Des écrivains et des poètes font l’éloge des séminaires «inspirants» de la commission saoudienne

Les derniers séminaires de la commission saoudienne ont eu lieu à Al-Jouf, AlUla et Baha. (Photo fournie)
Les derniers séminaires de la commission saoudienne ont eu lieu à Al-Jouf, AlUla et Baha. (Photo fournie)
Les derniers séminaires de la commission saoudienne ont eu lieu à Al-Jouf, AlUla et Baha. (Photo fournie)
Les derniers séminaires de la commission saoudienne ont eu lieu à Al-Jouf, AlUla et Baha. (Photo fournie)
Les derniers séminaires de la commission saoudienne ont eu lieu à Al-Jouf, AlUla et Baha. (Photo fournie)
Les derniers séminaires de la commission saoudienne ont eu lieu à Al-Jouf, AlUla et Baha. (Photo fournie)
Les derniers séminaires de la commission saoudienne ont eu lieu à Al-Jouf, AlUla et Baha. (Photo fournie)
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Publié le Mercredi 30 août 2023

Des écrivains et des poètes font l’éloge des séminaires «inspirants» de la commission saoudienne

  • Au cours des séminaires, qui durent entre sept et dix jours, les écrivains et les poètes sont accompagnés par un spécialiste d’un genre littéraire
  • «Le séminaire nous isole du monde avant que nous y revenions, ayant enfin trouvé un terrain fertile pour notre imaginaire et nos mots»

LA MECQUE: Les poètes et les écrivains d'Arabie saoudite ont salué la mise en place d’une série de séminaires organisés par la Commission de littérature, d’édition et de traduction du ministère de la Culture. Ils sont destinés, depuis 2019, aux poètes et aux écrivains locaux ou internationaux. Les derniers événements ont eu lieu à Al-Jouf, AlUla et Baha.

Les séminaires proposent des tables rondes et des visites dans des zones dédiées ainsi que des moments consacrés au travail et à l’écriture.

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Les derniers séminaires de la commission saoudienne ont eu lieu à Al-Jouf, AlUla et Baha. (Photo fournie)

Au cours des séminaires, qui durent entre sept et dix jours, les écrivains et les poètes sont accompagnés par un spécialiste d’un genre littéraire.

La commission organise également des résidences internationales d’écrivains dans certains pays du monde, qui durent plus d’un mois. Arab News s’est entretenu avec des écrivains qui ont participé à ces séminaires.

Le poète Talal al-Tuwairqi, récemment revenu d’Afrique du Sud, confie: «L’expérience des résidences internationales d’écrivains adoptée par le ministère de la Culture, représenté par la Commission de la littérature, de l’édition et de la traduction, était le rêve de tous les créateurs qui cherchaient à réaliser leurs projets. Nous avons bénéficié de temps et cela nous a permis de nous concentrer sur nos travaux d’écriture et de les mener à bien. Par ailleurs, toutes les conditions nécessaires ont été mises en place pour que cette résidence de création soit productive à tous les niveaux.»

«La véritable valeur des résidences de création réside dans ce que les artistes y accomplissent et dans les répercussions culturelles qu’elles génèrent dans les pays visités.»
Talal al-Tuwairqi, poète saoudien

«Ma résidence en Afrique du Sud était vraiment magnifique: j’ai découvert la culture, les coutumes, les écrivains et un grand nombre de gens accueillants dans ce pays. J’ai également pu leur faire connaître notre culture et nos coutumes.»

Il ajoute: «La véritable valeur des résidences de création réside dans ce que les artistes y accomplissent et dans les répercussions culturelles qu’elles génèrent dans les pays visités. En outre, ces expériences mettent en valeur l’image lumineuse du Royaume. L’Arabie saoudite se montre attentive à ses créateurs et les soutient dans tous les domaines.»

Le poète Mohammed Abou Charara, qui a lui aussi participé à un séminaire, déclare à Arab News: «Jamais je n’aurais imaginé pouvoir participer à une initiative littéraire qui retiendrait toute mon attention comme le séminaire d’écriture organisé par la Commission de littérature, d’édition et de traduction du ministère de la Culture à AlUla. Cette expérience m’a aidé à trouver l’inspiration nécessaire pour écrire mon poème.»

