Dans un pays normal, un responsable comme Riad Salameh, que "The Economist" a qualifié de "pire gouverneur de banque centrale au monde", n'aurait pas mis fin à son mandat de gouverneur de la Banque centrale du Liban sous les acclamations de ses associés.
Salameh, contre qui les tribunaux français et allemands ont émis des mandats d'arrêt et pour lequel Interpol a émis des notices rouges, devrait être poursuivi et déshonoré.
Le peuple libanais l'a dénoncé et condamné, même le parquet libanais l'a inculpé de crimes tels que le blanchiment d'argent, la fraude et le détournement de fonds.
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