L’exposition de Van Cleef & Arpels ouvre ses portes au Musée national de Riyad

La nature est l’un des thèmes de l’exposition en tant que «source d’inspiration ancestrale» pour Van Cleef & Arpels. (Photos/Van Cleef & Arpels)
La nature est l’un des thèmes de l’exposition en tant que «source d’inspiration ancestrale» pour Van Cleef & Arpels. (Photos/Van Cleef & Arpels)
(Photo AN/Abdelrahmane Shalhoub)
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(Photo AN/Abdelrahmane Shalhoub)
(Photo AN/Abdelrahmane Shalhoub)
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La nature est l’un des thèmes de l’exposition en tant que «source d’inspiration ancestrale» pour Van Cleef & Arpels. (Photos/Van Cleef & Arpels)
La nature est l’un des thèmes de l’exposition en tant que «source d’inspiration ancestrale» pour Van Cleef & Arpels. (Photos/Van Cleef & Arpels)
La nature est l’un des thèmes de l’exposition en tant que «source d’inspiration ancestrale» pour Van Cleef & Arpels. (Photos/Van Cleef & Arpels)
La nature est l’un des thèmes de l’exposition en tant que «source d’inspiration ancestrale» pour Van Cleef & Arpels. (Photos/Van Cleef & Arpels)
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Publié le Jeudi 26 janvier 2023

L’exposition de Van Cleef & Arpels ouvre ses portes au Musée national de Riyad

  • L’exposition immersive invite les visiteurs à explorer l’univers de Van Cleef & Arpels, mettant en valeur le savoir-faire, les conceptions de pointe et l’art qui caractérisent l’Histoire de la maison de haute joaillerie
  • Outre le grand nombre de pièces intemporelles, l’exposition réaffirme certaines des valeurs fondamentales de Van Cleef & Arpels, notamment la création, la transmission et l’éducation, à travers un vaste programme

RIYAD: La marque française de bijoux de luxe Van Cleef & Arpels organise une exposition à Riyad pour présenter des créations ayant appartenu à Elizabeth Taylor, à Grace Kelly et à la reine Nazli et la princesse Fawzia d’Égypte.

L’exposition baptisée «Van Cleef & Arpels: Temps, nature, amour», présentée au Musée national d’Arabie saoudite, a ouvert ses portes au public le 19 janvier et elle se tiendra durant trois mois.

L’exposition immersive invite les visiteurs à explorer l’univers de Van Cleef & Arpels, mettant en valeur le savoir-faire, les conceptions de pointe et l’art qui caractérisent l’Histoire de la maison de haute joaillerie.

Cette exposition unique en son genre au sein du Royaume présente près de deux cent quatre-vingts bijoux, montres et objets précieux créés depuis la fondation de la maison en 1906. Ces créations rares ont été soigneusement sélectionnées sous la direction d’Alba Cappellieri, professeure de design de bijoux à l’école polytechnique de Milan et présidente du Milano Fashion Institute. La thématique de l’exposition s’articule autour de trois sections dédiées aux notions de temps, de nature et d’amour.

EN BREF

  • L’exposition baptisée «Van Cleef & Arpels: Temps, nature, amour» présente près de deux cent quatre-vingts bijoux, montres et objets précieux créés depuis la fondation de la maison en 1906. La collection a été soigneusement sélectionnée sous la direction d’Alba Cappellieri, présidente du Milano Fashion Institute.
  • Dans le cadre du programme de l’exposition, l’École des arts joailliers, ainsi que des experts et intervenants internationaux proposeront des ateliers et des conférences sur divers sujets, notamment «Le langage secret des fleurs» et «L’influence de l’Arabie saoudite dans l’industrie locale».

Nicolas Bos, PDG de Van Cleef & Arpels, déclare à Arab News: «Ce que je veux vraiment et que j’ai hâte de faire avec l’équipe du musée, c’est de satisfaire un public très large. Il ne s’agit donc pas seulement d’experts en bijoux, mais vraiment de tous ceux qui ont un certain intérêt pour les bijoux et les arts décoratifs.»

(Photo AN/Abdelrahmane Shalhoub)
(Photo AN/Abdelrahmane Shalhoub)

M. Bos souligne que le message que Van Cleef & Arpels souhaite transmettre à travers cette collaboration est que la joaillerie est une forme d’art magique et passionnante.

«Indépendamment de la valeur, du prix et de la rareté, on découvre l’artisanat, la beauté des pierres, de grandes inspirations, ainsi qu’un dialogue avec d’autres formes d’art et de culture parfois inattendues», poursuit M. Bos.

