RedStart Tunisie: dynamiser l’écosystème de l’innovation

Capture d'écran du webinar.
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Publié le Vendredi 04 décembre 2020

RedStart Tunisie: dynamiser l’écosystème de l’innovation

  • Le dispositif RedStart Tunisie a pour but de renforcer l’accompagnement de 62 entrepreneurs dont 25 seront accompagnés dans la recherche de financement et 12 entreprises recevront un appui dans leur développement à l’international
  • «Ce qui manque aujourd’hui en Tunisie, c’est la coordination et la coopération entre les acteurs. Les startupers et les PME ont besoin d’être informés, orientés pour développer des projets plus cohérents»

PARIS: Comment dynamiser l’écosystème de l’innovation en Tunisie? Comment améliorer la compétitivité des entreprises et des start-up dans un contexte particulier lié aux répercussions de la crise sanitaire mondiale sur l’économie? 

RedStart Tunisie, accélérateur de petites et moyennes entreprises (PME) innovantes et de start-up, a lancé le programme Red'Innov, pour renforcer l’écosystème de l’innovation en Tunisie. Mis en œuvre par Expertise France et soutenu par l’Union européenne via le programme Innov’i-EU 4 Innovation, le programme Red'Innov a été lancé via un webinaire intitulé «L'écosystème de l'innovation en Tunisie et l'appui aux start-up et PME innovantes», le 25 novembre dernier. 

Douja Gharbi et Arnaud Mournetas, respectivement fondateurs et PDG de RedStart Tunisie et RedStart France; Clara Guilhem, chef de projet Innov’i-Expertise France; Soumaya ben Beya, développeuse écosystème digital, Smart Capital; Inès Bouharb, directrice exécutive d’Excellia Capital Humain et titulaire d’un Executive Doctorate in Business Administration (EDBA); Thameur Hemdane, président du Financement participatif Afrique et Méditerranée (FPAM), ont participé au lancement du programme Red'Innov.

RedStart Tunisie, un accélérateur 

Le dispositif RedStart Tunisie, considéré comme un incubateur permettant de renforcer l’appui aux initiatives entrepreneuriales, sera déployé dans les régions de Kairouan, Gabès et Siliana. Son objectif: renforcer l’appui aux initiatives entrepreneuriales, notamment auprès des jeunes et des femmes et d’assurer un soutien pour guider les porteurs de projets dans l’information et l’accompagnement leur permettant d’avoir accès aux différents modes de financement, comme le crowdfunding (financement participatif) et le financement par les business angels (personnes qui décident d'investir une partie de leur patrimoine financier dans des sociétés innovantes à fort potentiel).

Plus concrètement, le dispositif RedStart Tunisie a pour objectif de renforcer l’accompagnement de 62 entrepreneurs, dont 25 seront accompagnés dans la recherche de financement, et 12 entreprises recevront un appui dans leur développement à l’international. Aussi, des prêts d’honneur seront accordés à 12 start-up innovantes, lesquelles seront sélectionnées selon les critères établis par le programme européen Innov’i-EU 4 Innovation.

Lors de son intervention au webinaire, Arnaud Mournetas, président de RedStart France, a indiqué que l’entrepreneur est le premier facteur nécessaire à la réussite d’une start-up. Douja Gharbi, présidente de RedStart Tunisie, affirme, quant à elle, que «la réussite d’une start-up dépend de sa particularité, de son innovation».

De son côté, Clara Guilhem, chef de projet Innov’i-Expertise France, insiste sur la culture de prise de risque, qu’elle considère comme un élément essentiel à toute initiative entrepreneuriale, et souhaite, via ce programme d’accompagnement, la développer auprès des jeunes entrepreneurs tunisiens. «Le rôle des programmes d'accompagnement servent à rassurer les entrepreneurs et à les aider pour affranchir les différentes étapes de création de leurs projets, de la quête des financements jusqu'à la conquête des marchés», a affirmé Clara Guilhem lors de son intervention. 

