Le célèbre photographe Youssef Nabil dévoile son exposition The Beautiful Voyage

Youssef Nabil présente une nouvelle exposition solo à la galerie The Third Line à Dubaï. (Photo fournie)
Youssef Nabil présente une nouvelle exposition solo à la galerie The Third Line à Dubaï. (Photo fournie)
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Publié le Mardi 13 septembre 2022

Le célèbre photographe Youssef Nabil dévoile son exposition The Beautiful Voyage

  • L’exposition se déroulera à la galerie The Third Line à Dubaï, du 22 septembre au 28 octobre
  • Les portraits de célébrités telles qu’Alicia Keys, Robert DeNiro, Sting, entre autres, réalisés par le photographe basé à Paris, sont particulièrement appréciés

DUBAÏ: Youssef Nabil, artiste visuel basé à Paris, présente une nouvelle exposition solo à la galerie The Third Line à Dubaï, du 22 septembre au 28 octobre, intitulée «The Beautiful Voyage», qui comprend des œuvres réalisées à partir de 2016.

Grâce à ses photos impressionnantes, Nabil s’est imposé sur la scène internationale, ses œuvres étant acquises par des musées et des galeries du monde entier. Ses portraits de célébrités telles qu’Alicia Keys, Robert DeNiro, Sting, entre autres, sont particulièrement appréciés.

Sunny Rahbar, cofondateur de The Third Line, qui représente Nabil dans la région depuis 2005, explique que les photos de l’artiste sont prises en noir et blanc puis peintes à la main, ce qui confère à son travail une esthétique particulière. Comme le note le journaliste culturel américain Bob Colacello dans son essai pour l’exposition, cela aboutit à la superposition de «la peinture sur la photographie, l’humain sur la machine, l’intemporel sur l’immédiat».

Youssef Nabil (Photo: Rémi Pujol)
Youssef Nabil (Photo: Rémi Pujol)

«Il s’agit en fait d’une technique ancienne», explique Rahbar à Arab News. «Il est fasciné par le cinéma, et dans les débuts du cinéma, les réalisateurs avaient l’habitude de peindre la pellicule à la main. Même si ce sont des images produites en éditions de trois ou cinq, ou dix, chacune diffère légèrement de l’autre. Elles sont uniques.»

Depuis 2010, Nabil utilise également la vidéo comme moyen d’expression, et la pièce maîtresse de sa nouvelle exposition est le court-métrage du même nom, qui met en vedette Nabil et l'actrice primée Charlotte Rampling.

«Cet ensemble d’œuvres est important parce que c’est un changement assez important dans sa trajectoire, dans le sens où il a tourné la caméra sur lui-même», explique Rahbar. «Le nouveau film comprend beaucoup d’autoportraits ainsi qu’une conversation très intime. Je pense qu’il y a une vraie maturité dans cette série.» Comme le souligne Rahba, bien que Nabil n’ait jamais prétendu montrer la voie aux autres artistes du monde arabe, «lorsqu’un artiste de cette région du monde est reconnu à ce niveau, cela contribue certainement à faire avancer la cause».

Nous vous présentons dans ce qui suit les œuvres les plus marquantes de l’exposition.

The Beautiful Voyage

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Youssef Nabil, The Beautiful Voyage, 2021. (Photo fournie)

Dans cette vidéo de huit minutes, Charlotte Rampling prononce un monologue qui raconte l’histoire de Nabil. Dans l’essai qu’elle a rédigé pour l’exposition, Layla S. Diba, spécialiste de l'art et conservatrice, écrit: «Les deux protagonistes sont allongés dans la baignoire d’une salle de bain fantomatique. Ils sont assis loin l’un de l’autre, ensemble mais séparés. Les deux personnages sont des archétypes: Rampling, la Mère éternelle, et Nabil, le fils et le spectre des coutumes égyptiennes. Rampling rassure l’artiste en lui disant qu’il n’a jamais vraiment quitté ses proches ou son pays, que la vie est un voyage, un rêve, que sa vraie maison est le mouvement et que nous ne perdons jamais vraiment les morts. Les mots sont ceux de l’artiste, le premier scénario qu’il a écrit et publié, et représentent une synthèse émouvante de la sagesse qu’il a acquise au fil des ans en tant qu’étranger dans un monde instable en perpétuel changement. Ces mots résonnent profondément.»