Outre la haute joaillerie, plus de quatre-vingt-dix documents d’archives, croquis et dessins à la gouache sont exposés.

(Photo AN/Abdelrahmane Shalhoub)
(Photo AN/Abdelrahmane Shalhoub)

La directrice générale du Musée national d’Arabie saoudite, Laila al-Faddagh, déclare à Arab News que cette collaboration entre le musée et la maison de joaillerie découle d’une vision et d’un intérêt communs.

«Nous avons des programmes d’un an et nous voulons accueillir tout le monde.» - Laila al-Faddagh, directrice générale du Musée national d’Arabie saoudite.

«La maison Van Cleef & Arpels excelle dans la préservation et la promotion de ses pièces d’archives. C’est également ce que font les musées et c’est d’ailleurs ce point commun qui a favorisé ce partenariat», ajoute la directrice.

Outre le grand nombre de pièces intemporelles, l’exposition réaffirme certaines des valeurs fondamentales de Van Cleef & Arpels, notamment la création, la transmission et l’éducation, à travers un vaste programme qui comprend des conférences avec des intervenants régionaux et internationaux, des ateliers pour adultes et enfants, ainsi que d’autres activités éducatives interactives.

(Photo AN/Abdelrahmane Shalhoub)

Mme Al-Faddagh précise à Arab News: «Les programmes ne prendront pas fin avec cette exposition. Ils s’étendent sur un an et je veux que tout le monde soit enthousiaste à l’idée de nous rendre visite parce que nous voulons accueillir tout le monde.»

FOCUS

Certaines des pièces exposées appartenaient auparavant à Elizabeth Taylor, à Grace Kelly, à la reine Nazli et à la princesse Fawzia d’Égypte.

L’École des arts joailliers, soutenue par Van Cleef & Arpels, proposera des cours, des conférences et des ateliers animés par ses professeurs sur les thèmes suivants: «Nature: l’inspiration pour l’architecture»; «Le langage secret des fleurs» et «La philosophie derrière l’amour». Plusieurs intervenants internationaux de renom ont également été sollicités pour animer les conférences suivantes: «L’influence de l'Arabie saoudite dans l’industrie locale» et «Les secrets des bijoux sentimentaux».

(Photo AN/Abdelrahmane Shalhoub)
(Photo AN/Abdelrahmane Shalhoub)

Fondée au 22, place Vendôme à Paris en 1906, la maison Van Cleef & Arpels est née à la suite du mariage du diamantaire Alfred Van Cleef avec Estelle Arpels en 1895. Van Cleef & Arpels perpétue un style distinctif qui a donné naissance à plusieurs créations emblématiques, telles que le Mystery Set, la Minaudière, le collier à fermeture transformable et le motif Alhambra.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L'Arabie saoudite annonce la Semaine de la mode de la mer Rouge

Parmi les moments forts, notons la participation de cent marques saoudiennes, une initiative lancée par la Commission de la mode afin de soutenir et de promouvoir les talents locaux émergents. (Photo Arab News).
Parmi les moments forts, notons la participation de cent marques saoudiennes, une initiative lancée par la Commission de la mode afin de soutenir et de promouvoir les talents locaux émergents. (Photo Arab News).
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  • Organisé par la Commission saoudienne de la mode, cet événement mettra en vedette des créateurs locaux et internationaux
  • L’Arabie saoudite avait accueilli sa première semaine de la mode en 2023 à Riyad

DUBAÏ: Le Royaume s’apprête à accueillir la toute première Semaine de la mode de la mer Rouge. Prévu en bord de mer sur l'île d'Ummahat, cet événement glamour se déroulera du 16 au 18 mai au St. Regis Red Sea Resort. Organisé par la Commission saoudienne de la mode, cet événement mettra en vedette des créateurs locaux et internationaux. Son objectif est de célébrer la fusion entre l'esthétique traditionnelle saoudienne et le design contemporain de pointe.

Parmi les moments forts, notons la participation de cent marques saoudiennes, une initiative lancée par la Commission de la mode afin de soutenir et de promouvoir les talents locaux émergents.