Vers la maturation de l’écosystème entrepreneurial 

«L’écosystème des investisseurs est très important à toutes les étapes, de l’amorçage à la monté en puissance, pour cela il faudra structurer l’écosystème autour des start-up», explique Clara Guilhem. «Dans les pays européens, une partie des risques est prise en charge par les banques, c’est un enjeu majeur qui est en ébauche en Tunisie.»

Soumaya ben Beya travaille chez Smart Capital, une organisation semi-gouvernementale qui accompagne les porteurs de projets qui feront, selon elle, de la Tunisie «une future start-up nation», et qui est composée de donateurs qui croient dans les projets innovants. S’appuyant sur son expérience de trois ans dans l’écosystème innovant et précurseur de la Silicon Valley, Soumaya ben Beya a souligné, lors de son intervention, que «l’écosystème rapproche», elle et a aussi indiqué que «la dynamique de la création d’un écosystème très similaire à tous les environnements et la connectivité est sont la source secrète qui permet à un écosystème de croître rapidement». Elle ajoute que «Smart Capital travaille à rendre cette synergie possible, notamment en procédant à l’évaluation de l’écosystème et à échanger avec l’ensemble des acteurs – accélérateurs, incubateurs, start-up – pour discuter des moyens pour la mise en œuvre de la connectivité de l’écosystème entrepreneurial dans notre pays». 

À ce propos, Soumaya ben Beya a annoncé que Smart Capital a entamé un travail pour la mise en place «d’un programme, qui sera lancé très prochainement, et qui permettra de créer des liaisons entre les start-up, de créer une synergie qui développera des liens entre les entités: clientèle, extension d’activité ou de service et autres», avant d’ajouter: «Il faudra créer l’esprit de collaboration et mettre en œuvre les moyens comme des portails de start-up labélisées “Start-up Act” pour rapprocher les acteurs de l’écosystème.» 

La fondatrice de RedStart Tunisie confirme: «Ce qui manque aujourd’hui en Tunisie, c’est la coordination et la coopération entre les acteurs. Les dirigeants de start-up et les entrepreneurs des PME ont besoin d’être informés, orientés pour développer des projets plus cohérents». Lors de son intervention, Douja Gharbi a indiqué que RedStart Tunisie se positionne sur une niche différente pour être complémentaire. «On doit travailler ensemble sur les différents axes. Au sein de RedStart Tunisie, considéré comme un accélérateur de PME, on a envie que dans cette mouvance, cette tendance de start-up, très positive et porteuse d’innovation, de dynamique économique, soit adoptée par les PME, qu’elles puissent prendre le train en marche.» Pour cela, Douja Gharbi a indiqué que les PME doivent se mettre à niveau. «Pour que les PME soient complémentaires, il faudra qu’elles soient matchées avec ces start-up, cela découlera sur un gain de part et d’autre, notamment dans l’ouverture des marchés et l’internalisation», car estime-t-elle, «le marché tunisien est trop petit, notre grand intérêt serait de développer l’interaction entre entreprise et corporate pour travailler à l’international.», conclu -t-elle.  

Levier du financement alternatif 

«Le financement est le nerf de la guerre pour toutes les entreprises et plus particulièrement pour les start-up et les innovateurs», a déclaré, de son côté, Thameur Hemdane, président du FPAM, lors de son intervention. 

«Il est important dans un écosystème entrepreneurial d’avoir les outils pour pouvoir financer les entreprises et les start-up, bien évidemment, il s’agit d’un ensemble d’outils pour financer les différentes étapes du développement de l’entreprise. Malheureusement, en Tunisie, les outils existants ont montré leurs limites dans le financement de l’économie en général, et encore moins plus dans le financement des start-up», souligne Thameur Hemdane. 

