Benzema fier d’être en Arabie saoudite, annonce être prêt à se surpasser

Karim Benzema signe avec le club saoudien Al-Ittihad (Photo fournie/Al-Ittihad).
Karim Benzema signe avec le club saoudien Al-Ittihad (Photo fournie/Al-Ittihad).
Karim Benzema signe avec le club saoudien Al-Ittihad (Photo fournie/Al-Ittihad).
Karim Benzema signe avec le club saoudien Al-Ittihad (Photo fournie/Al-Ittihad).
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Karim Benzema signe avec le club saoudien Al-Ittihad (Photo fournie/Al-Ittihad).
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Publié le Vendredi 09 juin 2023

Benzema fier d’être en Arabie saoudite, annonce être prêt à se surpasser

  • La nouvelle star d’Al-Ittihad est impatiente de jouer contre son ancien coéquipier du Real Madrid, Cristiano Ronaldo
  • Benzema veut encourager les jeunes et les femmes à jouer au football

DJEDDAH: Karim Benzema, nouvelle recrue d’Al-Ittihad, est impatient de gagner des matchs devant les supporters saoudiens «passionnés» et de remporter des trophées pour son nouveau club «légendaire» dans une ligue compétitive qui, selon lui, s’améliore d’année en année.

L’actuel Ballon d’Or a signé avec le club de Djeddah après 14 saisons de gloire nationale et européenne avec les géants espagnols du Real Madrid. Il espère que son expérience permettra à son nouveau club, récemment couronné champion de la Saudi Pro League, de rafler de nombreux trophées.

Dans une entrevue exclusive publiée sur les comptes Twitter et Instagram du club et sur les réseaux de la Saudi Pro League, il a déclaré : «Je ferai tout pour pouvoir gagner des titres. C’est une nouvelle histoire pour moi et j’aimerais emmener ce club encore plus loin. C’est un club avec beaucoup de passion. J’ai envie que les fans se retrouvent en moi. J’ai envie de laisser une très bonne trace parce que j’aime le football. J’ai toujours cette combativité à repousser encore mes limites et aller de l’avant. C’est pour cela que je vais bien me préparer pour leur donner et leur montrer tout le talent que j’ai.»

Lorsqu’on lui a demandé pourquoi il avait choisi l’Arabie saoudite, il a répondu : «Parce que je suis musulman et c’est un pays musulman. J’ai envie d’y vivre. Je suis déjà allé en Arabie saoudite et je m’y sens bien. Mais surtout, c’est un pays musulman qui m’est cher et qui est beau. Quand j’ai annoncé aux membres de ma famille que j’allais signer en Arabie saoudite, ils ont tous été très contents. C’est là où j’ai envie d’être.»

Les nouvelles stars

En ce qui concerne le niveau des joueurs de la Saudi Pro League, il a ajouté : «J’ai entendu beaucoup de choses, c’est un bon championnat et les bons joueurs sont nombreux (...). J’ai suivi la Coupe du monde. L’Arabie saoudite a très bien joué, surtout contre l'Argentine.»

Au cours de sa brillante carrière au Real Madrid, Benzema a créé une puissante menace offensive aux côtés de Cristiano Ronaldo. La saison prochaine, il sera opposé à son ancien coéquipier de Bernabeu, la sensation portugaise ayant rejoint Al-Nassr à Riyad l’année dernière.

Benzema admet que son ancien coéquipier joue un rôle important dans l’amélioration du niveau et du profil du football saoudien.

«C’est également important que Cristiano Ronaldo soit en Arabie Saoudite, parce que c’est un très grand joueur. Il apporte beaucoup au football dans ce pays et cela va élever davantage le niveau de jeu», a-t-il affirmé. «C’est important de montrer que le football saoudien peut avoir un impact mondial. Je ne peux pas jouer en Arabie saoudite et ne pas être performant. Au contraire, je dois montrer tout ce que j’ai réalisé en Europe et faire mes preuves en Arabie saoudite.»

Benzema a été séduit par l’idée de rejoindre Al-Ittihad, le club sportif d’Arabie saoudite le plus ancien. Expliquant sa décision d’échanger sa vie à Madrid contre une autre à Djeddah, il a indiqué : «C’est un club remarquable en Arabie saoudite qui a remporté de nombreux trophées et dont les fans sont passionnés.»