«Ils nous ont accueillis avec amour, chaleur et générosité. Ils proposent de remarquables conditions pour donner aux poètes la possibilité de mener à bien les projets qu’ils avaient commencés et d’initier de nouveaux projets. Le but est d’inspirer les artistes et d’inscrire dans leur esprit le souvenir du lieu où ils se trouvent. D’ailleurs, cette expérience se prolonge en eux au-delà de la période de résidence, faisant naître des poèmes d’un parfum inépuisable.»

«L’Année de la poésie arabe est une bénédiction pour les poètes saoudiens», ajoute M. Abou Charara.

«Nous avons rencontré le grand poète Adonis pendant deux jours. Nous avons évoqué toutes les préoccupations liées à la poésie; nous nous sommes promenés dans les ruines archéologiques d’AlUla, qui reflètent la longue histoire de la région. Nous avons visité Al-Hijr, Dadan, Ikmah, Tantora et le Rocher de l’éléphant. J’ai vu à quel point il était étonné lorsqu’il a découvert que la boussole du temps, du lieu, de la langue, de la poésie et de l’histoire pointait vers ce pays béni.»

«En tant qu’écrivaine et forte de mon expérience au sein du séminaire d’écriture de Baha, je peux affirmer que cette initiative constitue une priorité pour les écrivains, les romanciers et les conteurs. C’est un métier difficile dont les fruits mettent du temps à éclore», explique quant à elle la romancière Zaineb al-Khoudairi.

«Le séminaire de Baha était une occasion en or pour les écrivains que j’ai eu l’honneur d’encadrer: les Saoudiens Abdelaziz al-Jasim, Najwa al-Omari et Fatima al-Saleh, le Koweïtien Abdelmalik al-Othman, et la Syrienne Haïfa Nabi. Certains ont écrit de nouveaux romans; d’autres ont achevé ceux qu’ils avaient commencés», poursuit-elle.

«Être à Baha, avec son riche patrimoine et son climat froid, a motivé les écrivains, tout comme les idées évoquées au cours des tables rondes quotidiennes de deux heures. Nous avons abordé des sujets qui sont profondément en lien avec le métier d’écrivain. En outre, nous avons partagé les expériences diverses et inspirantes vécues par les participants», indique-t-elle encore.

La romancière Haïfa Nabi, à la fois kurde et syrienne, confie pour sa part: «Pour nous, en tant qu’écrivains, le séminaire n’a rien d’anecdotique: il est au cœur du processus de création. Il nous isole du monde avant que nous y revenions, ayant enfin trouvé un terrain fertile pour notre imaginaire et nos mots.»

Elle poursuit en ces termes: «Visiter le village patrimonial d’Al-Malad et vivre, ne serait-ce que quelques heures, dans un monde différent de celui où je vis d’habitude en tant qu’expatriée en Allemagne a rendu mon expérience inoubliable.»

«Cela m’a inspirée et m’a donné beaucoup d’énergie quand j’ai retrouvé ma vie “normale”, qui est pleine de tâches et de devoirs. Je suis heureuse que cette expérience se soit produite au moment où je rencontrais des difficultés dans l’écriture de mon roman.»

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L’éducation assistée par les animaux et la magie du théâtre pour les enfants à Dubaï

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  • Une initiative fascinante qui met en avant l'importance de l'éducation assistée par les animaux
  • Le concept repose sur une idée simple mais puissante : rendre la lecture plus ludique et accessible

DUBAÏ : Le mois de mars est marqué par un événement exceptionnel pour les familles à Dubaï et à Abou Dhabi, avec la présentation du spectacle « Spot's Birthday Party » aux Émirats arabes unis. Ce spectacle est une adaptation théâtrale du célèbre livre d'Eric Hill, un incontournable de l'enfance.

Mais derrière cet événement, il existe une initiative fascinante qui met en avant l'importance de l'éducation assistée par les animaux, et Karalynn Thomson, la fondatrice des « Reading Dogs », en est l'une des principales ambassadrices.