Pour y remédier, le président de la FPAM, affirme qu’il «faut aller chercher ces fonds, via l’épargne privée qui n’est pas fléchée vers cet univers». L’intervenant a rappelé que les projets sont, en général, financés par les bailleurs de fonds étrangers, mais «que cela est insuffisant. La Tunisie doit aujourd’hui se poser la question quant à la mobilisation de l’épargne vers l’investissement dans nos PME et start-up.» 

Le financement participatif – qui consiste dans l’utilisation des plates-formes web pour mobiliser l’épargne privée et des prêts pour financer tous types de projets, y compris les projets culturels et créatifs –, bénéficie désormais d’une loi votée au début de l’année 2020, les décrets de mise en application devraient être promulgués dans quelques semaines. 

«Pour développer le financement participatif, il faudra mettre en place un cadre réglementaire adéquat, en espérant que cela sera résolu dans les prochaines semaines grâce à l’implication de RedStar Tunisie et Expertise France», a souligné Thameur Hemdane lors de son intervention. «Le développement de l’écosystème entrepreneurial – incubateurs, accélérateurs, des réseaux de business angels d’investissement – devrait permettre au système du financement participatif, institutionnel ou privé, de s’y intégrer et de sourcer de bons projets.» Ce dernier ne manque pas de rappeler l’intérêt grandissant du financement participatif à l’échelle mondiale. «Les plates-formes de crowdfunding, qui s’appuient sur des outils digitaux, pourraient devenir à terme le guichet unique de la mise en relation avec les réseaux de financement.» 

Se faire une place dans un contexte en perpétuel mouvement 

Inès Bouharb souligne que «les PME ont aussi besoin de créer un vivier d’innovations dans le plan de développement pour pouvoir s’adapter et réagir par rapport aux marchés et dans la création de la valeur ajoutée aux produits et services». Inès Bouharb a fait référence à ce qu’on appelle aujourd’hui «la compétence d’entrepreneuriat», une stratégie déjà pratiquée par Google ou Facebook depuis une quinzaine d’années. Elle explique que «ces entreprises poussent leurs employés à développer un portefeuille d’idées au sein de l’entreprise, de manière informelle au départ, et de les tester pour en faire des projets sur lesquels elles s’impliqueraient davantage.»

Le contexte économique contraint, dû aux répercussions de la pandémie de la Covid-19, en mouvement et en phase d’instabilité, incitera-t-il les acteurs économiques à innover, à mettre en œuvre des stratégies d’adaptation pour assurer leur développement et/ou leur survie? 


L'armée israélienne dit avoir «éliminé» un membre du Hezbollah au Liban

Des personnes circulent dans une rue devant des portraits du chef du Hezbollah libanais Hassan Nasrallah et des bâtiments endommagés par les frappes israéliennes lors de la récente guerre. (File/AFP)
Des personnes circulent dans une rue devant des portraits du chef du Hezbollah libanais Hassan Nasrallah et des bâtiments endommagés par les frappes israéliennes lors de la récente guerre. (File/AFP)
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  • L'armée israélienne a annoncé mercredi avoir "éliminé" un membre du mouvement pro-iranien Hezbollah dans le sud du Liban
  • En dépit d'un cessez-le-feu conclu il y a plus de cinq mois après une guerre ouverte entre Israël et le Hezbollah, Israël continue de mener régulièrement des frappes au Liban

Jérusalem, Non défini: L'armée israélienne a annoncé mercredi avoir "éliminé" un membre du mouvement pro-iranien Hezbollah dans le sud du Liban, où les autorités ont fait état d'un mort dans une frappe de drone sur une voiture.

En dépit d'un cessez-le-feu conclu il y a plus de cinq mois après une guerre ouverte entre Israël et le Hezbollah, Israël continue de mener régulièrement des frappes au Liban, surtout dans le sud du pays, frontalier du nord du territoire israélien.

Dans un communiqué, l'armée israélienne dit avoir "mené une frappe dans la région de Qaaqaiyat al-Jisr, dans le sud du Liban, éliminant un commandant" local.