Rappelons que l'Arabie saoudite avait accueilli sa première semaine de la mode en 2023 à Riyad. L'événement, qui s’était déroulé dans le quartier financier du roi Abdallah du 20 au 23 octobre, a jeté les bases de la nouvelle capitale de la mode au Moyen-Orient.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


La rappeuse afghane Sonita Alizada, voix des jeunes filles pour la liberté

Sonita Alizada elle-même a failli être vendue à un homme vers l'âge de 10 ans, puis à 14 ans pour 9.000 dollars. (AFP).
Sonita Alizada elle-même a failli être vendue à un homme vers l'âge de 10 ans, puis à 14 ans pour 9.000 dollars. (AFP).
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  • Non au travail des enfants, aux mariages forcés, au renoncement à ses rêves: à travers le rap, Sonita Alizada (ou Alizadeh) a trouvé un médium parfait pour crier ses combats et raconter son histoire démarrée sous le régime taliban
  • Postée sur internet, la vidéo est vue plus de 8.000 fois le premier jour, tant les mariages forcés sont répandus dans le monde avec 12 millions de mineures mariées chaque année, selon l'Unicef

ARROMANCHES-LES-BAINS: Non au travail des enfants, aux mariages forcés, au renoncement à ses rêves: à travers le rap, Sonita Alizada (ou Alizadeh) a trouvé un médium parfait pour crier ses combats et raconter son histoire démarrée sous le régime taliban.

"Comme toutes les filles, je suis en cage, je ne suis qu'un mouton qu'on élève pour le dévorer", chante-t-elle, en 2014 en Iran, dans "Brides for sale" (Mariées à vendre), en robe de mariée, code-barre et ecchymoses sur le visage. "Relis le Coran! Il ne dit pas que les femmes sont à vendre."

Postée sur internet, la vidéo est vue plus de 8.000 fois le premier jour, tant les mariages forcés sont répandus dans le monde avec 12 millions de mineures mariées chaque année, selon l'Unicef.

Sonita Alizada elle-même a failli être vendue à un homme vers l'âge de 10 ans, puis à 14 ans pour 9.000 dollars.

Repérée par la documentariste iranienne Rokhsareh Ghaem Maghami qui verse 2.000 dollars, elle a droit à six mois de sursis et saisit sa chance lorsqu'une ONG américaine lui propose d'étudier aux Etats-Unis.

Dans l'Utah, les débuts sont difficiles pour celle qui ne sait dire en anglais que "salut, je suis une rappeuse". Elle découvre aussi qu'aux Etats-Unis les mariages de mineures existent.

Elle décide de raconter son histoire dans les écoles, jusqu'au très prisé festival américain du film de Sundance où le documentaire qui lui est consacré, "Sonita", remporte en 2016 le prix du jury.

Ses jeunes années sont marquées par la peur des Talibans et la faim. Née à Herat en 1996, elle a environ cinq ans lorsqu'elle fuit avec ses parents et ses sept frères et sœurs, sans papiers, vers l'Iran.

"On pensait que la vie y serait plus facile, sans guerre mais c'était très difficile de se faire accepter à cause de l'image des Afghans", se rappelle Sonita Alizada, 27 ans, dans un entretien avec l'AFP.

Là aussi, interdiction d'aller à l'école: "Je cirais des chaussures avec mes frères puis je vendais des fleurs." Sa première bonne étoile est une femme qui apprend clandestinement aux filles à lire et à écrire dans une mosquée.

« Toujours en colère »

De retour en Afghanistan, son père, malade, meurt. Son mariage est planifié puis annulé lorsqu'elle retourne en Iran. Sonita y rencontre une association qui lui permet de prendre des cours de guitare en secret... et l'encourage à écrire après avoir remporté un prix de poésie.

Un jour l'artiste en devenir entend le rappeur star Eminem et, sans comprendre les paroles, pense que c'est "probablement la meilleure façon de partager une histoire".

La jeune fille écrit "Brides for sale" même si sa mère, mariée à 12 ans et illettrée, lui interdit de faire du rap. C'est le succès et le départ vers les Etats-Unis.

Devenue sa plus grande admiratrice, sa mère apparaît dans son clip "Run Boy", qui parle des Talibans essayant d'empêcher la scolarisation des filles.

Le 4 juin, elle sera à Caen, dans le nord-ouest de la France, pour le prix Liberté, qu'elle a remporté en 2021. La jeune artiste chantera "Stand up" avec des locaux et le clip de la chanson, filmé sur les plages du Débarquement, sera diffusé devant des vétérans de la Seconde Guerre mondiale.

"Toujours en colère", elle continue de défendre avec le rap et sur les réseaux sociaux la liberté sous toutes ses formes: à l'éducation, à s'exprimer, à choisir son partenaire. Elle a aussi mis en place deux projets en Afghanistan pour aider les enfants et les femmes.