Depuis le lancement de l'initiative en 2017, les « Reading Dogs » ont apporté une nouvelle dimension à l'apprentissage des enfants, notamment dans les écoles. Le concept repose sur une idée simple mais puissante : rendre la lecture plus ludique et accessible.

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Les « Reading Dogs » au Zabeel Theater à Dubaï. (Photo: Arab News en français)

À travers des séances d'éducation assistée par les animaux, les enfants sont encouragés à lire à haute voix devant des chiens spécialement formés, créant ainsi un environnement de confiance et de soutien.

Karalynn Thomson, qui dirige cette initiative, explique que les sessions de « Reading Dogs » sont désormais tenues dans une vingtaine d'écoles, avec un programme hebdomadaire qui s'étend entre 20 et 40 sessions.

« Nous avons 22 chiens qui travaillent avec nous et qui visitent les écoles chaque jour, en anglais, arabe, portugais, et pour des enfants de tous âges », souligne-t-elle. « L'objectif est de rendre la lecture plus agréable et de donner aux enfants plus de confiance. »

Si l'initiative touche principalement les jeunes enfants, Karalynn précise que l’impact de ces sessions s'étend également à des étudiants universitaires et au-delà.

« Nous intervenons particulièrement auprès des étudiants universitaires pendant la période des examens, lorsque l'anxiété et le stress sont plus présents. Nous avons également des programmes pour les élèves du secondaire », ajoute-t-elle.

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Les « Reading Dogs » au Zabeel Theater à Dubaï. (Photo: Arab News en français)

Bien que les « Reading Dogs » n'interviennent pas encore dans les écoles françaises, Karalynn indique que le principe reste universel. « Nous ne travaillons pas encore avec des écoles françaises, mais le concept et la recherche sur l'éducation assistée par les animaux résonnent dans toutes les langues. »

En effet, l'approche reste la même, peu importe la culture ou la langue : « Rendre l'apprentissage plus agréable, moins stressant, et plus engageant pour les enfants. »

Un autre volet de cette initiative est le programme des « Happiness Dogs », destiné aux enfants ayant des besoins spécifiques, notamment dans les départements de thérapie du langage et d'ergothérapie. Ces sessions se concentrent sur l’interaction avec les chiens pour aider les enfants à développer des compétences motrices et émotionnelles tout en s’amusant.

Karalynn raconte une collaboration marquante avec l'hôpital Al Jalila aux Émirats arabes unis : « Nous avons lancé le programme des Happiness Dogs avec l'hôpital Al Jalila, en particulier pour aider les enfants en convalescence après une chirurgie, y compris des interventions cérébrales. L’idée est de les encourager à se lever, marcher, ou même simplement brosser un chien, pour stimuler leur motricité tout en leur apportant un soutien émotionnel. »

Cet investissement dans le bien-être des enfants par l’intermédiaire des chiens montre à quel point l’éducation et la guérison peuvent être profondément humaines et connectées à des méthodes innovantes.


Les secrets culinaires de Laia Ferrer Baile : Conseils et recette savoureuse

Laia Ferrer Baile est la chef du Tabrah in Nujuma, une réserve du Ritz-Carlton située sur l'île d'Ummahat, au large de l'Arabie saoudite. (Fourni)
Laia Ferrer Baile est la chef du Tabrah in Nujuma, une réserve du Ritz-Carlton située sur l'île d'Ummahat, au large de l'Arabie saoudite. (Fourni)
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  • De l'élégance des cuisines étoilées Michelin en Espagne et en France aux destinations gastronomiques des Maldives et de Bangkok, la chef Laia Ferrer Baile a su se forger une carrière exceptionnelle
  • En tant que chef du Tabrah à Nujuma, une réserve du Ritz-Carlton située sur l'île d'Ummahat au large de l'Arabie saoudite, elle apporte son expertise au Royaume

DUBAI : De l'élégance des cuisines étoilées Michelin en Espagne et en France aux destinations gastronomiques des Maldives et de Bangkok, la chef Laia Ferrer Baile a su se forger une carrière exceptionnelle.