A Beyrouth, le ministère de la Santé a fait état d'un mort dans une frappe de drone israélienne visant une voiture dans ce secteur.

Après le début de la guerre dans la bande de Gaza, le Hezbollah, groupe islamiste armé soutenu par l'Iran, a ouvert un front contre Israël en tirant des roquettes à partir du sud du Liban, affirmant agir en soutien au Hamas, son allié.

Les hostilités ont dégénéré en guerre ouverte, Israël menant entre septembre et novembre 2024 de violents bombardements sur le Liban, principalement contre les bastions du Hezbollah, sorti très affaibli du conflit.

Un cessez-le-feu est entré en vigueur le 27 novembre mais l'armée israélienne continue de bombarder le Liban, disant viser combattants et infrastructures du Hezbollah, et a maintenu des positions dans le sud du territoire libanais.


Faisal ben Farhane: La visite de Trump «reflète la profondeur du partenariat stratégique entre les États-Unis et le Royaume»

Les investissements saoudiens aux États-Unis ont été guidés par le principe de la priorité accordée aux intérêts nationaux du Royaume, a-t-il ajouté. (Photo capture d'écran)
Les investissements saoudiens aux États-Unis ont été guidés par le principe de la priorité accordée aux intérêts nationaux du Royaume, a-t-il ajouté. (Photo capture d'écran)
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  • Les investissements saoudiens aux États-Unis sont guidés par le principe de la priorité accordée aux intérêts nationaux du Royaume
  • "Notre partenariat de défense et de sécurité avec les États-Unis, qui dure depuis des décennies, continuera à se renforcer", a-t-il déclaré.

RIYAD: La visite du président américain Donald Trump en Arabie saoudite a reflété la profondeur du partenariat stratégique entre les États-Unis et le Royaume, a déclaré le ministre des Affaires étrangères Faisal bin Farhan lors d'une conférence de presse à Riyad mercredi.

"Notre partenariat de défense et de sécurité avec les États-Unis, qui dure depuis des décennies, continuera à se renforcer", a-t-il déclaré.

Les investissements saoudiens aux États-Unis sont guidés par le principe de la priorité accordée aux intérêts nationaux du Royaume, a-t-il ajouté.

Le ministre a déclaré que l'Arabie saoudite partageait un partenariat économique solide et stratégique avec les États-Unis et qu'elle visait à accroître les échanges commerciaux entre les deux pays.

M. Bin Farhan a déclaré que le Royaume était d'accord avec les États-Unis sur la nécessité d'arrêter la guerre à Gaza et a salué la décision du président Trump de lever les sanctions contre la Syrie.

"La réunion entre le prince héritier, Trump, Sharaa et Erdoğan a souligné l'importance de soutenir la Syrie", a-t-il ajouté.

"Le Royaume sera un pionnier dans le soutien à l'économie syrienne".


Près de 30 morts dans des raids israéliens à Gaza selon les secours

Une femme palestinienne blessée est placée sur un brancard, après que l'hôpital européen ait été partiellement endommagé par des frappes aériennes israéliennes, selon le ministère de la Santé de Gaza, à l'hôpital Nasser de Khan Younis, dans le sud de la bande de Gaza, le 13 mai 2025. (Reuters)
Une femme palestinienne blessée est placée sur un brancard, après que l'hôpital européen ait été partiellement endommagé par des frappes aériennes israéliennes, selon le ministère de la Santé de Gaza, à l'hôpital Nasser de Khan Younis, dans le sud de la bande de Gaza, le 13 mai 2025. (Reuters)
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  • "Au moins 25 morts et des dizaines de blessés" dans des frappes à l'aube dans le camp de Jabalia (nord)", a déclaré à l'AFP le porte-parole de la Défense civile à Gaza
  • Des images de l'AFP à Jabalia montrent des femmes en pleurs se recueillant autour de corps enveloppés dans des linceuls blancs tachés de sang

GAZA: La Défense civile palestinienne a fait état mercredi d'au moins 29 Palestiniens tués dans des frappes dans la bande de Gaza dévastée et assiégée, où Israël a annoncé une intensification de son offensive.