«J’aimerais porter le club vraiment haut. Le stade est exceptionnel, et les fans, comme je l’ai déjà dit, ont beaucoup de passion. Une bonne équipe a toujours besoins de supporters. Les fans sont très importants, et je sais que leur passion nous donne l’envie d’être meilleurs sur le terrain.»

Un football saoudien en ébullition

La signature de Benzema s’inscrit dans le cadre d’une nouvelle phase de développement de la marque pour la Saudi Pro League, visant à faire connaître le club à l’échelle mondiale, à impliquer davantage de fans de football saoudiens dans la société et à encourager une plus grande participation des communautés au sport, dans le cadre de la Vision 2030, l’ambitieux plan de transformation saoudien. Au cours de la dernière saison de la Saudi Pro League, Al-Ittihad a accueilli plus de 600 000 supporters, soit plus que tout autre club de la ligue, et a été suivi par 48 chaînes et plates-formes différentes dans 170 pays.

L’attaquant espère que sa signature aura un impact sur les fans de football dans tout le pays. « Le message pour tous les jeunes qui jouent au foot, qui aiment le foot, c’est de croire en leurs rêves, de travailler, de respecter les règles du footballeur, donc de l’être humain, et de toujours avoir ce plaisir de jouer au foot. Il ne faut jamais baisser les bras. On peut toujours réussir en travaillant », a-t-il souligné.

Lorsqu’on lui a demandé si sa signature très médiatisée encouragerait davantage de femmes à participer au football, il a déclaré : «Le football, c’est important pour tout le monde, pour les femmes comme pour les hommes. Nous le voyons même en Europe, où il y a des équipes féminines, y compris en Ligue des champions. Il est donc important de soutenir à la fois les hommes et les femmes.»

Outre le football, Benzema a avoué qu’il avait d’autres raisons de s’installer en Arabie saoudite, mentionnant que sa foi musulmane avait grandement influencé sa décision.

«Je sens déjà que les gens m’aiment. Cela va me permettre d’avoir une nouvelle vie», a-t-il lancé. «J’ai envie de parler couramment la langue arabe, c’est important. J’ai la chance d’être en Arabie saoudite. La Mecque est toute proche (de Djeddah) et, comme je suis croyant, cela est important pour moi. Ici, je me sentirai chez moi, à l’endroit où je dois être.»

La star française a atterri à l’aéroport international du roi Abdelaziz de Djeddah le mercredi 7 juin en fin de journée, avant son dévoilement officiel en Arabie saoudite.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Anthony Hopkins enchante Riyad avec une symphonie onirique

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
Anthony a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad. (Photo Fournie)
Anthony a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad. (Photo Fournie)
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  • Présentée par Morgan Freeman, l'icône hollywoodienne se penche sur le langage universel de la musique
  • Un concert en Arabie Saoudite : un honneur inimaginable, dit Hopkins

RIYADH : Dans un mélange captivant d'art et d'humanité, l'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé "La vie est un rêve", dans le cadre des festivités de la Saison de Riyad.

Présenté par son collègue acteur Morgan Freeman, Hopkins a commencé son discours par la salutation arabe "As-salamu alaykum", donnant ainsi le ton du respect culturel et de l'unité.

Hopkins a partagé ses réflexions sur la vie et l'art, s'inspirant des mots d'Edgar Allan Poe : "J'ai toujours cru que tout ce que nous voyons ou semblons être n'est qu'un rêve à l'intérieur d'un rêve".

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)

Il a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad.

C'est avec une grande humilité et une immense gratitude que je présente ma pièce, "La vie est un rêve", dans le cadre de la Saison de Riyad", a-t-il déclaré.

Se remémorant sa vie, il a décrit le chemin parcouru depuis le "fils d'un simple boulanger" du sud du pays de Galles jusqu'à un compositeur et un acteur de renommée mondiale.

"Pour moi, ma vie est un profond mystère", a-t-il déclaré. "Il est impossible de comprendre ou de s'attribuer le mérite des bénédictions qui m'ont été accordées. C'est pourquoi je crois que la vie est un rêve, et cette pièce, "Life is a Dream", m'a été inspirée par mon enfance rêveuse dans le sud du pays de Galles, par ma mère qui m'a merveilleusement soutenu et par mon père, qui était plus grand que nature et qui a travaillé sans relâche tout au long de sa vie.