Diplômée l'année dernière en droits humains et en musique à New York, Sonita Alizada veut maintenant étudier la politique à Oxford.

"L'art et la politique vont ensemble. Toute ma musique parle de politique, de faire la différence, de donner de l'espoir, de prendre conscience. Alors j'essaye d'éveiller les consciences à travers la musique", souligne celle qui espère, un jour, pouvoir prendre une part active dans l'avenir de son pays.


Des artistes français présentent une expérience artistique envoûtante à Djeddah

Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
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  • «C’est un réel plaisir d’être ici, en particulier à Hayy Jameel, où nous mêlons l’art et la science pour créer une expérience sensorielle sans équivalent»
  • «Nous abordons les données non comme de simples codes, mais comme des sensations, ce qui nous permet de caractériser l’expérience et de la partager»

DJEDDAH: L’artiste Paul Marlier et la danseuse Jeanne Morel présentent une exposition d’art numérique interactive baptisée «ETH3R» au centre culturel de Djeddah, Hayy Jameel.

Les deux créateurs français exposent des œuvres immersives réalisées à partir des données biométriques de Jeanne Morel recueillies pendant qu’elle effectue des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur.

Ce mélange unique de technologie et de créativité a captivé le public en raison de la réflexion qu’il offre sur la réalité et du contraste saisissant qu’il présente avec la nature souvent banale de la vie quotidienne.

Dans une interview accordée à Arab News, Paul Marlier évoque le processus créatif qui est à l’origine de cette œuvre numérique. Il explique également comment ces productions sont inspirées par les données humaines et scientifiques qu’il a recueillies.

«C’est un réel plaisir d’être ici, en particulier à Hayy Jameel, où nous mêlons l’art et la science pour créer une expérience sensorielle sans équivalent», déclare-t-il. «Cette expérience représente l’ADN du monde, la danse de nos âmes.»

«ETH3R présente des tableaux, mais aussi des installations dynamiques qui sont dérivées des données biométriques de ma femme, Jeanne Morel, qui danse dans des environnements divers et extrêmes, des profondeurs de l’océan jusque dans les hautes altitudes où s’entraînent les astronautes», poursuit-il.

Paul Marlier a fusionné ces données scientifiques sur la physiologie humaine avec d’autres informations comme la qualité de l’air, l’imagerie satellite et même des faits relatifs à la mer Rouge. «Ces œuvres d’art sont des empreintes émotionnelles qui rappellent des moments de grâce. Il s’agit d’un véritable travail de collaboration.»

Expliquant le processus, il précise: «Jeanne, équipée de capteurs semblables à un pinceau, est le catalyseur. Ses émotions lorsqu’elle danse sont traduites grâce à des codes en art numérique tel qu’on peut le voir dans les peintures. Nous explorons les thèmes de la fragilité, de la spiritualité et de l’unité inhérente entre l’homme et la nature – la danse universelle.»

«Nous abordons les données non comme de simples codes, mais comme des sensations, ce qui nous permet de caractériser l’expérience et de la partager. En recueillant une multitude d’informations de cette danseuse singulière, nous nous efforçons de matérialiser l’essence de la grâce», souligne Paul Marlier.

«La danse est le moyen d’exprimer ses émotions les plus profondes, de manière parfois plus simple qu’avec des mots», explique pour sa part Jeanne Morel.

«C’est l’allégorie de la vie. Elle me permet de rester vivante, connectée aux mouvements du monde. Nos corps sont constamment en train de danser, de bouger, sur cette terre qui elle-même danse autour du soleil et reste en équilibre grâce à la gravité», ajoute la danseuse.

À propos de leur première visite dans le Royaume, Paul Marlier livre cette observation: «Les gens sont très accueillants ici. La spiritualité et la poésie sont très présentes.»

«Nous admirons la spiritualité et l’ouverture d’esprit de ce pays pour tout ce qui touche l’art, notamment l’art numérique», ajoute son épouse.

«Observer des œuvres d’art qui dépassent les frontières a été un voyage envoûtant qui a captivé nos sens et a suscité l’émerveillement face à la fusion de l’art et de la technologie. Les démonstrations en direct et la danse ont été incroyablement relaxantes. Cela nous a permis de nous évader sereinement dans un autre monde, imaginaire», confie Walid Harthi, un passionné d’art.

L’exposition se tient jusqu’au 11 mai.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com