The Dream

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Youssef Nabil, The Dream, 2021. (Photo fournie)

Parmi les 21 gravures de l’exposition, on trouve cet autoportrait de Nabil, réalisé en 2021. Il est endormi sous un arbre et sous un ciel éclairé par la lune, deux thèmes récurrents dans ses œuvres. Il rêve et reçoit la visite de trois anges. Selon Diba, cette image est une «version légèrement modifiée» d’une œuvre de 1883 du peintre français Pierre Puvis de Chavannes, qui a immédiatement attiré Nabil. «On retrouve souvent un caractère onirique similaire dans les œuvres de Nabil», écrit-elle. «Il s’identifie clairement à la figure endormie du vagabond solitaire, désormais transformée en artiste contemporain et ses rêves de gloire.»


Your Life Was Just A Dream

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Youssef Nabil, Your Life Was Just a Dream, 2019. (Photo fournie)

Un autre thème des œuvres exposées, remarque Diba, est «la nostalgie d’un fantasme orientaliste de l’Égypte ancienne (...) Le fantasme de l’Égypte comme un paysage verdoyant ou une oasis fertile (...) est référencé par un certain nombre de photos de cette série, bien qu’aucune n’ait été prise en Égypte». Cette image de 2019 en est un exemple, et partage également le sentiment de perte et de nostalgie qui imprègne tant de photos de l’artiste.


The Visitor

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Youssef Nabil, The Visitor, 2021. (Photo fournie)

Cette œuvre de 2021 illustre ce que Diba appelle «l’acceptation ultime par Nabil de son identité de nomade errant sur la terre». Elle explique par ailleurs que le personnage de ces autoportraits évoque l’intellectuel palestinien Edward Saïd et l’auteur juif Lev Nussenbaum, «qui a adopté le personnage d’un écrivain musulman pour écrire l’un des romans d’amour d'avant-guerre les plus populaires, Ali and Nino». Tous trois, note-t-elle, «ont réussi à naviguer entre les mondes et ont produit leurs plus grandes œuvres en tant qu’exilés». 

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Focus Tripoli à l’IMA: mettre en valeur une ville jadis rayonnante

Le programme de « Focus Tripoli » est excessivement dense et varié, il démarre par un marché solidaire avec la participation d’un nombre d’artisans qui présentent des créations artisanales, dont ils ont un savoir faire millénaire telles que la poterie, la broderie ou le travail du cuivre et du verre. (Photo IMA)
Le programme de « Focus Tripoli » est excessivement dense et varié, il démarre par un marché solidaire avec la participation d’un nombre d’artisans qui présentent des créations artisanales, dont ils ont un savoir faire millénaire telles que la poterie, la broderie ou le travail du cuivre et du verre. (Photo IMA)
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  • Tripoli, est connue pour ses souks, El Bazerkane et Al-Attarine, Bab el Ramel, et ses vieilles maisons et anciens palais marqués par le temps et des décennies de négligence
  • L’association « PTL » dirigée par Joumana Chahal Timéry se consacre à la promotion, à la mise en valeur et à la préservation de Tripoli, capitale septentrionale et deuxième ville du Liban

PARIS: Jadis prospère et rayonnante par sa position géographique et son patrimoine architectural, la ville de Tripoli (nord du Liban) est au centre d’un évènement organisé par l’Institut du monde arabe à Paris « IMA » en coopération avec l’association Patrimoine Tripoli Liban « PTL ».

Intitulé « Focus Tripoli », l’évènement se déroule sur deux jours (23/24 novembre) avec pour objectif de célébrer la nomination de Tripoli comme capitale culturelle arabe en 2024, et de mettre en valeur à travers une programmation exceptionnelle, cette ville phénicienne et ses trésors culturels.