Née et grandie à Barcelone, Laia Ferrer Baile a su dès son enfance que sa voie serait la cuisine. Elle a poursuivi son rêve en se formant dans des établissements prestigieux, notamment le Restaurante Disfrutar, où elle a affiné son art aux côtés de chefs étoilés, contribuant à la renommée de ce temple de la gastronomie trois étoiles Michelin.

Aujourd'hui, en tant que chef du Tabrah à Nujuma, une réserve du Ritz-Carlton située sur l'île d'Ummahat au large de l'Arabie saoudite, elle apporte son expertise au Royaume.

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Tabrah à Nujuma, une réserve Ritz-Carlton. (Fourni)

« Mon expérience en Arabie saoudite a été extraordinaire. Les gens sont incroyablement accueillants, la cuisine y est délicieuse, et l'environnement dans lequel je travaille est tout simplement fantastique », confie-t-elle à Arab News.

Mme Baile nous fait part ici de ses réflexions sur la simplicité en cuisine, les préférences des clients et ses cuisines préférées.

Lorsque vous avez commencé, quelle est l'erreur la plus fréquente que vous avez commise ?

Je me souviens d'avoir mis des milliers de choses sur un plat à l'université parce que je pensais que plus j'en mettrais, plus le professeur aimerait. Mais c'était un désastre. J'ai appris que la simplicité est la meilleure solution. Il n'est pas nécessaire d'ajouter des milliers de choses pour que quelque chose ait du goût. Parfois, il suffit de mettre du sel et du poivre.

Quel est votre meilleur conseil pour les cuisiniers amateurs ?

Appréciez ce que vous faites. Je dis toujours à ma famille : "Ce n'est pas une course". Détendez-vous et profitez du moment présent. Soyez curieux de ce que vous faites et apprenez pourquoi vous le faites.  

Quel ingrédient peut améliorer instantanément n'importe quel plat ?

En tant qu'Espagnole, je pense que c'est l'huile d'olive extra vierge. Nous l'appelons l'or liquide. Il peut rendre n'importe quel plat très simple extraordinaire. Par exemple, si vous mettez un peu d'huile d'olive sur un morceau de pain, il deviendra instantanément meilleur.

Lorsque vous allez au restaurant, êtes-vous parfois tentée de juger la qualité des plats servis ?

Mon premier réflexe a été de dire non. Mais mon petit ami m'a dit : "Comment peux-tu dire non à cette question ? Tu fais ça tout le temps". Alors, apparemment, c'est ce que je fais. Mais j'aime aussi profiter de mon expérience. Je pense que c'est lorsque je m'attends à ce que quelque chose soit très bien et que ce n'est pas le cas - c'est alors que je suis vraiment critique. Lorsque je ne m'attends pas à grand-chose, comme la cuisine de rue à Bangkok ou un petit restaurant familial, je ne suis pas aussi critique. Mais si je vais dans un endroit cher que je veux vraiment essayer et qu'il me déçoit, je le serai.

Quel est le problème le plus fréquent que vous rencontrez dans les autres restaurants ?

Les plats sont trop compliqués. Et il y a aussi des restaurants où l’on ressent que les serveurs ne sont pas vraiment investis, ce qui se traduit par un manque d'attention et de service.

Quelle est votre cuisine préférée ?

J'ai deux types de restaurants préférés. Il y a ceux où je vais avec ma famille ou mes amis pour savourer et célébrer - ce sont ceux où je trouve mes plats réconfortants qui me rappellent la cuisine de ma mère et toutes les choses espagnoles. Mais j'aime aussi trouver de nouvelles touches qui rehaussent un peu la nourriture. Ces touches m'inspirent également. C'est pourquoi j'aime beaucoup aller dans les restaurants Michelin, où les chefs font quelque chose de nouveau, juste pour me donner une étincelle.

Quel est votre plat préféré si vous devez cuisiner quelque chose rapidement à la maison ?

Avant, c'était le curry. J'adorais préparer des plats rapides à base de curry - j'avais toujours de la pâte de curry à la maison. Aujourd'hui, j'aime cuisiner du pad thaï, car c'est le plat préféré de ma sœur. J'essaie toujours de le préparer lorsque je suis pressée. Il a bon goût et il est rapide et facile à préparer.