Hopkins a invoqué la philosophie de Ralph Waldo Emerson, soulignant que la musique et l'art sont des connecteurs spirituels.

"La musique et l'art sont des chemins vers Dieu, le principal moyen de relier toutes les âmes humaines. Emerson a compris que toucher une âme, c'est toucher toutes les âmes et je crois moi aussi que la musique a un pouvoir de transformation", a-t-il déclaré.

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)

"J'ai toujours rêvé d'être compositeur, mais je n'ai jamais su comment. Pourtant, donner ce concert en Arabie saoudite, berceau de l'islam, où le prophète Mahomet a reçu ses messages et où se trouvent les villes saintes de La Mecque et de Médine, est un honneur inimaginable".

Abordant les défis mondiaux, M. Hopkins a souligné l'importance de l'unité et de la paix.

"Je ne peux imaginer un meilleur endroit qu'ici pour nous rassembler, surmonter nos différences et envisager un monde de paix, d'équilibre et d'amour", a-t-il déclaré.

"À 87 ans, je comprends parfaitement que la mort est inévitable. Mais le thème de ce concert est que la vie est un long adieu à tout ce que nous aimons, un adieu prolongé, mais rempli de pardon et d'émerveillement".

M. Hopkins a conclu en remerciant l'équipe qui a rendu ce concert possible, en particulier Rakan Al-Harthi, directeur général de Sela, son producteur musical Stephen Barton, le chef d'orchestre Matthew Freeman et le Royal Philharmonic Orchestra. Il a terminé son discours par "Shukran".

Grâce à cet événement, Hopkins a non seulement mis en valeur ses talents musicaux, mais il a également laissé une impression durable sur la Saison de Riyad, en soulignant le pouvoir unificateur de l'art et de la musique dans la promotion de la tolérance, de l'amour et de la compréhension entre les cultures.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com

   

Le mouvement Slow Food s'implante à AlUla

AlUla dévoile le centre d'art culinaire de Dadan, qui célèbre le mouvement slow food, la durabilité et les traditions culinaires. (Photo Fournie)
AlUla dévoile le centre d'art culinaire de Dadan, qui célèbre le mouvement slow food, la durabilité et les traditions culinaires. (Photo Fournie)
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  • Le Centre d'art culinaire Dadan est un centre d'éco-gastronomie qui allie patrimoine et système alimentaire durable.
  • Le marché fermier de Dadan, qui met en valeur les richesses agricoles de la ville tous les week-ends avec un éventail de produits frais et saisonniers, est l'un des sites incontournables d'AlUla.

RIYADH : grâce à l'ouverture du Centre d'art culinaire Dadan, la ville d'AlUla accueille un nouveau foyer du mouvement slow food. Ce centre célèbre l'agriculture durable, les traditions alimentaires locales et les repas réfléchis.

Ce mouvement mondial vise à favoriser un lien plus profond entre les consommateurs et leurs sources de nourriture, en prônant l'utilisation d'ingrédients saisonniers et locaux, et en soutenant tous les membres de la communauté, des valeurs qui ont guidé le développement d'AlUla en tant que destination durable.

Le Centre des arts culinaires Dadan est un centre mondial d'éco-gastronomie qui allie l'héritage de l'oasis verdoyante d'AlUla aux valeurs contemporaines d'un système alimentaire équitable et durable.

Situé près du site historique de Dadan, le centre propose des repas, des ateliers interactifs et la possibilité de rencontrer les agriculteurs d'AlUla, le tout dans un cadre naturel d'exception.

Le marché fermier de Dadan, qui met en valeur les richesses agricoles de la ville tous les week-ends avec un éventail de produits frais et saisonniers, est l'un des sites incontournables d'AlUla.

Les familles locales, dont les moyens de subsistance sont étroitement liés à l'agriculture de l'oasis, présentent leurs produits et invitent les visiteurs à découvrir les saveurs authentiques d'AlUla. Les visiteurs peuvent savourer des plats préparés selon des méthodes traditionnelles ou choisir des produits frais à déguster sur l'aire de pique-nique, adoptant ainsi la philosophie « de l'oasis à la table » qui est au cœur de la mission du centre. Chaque achat soutient directement les agriculteurs locaux.

