Ce sont vraiment des moments très intéressants. Non pas parce que le général russe accomplit durement et efficacement la mission de déplacer les Ukrainiens pour les pousser vers l'obscurité et le froid. Pas parce que la Grande-Bretagne cherche un sauveur et ne trouve personne comme Churchill ou Tatcher.
Ou pas parce que le chef de l'Elysée est aux prises avec des protestations et des goûts français inconstants. Non pas parce que l'administration Biden refuse de croire que le monde a changé et qu'elle doit changer son approche dans la façon de traiter les ennemis comme les amis.
Ce sont des moments intéressants en raison du congrès qui s'est tenu dans le quartier chinois du «village global».
Lorsque la Chine élit un empereur, les gouverneurs de tous ses territoires s'inclinent devant son trône en signe de révérence et de loyauté. Les participants au congrès ont applaudi l'élection de Xi Jinping pour un troisième mandat à la tête du Parti communiste fort de 96 millions de personnes.
Les participants au congrès ont compris le message. Le processus n'était pas l'élection d'un président, mais la consolidation d'un leadership et d'un homme puissant pour diriger la phase à venir sans avoir à se soucier des délais constitutionnels.
Xi a balayé les obstacles qui se dressaient sur son chemin dans les textes et les personnages soupçonnés de mauvaise volonté. Et puisque le nouveau mandat est inauguré à un moment critique – de la reconquête de Taiwan à la restructuration de l'ordre mondial – Xi a dû écarter des personnalités suspectes.
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