Le gouvernement de Benjamin Netanyahu a envoyé dans le même temps une délégation mardi à Doha pour des négociations sur les otages israéliens retenus par le Hamas à Gaza, au moment où Donald Trump effectue une tournée au Moyen-Orient.

Le Hamas, lui, a appelé le président américain à "poursuivre ses efforts pour mettre fin à la guerre" à Gaza, déclenchée par une attaque sans précédent menée par ce mouvement islamiste palestinien contre Israël le 7 octobre 2023.

"Au moins 25 morts et des dizaines de blessés" dans des frappes à l'aube dans le camp de Jabalia (nord)", a déclaré à l'AFP le porte-parole de la Défense civile à Gaza, Mahmoud Bassal. Quatre Palestiniens ont péri dans une frappe à l'ouest de Khan Younès (sud).

Des images de l'AFP à Jabalia montrent des femmes en pleurs se recueillant autour de corps enveloppés dans des linceuls blancs tachés de sang.

"C'est un bébé de neuf mois. Qu'est-ce qu'il a fait de mal?", hurle l'une d'elles.

"Ceux qui ne meurent pas à cause d'un missile meurent de faim, et ceux qui ne meurent pas de faim meurent du manque de médicaments", se lamente un autre Palestinien, Hassan Moqbel, qui a perdu des proches dans le bombardement.

"Avec toute notre force" 

Après une courte pause lundi pour permettre la libération de l'otage israélo-américain Edan Alexander enlevé pendant l'attaque du 7-Octobre, l'armée israélienne a repris ses bombardements sur le territoire palestinien, frappant notamment deux hôpitaux ou leurs environs à Khan Younès mardi.

Selon l'armée, chacun de ces établissements abritait "un centre de commandement et de contrôle" du Hamas, un mouvement qui a pris le pouvoir à Gaza en 2007 et est considéré comme terroriste par Israël, l'Union européenne et les Etats-Unis.

"Dans les prochains jours, nous entrerons avec toute notre force pour achever l'opération et vaincre le Hamas", a déclaré Benjamin Netanyahu lundi.

Il a ajouté que ses services s'employaient à trouver des pays prêts à accepter des habitants de Gaza, après un plan annoncé par son gouvernement pour la "conquête" du territoire palestinien.

Le 18 mars, après une trêve de deux mois, l'armée israélienne a repris son offensive à Gaza, où elle s'est emparée de vastes régions.

Les forces israéliennes bloquent aussi depuis le 2 mars toute entrée de l'aide humanitaire dans le territoire palestinien, où elles assiège depuis octobre 2023 quelque 2,4 millions d'habitants confrontés à une situation humanitaire catastrophique.

"Risque critique de famine" 

Depuis des semaines, des responsables de l'ONU et d'ONG multiplient les avertissements sur la pénurie de nourriture, de médicaments et de carburant.

"Allez-vous agir, de façon décisive, pour empêcher un génocide" à Gaza?, a lancé mardi le chef des opérations humanitaires de l'ONU, Tom Fletcher, aux membres du Conseil de sécurité.

"Israël impose délibérément et sans la moindre gêne des conditions inhumaines aux civils du territoire palestinien occupé", a-t-il dit.

Le territoire est confronté "à un risque critique de famine", selon le rapport IPC (Cadre Intégré de Classification de la sécurité alimentaire) publié lundi.

L'attaque du 7-Octobre dans le sud d'Israël, limitrophe de la bande de Gaza, a entraîné la mort de 1.218 personnes du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur des données officielles.

Sur les 251 personnes enlevées en Israël ce jour-là, 57 sont désormais encore retenues à Gaza, dont 34 déclarées mortes par l'armée israélienne.

Les représailles israéliennes ont fait au moins 52.928 morts à Gaza, en majorité des civils, selon des données publiées mardi par le ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l'ONU.