Le restaurant Diyar du centre, nommé d'après le mot arabe signifiant « maison », offre une expérience gastronomique inoubliable. Chaleureux et accueillant, il surplombe les montagnes majestueuses et sert des plats préparés à partir d'ingrédients provenant de sources durables et cultivés localement. Sous la direction du chef primé Sergio Rama, il redéfinit l'hospitalité en transformant des repas simples en une célébration de la communauté et du patrimoine.

Une autre façon d'en savoir plus sur AlUla et ses habitants est de participer aux ateliers du centre, qui enseignent les pratiques durables et les traditions locales. 

Qu'il s'agisse d'apprendre les principes fondamentaux de la cuisine de la ferme à la table, de maîtriser les arts de la saumure et de la fermentation ou d'explorer les multiples utilisations du moringa dans les huiles et les savons, les participants acquièrent des connaissances pratiques sur de multiples pratiques artisanales et alimentaires.

Grâce au centre d'art culinaire Dadan, AlUla invite le monde à redécouvrir le plaisir d'une cuisine saine et traditionnelle dans son oasis intemporelle.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


« Unstoppable » : Une sortie attendue mais réjouissante

"Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome dans le rôle de Robles, Jennifer Lopez dans celui de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans celui de son beau-père Rick. (Fourni)
"Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome dans le rôle de Robles, Jennifer Lopez dans celui de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans celui de son beau-père Rick. (Fourni)
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  • Le film "Unstoppable" raconte l'histoire réelle d'Anthony Robles, un lutteur américain qui a remporté le championnat national de lutte universitaire de 125 livres (57 kg) en 2011 bien qu'il soit né avec une seule jambe
  • Le problème avec les films de sport (ou du moins les bons), c'est qu'il faut vraiment s'appuyer sur tous les clichés et embrasser toutes les expressions qui font chavirer le cœur

LONDRES : Il est facile d'oublier qu'il arrive parfois que l'on attende simplement une dose de bonnes vibrations d'un film — et peu de genres s'y prêtent mieux que le biopic sportif.

Le film "Unstoppable" raconte l'histoire réelle d'Anthony Robles, un lutteur américain qui a remporté le championnat national de lutte universitaire de 125 livres (57 kg) en 2011 bien qu'il soit né avec une seule jambe.

Réalisé par William Goldenberg (scénariste et monteur de renom, qui fait ici ses débuts en tant que réalisateur), "Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome ("Moonlight", "When They See Us") dans le rôle de Robles, avec Jennifer Lopez dans le rôle de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans le rôle de son beau-père Rick.

Déjà talentueux lutteur au lycée, Robles rate la bourse d'études dont il rêvait, mais choisit de payer pour aller à l'université d'État de l'Arizona et gagner une place dans l'équipe de lutte de l'établissement.

Malgré le comportement abusif de Rick à la maison, Robles continue de gagner la confiance de ses coéquipiers. Soutenu par la foi inébranlable de sa mère et de son entraîneur au lycée (joué par Michael Pena), il se montre non seulement digne de sa place, mais aussi un athlète capable de performer sur la scène nationale.

Le problème avec les films de sport (ou du moins les bons), c'est qu'il faut vraiment s'appuyer sur tous les clichés et embrasser toutes les expressions qui font chavirer le cœur. Parce que, si vous le faites - et si le film a un casting décent qui fait un travail sérieux - le résultat en vaut la peine.

C'est le cas de "Unstoppable", un film aussi déterminé que son protagoniste du monde réel. Bien sûr, il y a quelques éléments de l'histoire qui sont évoqués puis abandonnés. Bien sûr, la montée en puissance de l'épreuve de force est plus que prévisible.

Mais ce film bénéficie de l'excellente performance de Jerome (aidé par des effets et des cascades absolument parfaits, qui voient Robles lui-même exécuter certaines séquences de lutte), et d'une distribution secondaire immensément talentueuse.

Lopez, Cannavale et Peña jouent tous très bien leur rôle, mais Don Cheadle mérite également des éloges pour son interprétation en tant qu'entraîneur et mentor de Robles à l'université.

S'agit-il de l'exploration la plus sophistiquée du monde de la lutte universitaire ? Non. Mais s'agit-il d'un film chaleureux et décent qui vous fera du bien ? Absolument.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com