Tripoli, est connue pour ses souks, El Bazerkane et Al-Attarine, Bab el Ramel, et ses vieilles maisons et anciens palais marqués par le temps et des décennies de négligence.

L’association « PTL » dirigée par Joumana Chahal Timéry se consacre à la promotion, à la mise en valeur et à la préservation de Tripoli, capitale septentrionale et deuxième ville du Liban. 

Par le biais d'actions précises, elle s'attache à protéger les sites emblématiques et organise des événements culturels ainsi que des initiatives de conservation afin de célébrer et de diffuser la richesse de ce patrimoine exceptionnel. 

Interrogée par Arab News en français, Timéry affirme que « Focus Tripoli » a un double objectif, faire découvrir la ville et son patrimoine mais aussi profiter de cette tribune « pour parler du Liban, et soutenir nos compatriotes », dans les circonstances tragiques que vit le pays, sujet à un déluge de feu quotidien de la part d’Israël.

Selon elle, les intervenants « vont forcément parler des souffrances de la population, de ce qui se passe, et du danger que cela implique au niveau du patrimoine qui est en train d'être ravagé par la violence » que subit le pays.

« On ne peut plus ne rien faire » affirme Timéry « il faut recourir aux conférences, au cinéma, à tout ce qui peut mettre en valeur les belles choses » pour montrer « qu'on existe, qu’on reste debout, sans se résigner, mais être dans la résilience et dans l'action réelle pour le Liban »

Le fait que Tripoli ait été désignée comme capitale culturelle arabe constitue pour Timéry « une reconnaissance et une sorte de récompense prestigieuse qui la hausse au rang des grandes villes arabes », et que cela veut dire que son patrimoine « nécessite et justifie qu'on s'en occupe, qu'on s'en préoccupe et qu'on le sauvegarde ».

A regret elle concède, que « cette ville est complètement abandonnée, c’est ça, le vrai problème », en plus de l'absence de l’Etat qui « centralise tous les projets à Beyrouth », ce qui fait que depuis 50 ans « Tripoli n'a pas bénéficié d'un seul projet » de réhabilitation à l’exception de la foire internationale », conçue par le célèbre architecte Oscar niemeyer.

Elle espère par conséquent que les tables rondes qui se tiennent à l’IMA en présence d’experts, de gens de la culture et du patrimoine aboutiront « à proposer des solutions, qu'on va certainement soumettre aux autorités libanaises et aux instances locales afin de voir s'ils acceptent de faire quelque chose ».

Le programme de « Focus Tripoli » est excessivement dense et varié, il démarre par un marché solidaire avec la participation d’un nombre d’artisans qui présentent des créations artisanales, dont ils ont un savoir faire millénaire telles que la poterie, la broderie ou le travail du cuivre et du verre.

Le savoir-faire culinaire sera également à l’honneur, dans le cadre d’une rencontre et dégustation de la gastronomie tripolitaine à travers une rencontre avec le chef étoilé Alain Geaam lui-même originaire de Tripoli.

Ensuite place aux tables rondes qui aborderont différents sujets tel que le patrimoine de Tripoli et son histoire, et les défis et perspectives d’une ville multiculturelle, ainsi qu’un intermède photographique portant le titre de Tripoli face à la mer, et la projection du film « Cilama » du cinéaste Hady Zaccak.

L'événement rend aussi hommage à des personnalités du monde de l’écriture et de l’érudition.


Des luttes à l'innovation : Comment le calligraphe saoudien Abdulaziz Al-Rashedi a révolutionné l'écriture arabe

3punt 5. (Fourni)
3punt 5. (Fourni)
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  • « Je ressens une lumière sacrée dans les lettres », déclare Abdulaziz Al-Rashedi

DUBAÏ : La première passion du calligraphe saoudien et professeur d'arts Abdulaziz Al-Rashedi a toujours été le stylo. Son intérêt pour l'écriture a commencé à l'école primaire dans les années 1980, dans sa ville natale de Médine.

Al-Rashedi parle de tenir un stylo comme un musicien pourrait parler de son instrument. Aux yeux du calligraphe, l'écriture est un acte artistique, comme une danse, qui possède sa propre magie.