Quel est le comportement du client qui vous agace le plus ?

Je suis très contrarié lorsque les gens veulent changer les ingrédients des plats. Je peux comprendre que, par exemple, quelqu'un ne mange pas de tomates, alors nous essaierons de les supprimer. Je suis allergique au poireau, par exemple, et lorsque je vais dans certains restaurants, les gens ne me croient pas parce qu'il y a beaucoup de gens qui disent avoir des allergies alors qu'ils n'en ont pas. En cuisine, nous prenons très au sérieux les personnes qui disent avoir des allergies : Nous cuisinons les aliments séparément, nous nettoyons bien la cuisine et nous avons des planches à découper et des couteaux spéciaux que nous utilisons uniquement pour cette personne. Ainsi, si une personne dit qu'elle est allergique alors qu'elle ne l'est pas, cela nous fait vraiment perdre du temps.

Quel est votre plat préféré ?

Le Suquet de Peix, un ragoût de fruits de mer à base de pommes de terre. Il me ramène à mes racines. Lorsque j'étais enfant, ma famille possédait un appartement au bord de la plage, et c'était un plat très typique de la région.  

Quel est le plat le plus difficile à réussir pour vous ?

Tout ce qui doit être cuisiné avec de la farine ou du sucre, comme les pâtisseries. Je pense que je suis vraiment mauvais dans ce domaine. Je pense que c'est parce que je me dis tous les jours que je suis mauvais et que je ne m'entraîne pas à le faire. Ne me demandez pas de faire un soufflé, par exemple ; ce sera une omelette.

En tant que chef, quel est votre style de gestion ?

En ce moment, je dirige une équipe exclusivement féminine. La plupart d'entre elles sont fraîchement diplômées, et je ne peux donc pas être trop dur ou agressif avec elles. J'essaie vraiment de leur offrir un environnement positif et valorisant, car j'ai travaillé dans de très, très mauvaises cuisines où elles criaient et lançaient des objets. Je ne voudrais pas qu'ils vivent cela. Mais nous devons toujours faire preuve de discipline. C'est la chose la plus importante.


La Biennale des Arts Islamiques de Djeddah célèbre le Ramadan avec les Nuits de la Biennale

Du 6 au 15 mars, le marché du Ramadan accueille les visiteurs tous les jours de 20h à 2h du matin, offrant un mélange vibrant d'activités et d'attractions (SPA)
Du 6 au 15 mars, le marché du Ramadan accueille les visiteurs tous les jours de 20h à 2h du matin, offrant un mélange vibrant d'activités et d'attractions (SPA)
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  • Organisé au terminal occidental du Hajj à l'aéroport international du roi Abdulaziz, l'événement offre aux visiteurs une expérience culturelle et spirituelle

DJEDDAH : La Fondation de la Biennale de Diriyah a dévoilé les Nuits de la Biennale, un programme spécial Ramadan à la Biennale des Arts Islamiques de Djeddah.

Organisé au terminal Hajj occidental de l'aéroport international du roi Abdulaziz, l'événement se poursuivra jusqu'au 25 mai, offrant aux visiteurs une expérience culturelle et spirituelle qui célèbre le mois sacré tout en mettant en valeur le riche patrimoine islamique de l'Arabie saoudite.

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Sous la chaude lueur des nuits de Ramadan, les visiteurs de la Biennale des Arts Islamiques de Djeddah se rassemblent pour célébrer la foi, l'art et la tradition (Photo fournie).

Pendant le ramadan, les visiteurs peuvent participer à des ateliers de calligraphie arabe et d'artisanat traditionnel, ainsi qu'à des expériences interactives explorant les expressions artistiques associées au mois sacré.

Ahmed Ramadan a partagé son expérience à Arab News : "C'était la première fois que je visitais la Biennale des Arts Islamiques, mais j'avais prévu d'y aller depuis un certain temps. Lorsqu'ils ont annoncé les événements du ramadan, j'ai été encore plus enthousiaste. Je pense qu'il existe un lien étroit entre les activités du Ramadan et les arts islamiques. Je suis venu avec un groupe d'amis et nous avons trouvé de nombreuses activités qui convenaient aux jeunes".