-Orient et l’Inde dans le cadre d’une vaste alliance.

«Ensemble, nous avons lancé l’initiative historique d’établir un corridor économique», a déclaré M. Modi au prince héritier saoudien.

Samedi, les deux hommes ont participé, aux côtés d’autres dirigeants du Groupe des vingt (G20), au dévoilement de projets ambitieux visant à créer une «route des épices» des temps modernes, afin de renforcer les liens commerciaux, ce qui pourrait avoir des répercussions géopolitiques considérables.

«Ce corridor ne reliera pas seulement les deux pays, mais il renforcera aussi la coopération économique et la connectivité numérique entre l’Asie, l’Asie de l’Ouest et l’Europe», a ajouté Narendra Modi lors des entretiens qui ont suivi la fin du sommet de deux jours des dirigeants du G20, dont il était le président.

L’Inde, l’Arabie saoudite, les États-Unis, l’Union européenne (UE), les Émirats arabes unis (EAU) et d’autres pays ont lancé cette initiative pour relier les chemins de fer, les ports, les réseaux d'électricité et de données et les pipelines d’hydrogène.

«En tant que deux des économies à la croissance la plus rapide au monde, notre coopération est essentielle pour la paix et la stabilité de toute la région», a indiqué M. Modi, dans un discours diffusé par les chaînes de télévision publiques.

«Pour l’Inde, l’Arabie saoudite est l’un des partenaires stratégiques les plus importants», note-t-il.

Mohammed ben Salmane a été accueilli lors d’une réception solennelle au Rashtrapati Bhavan, à New Delhi. Il s’agit de la deuxième visite d’État en Inde du prince héritier d’Arabie saoudite, qui s’était déjà rendu dans ce pays en février 2019.

«Nous sommes très heureux d’être en Inde. La relation entre l’Inde et la péninsule Arabique remonte à mille ans. Elle est ancrée dans notre ADN en Arabie saoudite. L’Inde est notre amie. Elle a contribué à la construction de l’Arabie saoudite au cours des soixante-dix dernières années. Il y a en Inde nombre d’initiatives saoudiennes qui participent au développement», a affirmé le prince héritier lors de la réception cérémonielle.

«Ce voyage mettra en valeur le travail saoudien accompli ici, en Inde. Il garantira que nos relations seront maintenues et améliorées dans l’intérêt des deux pays et, sous la direction du Premier ministre indien, Narendra Modi, je suis sûr que cela se produira», ajoute-t-il.

Le prince héritier, Mohammed ben Salmane, est arrivé vendredi à la base aérienne de Palam, à New Delhi, pour participer au 18e Sommet des dirigeants du G20 ce week-end.

L’Inde, les États-Unis, l’Arabie saoudite et l’UE ont dévoilé samedi un accord historique qui vise à établir un «mégacorridor» de connectivité maritime et ferroviaire entre l’Inde, le Moyen-Orient et l’Europe.

 

Avec l’AFP

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Les États-Unis débloquent 117 millions de dollars pour les Forces libanaises

Drapeau américain agitant isolément sur fond blanc (Photo iStock)
Drapeau américain agitant isolément sur fond blanc (Photo iStock)
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  • Selon un communiqué du département d'État, ces fonds doivent aider les Forces armées libanaises (FAL) et les Forces de sécurité intérieure (FSI, chargées du maintien de l'ordre) à « garantir la souveraineté du Liban dans tout le pays ».
  • C'est ce dernier qui est à l'origine de la réunion des donateurs internationaux qui a eu lieu jeudi « avec partenaires et alliés pour évoquer le soutien crucial à la sécurité du Liban afin de pérenniser la cessation des hostilités avec Israël ».

WASHINGTON : Lles États-Unis ont annoncé  samedi le transfert de 117 millions de dollars destinés à soutenir les forces de l'ordre et l'armée libanaises, à l'issue d'une réunion de donateurs internationaux, jeudi.

Selon un communiqué du département d'État, ces fonds doivent aider les Forces armées libanaises (FAL) et les Forces de sécurité intérieure (FSI, chargées du maintien de l'ordre) à « garantir la souveraineté du Liban dans tout le pays ».

C'est ce dernier qui est à l'origine de la réunion des donateurs internationaux qui a eu lieu jeudi « avec partenaires et alliés pour évoquer le soutien crucial à la sécurité du Liban afin de pérenniser la cessation des hostilités avec Israël ».

Un cessez-le-feu a pris effet fin novembre entre le mouvement islamiste pro-iranien Hezbollah et Israël, après plus d'un an de bombardements de part et d'autre, ainsi qu'une incursion des forces israéliennes en territoire libanais à partir de fin septembre.

L'enveloppe annoncée samedi par le département d'État « démontre son engagement à continuer à travailler avec ses partenaires et alliés pour s'assurer que le Liban bénéficie du soutien nécessaire pour renforcer la sécurité du pays et de la région ».

Samedi, le président libanais, Joseph Aoun, a réclamé le retrait de l'armée israélienne « dans les délais fixés » par l'accord de cessez-le-feu.

Ce dernier prévoit le déploiement de l'armée libanaise aux côtés des Casques bleus dans le sud du pays et le retrait de l'armée israélienne dans un délai de 60 jours, soit d'ici au 26 janvier.

Le Hezbollah doit, pour sa part, retirer ses forces au nord du fleuve Litani, à environ 30 km de la frontière libano-israélienne. 