« Ce que j'aimais dans le stylo, c'était la façon dont l'encre en coulait », confie-t-il à Arab News. « Le stylo m'a conduit à mon amour pour la calligraphie arabe. »

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Al-Rashedi parle de la tenue d'un stylo comme un musicien parlerait de la tenue de son instrument. (Fourni)

Cependant, il a dû faire face aux défis posés par l'environnement social conservateur du Royaume dans les années 1980 et 1990.

« Les gens ne considéraient pas l'art comme quelque chose d'important. À cette époque, ils pensaient que l'art ne rapportait pas d'argent. Pour eux, c'était une perte de temps », explique-t-il. « Dans un tel environnement déprimant, je souffrais du manque d'intérêt des gens. Ils disaient que l'écriture me distrairait de mes études. Mais en réalité, cela m'encourageait à étudier. »

Son intérêt pour la calligraphie n'a pas échappé à tout le monde. Le père d'Al-Rashedi, aujourd'hui décédé, l'a toujours soutenu.  

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3punt 2. (Fourni)

« Il croyait en l'écriture et en sa préservation », déclare Al-Rashedi. « Il pensait que je faisais quelque chose d'important de ma vie, même si d'autres pensaient le contraire. Ils comparaient cela à des gribouillages. En réalité, je faisais de l'art tout seul. Aucun de mes amis ne partageait cet intérêt avec moi et il n'y avait aucun institut de calligraphie pour encourager ce talent. La situation était très difficile. »

Mais en 1993, Al-Rashedi a appris qu’il existait en effet un maître calligraphe saoudien vivant à Médine : Ahmad Dia. Ce dernier a gentiment accepté de lui enseigner les bases de la calligraphie arabe. Et, peut-être tout aussi important, il l’a fait dans sa maison, qu'Al-Rashedi compare à une école, un musée et un lieu de rencontre pour calligraphes.

« J'étais jeune, mais il me traitait comme un homme », se souvient l'artiste. « Pour nous, les calligraphes, il était comme un père spirituel, qui a planté en nous une graine de détermination. Il nous a toujours encouragés et ne nous a jamais réprimandés si notre écriture n'était pas parfaite. »

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3punt 4. (Fourni)

Al-Rashedi est resté en contact avec son mentor jusqu'à la mort de Dia en 2022, lors de la pandémie de COVID. « Lorsqu'il est mort, c'est comme si la lumière s'était éteinte », confie-t-il.

Al-Rashedi s'est également formé en recopiant les œuvres d'une autre figure importante : Hashem Al-Baghdadi, le calligraphe et éducateur irakien influent, qui a publié des ouvrages sur les règles de la calligraphie arabe. Al-Rashedi décrit l'époque avant les réseaux sociaux comme une « période véritablement sombre », où il n'y avait aucune opportunité d'organiser des expositions ou de partager son travail avec les autres.

« Les gens ne communiquaient pas entre eux. C’était une période qui manquait (d’opportunités) et même de bons matériaux, comme des stylos et du papier », se souvient-il.

Mais avec l’avènement des réseaux sociaux, notamment Facebook, et l’ouverture de quelques galeries d’art, dont Athr Gallery à Djeddah en 2009, les choses ont considérablement changé. Aujourd’hui, Al-Rashedi peut partager ses œuvres sur Instagram et d’autres plateformes, montrant les compétences qu’il a perfectionnées au cours de trois décennies de pratique.

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Sa fascination pour l'écriture a commencé à l'école primaire, dans les années 80, dans sa ville natale de Madinah. (Fourni)

La calligraphie arabe est une forme d’art respectée à l’échelle internationale, existant depuis des milliers d’années, utilisée dans les textes islamiques et présente sur des monuments à travers le monde. Quel est donc son secret de longévité ?