Manifestation pour revendiquer la libération de l'opposante Abir Moussi

Des partisans d'Abir Moussi, chef du Parti Destourien Libre (PDL), participent à une manifestation demandant sa libération, à Tunis le 18 janvier 2025. (Photo FETHI BELAID / AFP)
Des partisans d'Abir Moussi, chef du Parti Destourien Libre (PDL), participent à une manifestation demandant sa libération, à Tunis le 18 janvier 2025. (Photo FETHI BELAID / AFP)
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  • Plusieurs centaines de sympathisants du Parti destourien libre (PDL), qui revendique l'héritage des autocrates Bourguiba et Ben Ali, ont manifesté samedi en Tunisie pour réclamer la libération de leur dirigeante, l'opposante Abir Moussi.
  • Soupçonnée d'avoir voulu rétablir un pouvoir similaire à celui de Zine El Abidine Ben Ali, renversé en 2011 par la première révolte du Printemps arabe.

TUNIS : Plusieurs centaines de sympathisants du Parti destourien libre (PDL), qui revendique l'héritage des autocrates Bourguiba et Ben Ali, ont manifesté samedi en Tunisie pour réclamer la libération de leur dirigeante, l'opposante Abir Moussi.

Brandissant des pancartes sur lesquelles on pouvait lire « Liberté pour Abir » ou « Nous sommes des opposants, pas des traîtres ! », ils étaient entre 500 et 1 000, selon des journalistes de l'AFP. Beaucoup portaient des drapeaux tunisiens et des photos de la dirigeante du PDL.

Ils ont critiqué virulemment à la fois le président Kaïs Saied et le parti islamo-conservateur d'opposition Ennahdha. Mme Moussi, ex-députée de 49 ans, est en détention depuis son arrestation le 3 octobre 2023 devant le palais présidentiel, où, selon son parti, elle était venue déposer des recours contre des décrets de M. Saied.

Mme Moussi fait l'objet de plusieurs accusations, dont celle particulièrement grave de tentative « ayant pour but de changer la forme de l'État », soupçonnée d'avoir voulu rétablir un pouvoir similaire à celui de Zine El Abidine Ben Ali, renversé en 2011 par la première révolte du Printemps arabe.

Les manifestants ont dénoncé le décret 54 sur les « fausses nouvelles », en vertu duquel Mme Moussi est poursuivie dans cette affaire, et dont l'interprétation très large a entraîné l'incarcération depuis septembre 2022 de dizaines de politiciens, d'avocats, de militants ou de journalistes.

Pour Thameur Saad, dirigeant du PDL, emprisonner Mme Moussi pour des critiques envers l'Isie « n'est pas digne d'un pays se disant démocratique ». « Les prisons tunisiennes sont désormais remplies de victimes du décret 54 », a renchéri à l'AFP Karim Krifa, membre du comité de défense de Mme Moussi.

D'autres figures de l'opposition, dont le chef d'Ennahdha, Rached Ghannouchi, sont également emprisonnées.

Depuis le coup de force de M. Saied à l'été 2021, l'opposition et les ONG tunisiennes et étrangères ont déploré une régression des droits et des libertés en Tunisie. Le chef de l'État a été réélu à une écrasante majorité de plus de 90 % des voix le 6 octobre, lors d'un scrutin marqué toutefois par une participation très faible (moins de 30 %).


L'Égypte annonce que 50 camions-citernes de carburant entreront chaque jour dans la bande de Gaza

Le ministère palestinien de la Santé a déclaré qu'une frappe aérienne israélienne sur le camp de réfugiés de Jénine, en Cisjordanie occupée, a tué cinq personnes mardi, l'armée israélienne confirmant avoir mené une attaque dans la région. (Photo d'archives de l'AFP)
Le ministère palestinien de la Santé a déclaré qu'une frappe aérienne israélienne sur le camp de réfugiés de Jénine, en Cisjordanie occupée, a tué cinq personnes mardi, l'armée israélienne confirmant avoir mené une attaque dans la région. (Photo d'archives de l'AFP)
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  • Le ministre égyptien des Affaires étrangères, Badr Abdelatty, a annoncé samedi que 50 camions-citernes chargés de carburant devaient entrer dans la bande de Gaza à partir de dimanche, marquant le début du cessez-le-feu.
  • M. Abdelatty, dont le pays, le Qatar et les États-Unis ont servi de médiateur, a déclaré que l'accord prévoyait « l'entrée de 600 camions par jour dans la bande, dont 50 de carburant ».

LE CAIRE : Le ministre égyptien des Affaires étrangères, Badr Abdelatty, a annoncé samedi que 50 camions-citernes chargés de carburant devaient entrer dans la bande de Gaza à partir de dimanche, marquant le début du cessez-le-feu.

M. Abdelatty, dont le pays, le Qatar et les États-Unis ont servi de médiateur, a déclaré que l'accord prévoyait « l'entrée de 600 camions par jour dans la bande, dont 50 de carburant ».

La trêve devrait entrer en vigueur dimanche à 13 h 30 GMT, ouvrant ainsi la voie à un afflux massif d'aide, selon les médiateurs.

Des centaines de camions sont garés du côté égyptien du poste frontière de Rafah, un point d'entrée autrefois vital pour l'aide humanitaire, fermé depuis mai, lorsque les forces israéliennes ont pris le contrôle du côté palestinien du point de passage.

Au cours d'une conférence de presse conjointe avec son homologue nigérian, M. Abdelatty a déclaré : « Nous espérons que 300 camions se rendront au nord de la bande de Gaza », où des milliers de personnes sont bloquées dans des conditions que les agences humanitaires qualifient d'apocalyptiques.

Les travailleurs humanitaires ont mis en garde contre les obstacles monumentaux qui pourraient entraver les opérations d'aide, notamment la destruction des infrastructures qui traitaient auparavant les livraisons.