« Je me demande souvent pourquoi les courbes de la calligraphie arabe fascinent les gens depuis si longtemps, et je pense que cela a inévitablement un lien avec sa sainteté », explique-t-il. « Allah a été une source d’inspiration pour les calligraphes et leur innovation dans l’écriture. Je ressens une lumière sacrée dans les lettres de la calligraphie arabe. »

Mais Al-Rashedi pense également que, pendant de nombreuses années, la calligraphie est restée figée dans une ornière, sans être touchée par l’innovation ou la créativité modernes.

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3punt 6. (Fourni)

« Beaucoup de calligraphes ont littéralement affirmé que la calligraphie arabe avait atteint sa limite et que personne ne pouvait y ajouter quoi que ce soit de nouveau », dit-il. « Une telle idée est incorrecte. »

En effet, Al-Rashedi a inventé sa propre forme de calligraphie arabe, qu’il appelle « 3punt ». (Il explique que le nom fait référence à la taille des lettres, qui sont écrites à l’aide de trois stylos différents.)

« Cela repose sur l’idée de réduire l’épaisseur des lettres. Habituellement, un seul stylo est utilisé en calligraphie arabe. Mais j’ai découvert que l’épaisseur traditionnelle de l’écriture arabe et l’utilisation d’un seul stylo empêchent l’ajout de nouvelles formes d’écriture au système. »

Basée sur un ensemble de règles strictes, la calligraphie 3punt d’Al-Rashedi contient 55 « sous-types d’écriture », explique-t-il. Elle possède une légèreté et une élégance propres, avec des lignes fluides et soigneusement chorégraphiées en écriture arabe fine.

En fin de compte, Al-Rashedi estime que la calligraphie arabe est une question de liens.  

« Si nous regardons l’écriture latine ou chinoise, sur des lettres comme ‘n’, ‘e’ ou ‘r’, elles se composent de parties distinctes. Mais avec la calligraphie arabe, vous pouvez connecter six ou sept lettres d’un seul trait », dit-il. « Sans aucun doute, l’écriture arabe — en tant que forme d’art — est supérieure à d’autres types d’écriture. »

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 


Inauguration d'une exposition Christian Dior à Riyad

Une exposition célébrant la vie et l'œuvre du couturier Christian Dior est désormais ouverte au  Musée national d'Arabie saoudite dans le cadre du festival Riyadh Season de cette année. (Photo fournie)
Une exposition célébrant la vie et l'œuvre du couturier Christian Dior est désormais ouverte au  Musée national d'Arabie saoudite dans le cadre du festival Riyadh Season de cette année. (Photo fournie)
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  • «Christian Dior: couturier du rêve» est une collaboration entre la maison de couture française et l'Autorité générale pour le divertissement d'Arabie saoudite
  • L'événement, qui se tient jusqu'au 2 avril, explore l'héritage de Dior et de ses successeurs à travers un récit inédit

RIYAD: Une exposition célébrant la vie et l'œuvre du créateur de mode Christian Dior est désormais ouverte au Musée national d'Arabie saoudite dans le cadre du festival Riyadh Season de cette année.

«Christian Dior: couturier du rêve», une exposition couvrant plus de 75 ans de créativité et de design, ainsi que les œuvres qu'il a inspirées, est une collaboration entre la maison de couture française et l'Autorité générale pour le divertissement d'Arabie saoudite.

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«Christian Dior: couturier du rêve» est une collaboration entre la maison de couture française et l'Autorité générale pour le divertissement d'Arabie saoudite. (Photo fournie)

L'événement, qui se tient jusqu'au 2 avril, explore l'héritage de Dior et de ses successeurs à travers un récit inédit spécialement conçu pour l'exposition par l'historienne de l'art Florence Muller et la scénographe Nathalie Crinière.

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L'exposition couvre plus de 75 ans de créativité et de design et le travail que Dior a inspiré. (Photo fournie)

Parmi les points forts de l'exposition figurent des hommages à certains des grands classiques de Dior, tels que Miss Dior et J'adore, ainsi qu'un hommage au sac Lady Dior, sous la forme du projet Dior Lady Art.

Faisal Bafarat, directeur général de l'Autorité générale pour le divertissement, a officiellement inauguré l'exposition mercredi. Les billets sont disponibles sur la plateforme WeBook.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com