Le Soudan demande la restitution des trésors pillés par les Britanniques

The Charge of the 21st Lancers at Omdurman de Richard Caton Woodville, Jr. (Wikimedia Commons)
The Charge of the 21st Lancers at Omdurman de Richard Caton Woodville, Jr. (Wikimedia Commons)
Short Url
Publié le Mardi 21 juin 2022

Le Soudan demande la restitution des trésors pillés par les Britanniques

  • La liste comprend deux crânes appartenant à des soldats soudanais rapportés du champ de bataille d’Omdourman cette année-là
  • Un étendard pris à Omdourman, qui se trouve actuellement à la bibliothèque verte du palais de l’université de Durham, et une armure conservée au sein de la collection des armures royales, font partie des objets que le Soudan souhaite récupérer

LONDRES: Le Soudan demande le retour de nombreux objets historiques détenus par le Royaume-Uni, notamment des antiquités et des restes humains, pris pendant la période coloniale après l’invasion de la région par l’Empire britannique en 1898. 

La liste comprend deux crânes appartenant à des soldats soudanais rapportés du champ de bataille d’Omdourman cette année-là, dans le cadre d’un vaste programme de chasse aux trophées et de pillage organisé par des soldats britanniques. Ces actes sont considérés comme une tentative de vengeance pour la mort du major-général Charles Gordon durant le siège de Khartoum en 1885. 

Les crânes ont été transférés au Anatomical Museum d’Édimbourg par l’homme d’affaires Henry Wellcome, où ils ont rejoint une collection de restes humains provenant de toute l’Afrique pour promouvoir des théories scientifiques racistes populaires en Europe et en Amérique du Nord au XIXe siècle. 

Les autorités de Khartoum tiennent à ce que les restes des deux soldats soudanais soient restitués. 

Dr Eglal el-Malik, directrice de la conservation à la Société nationale des antiquités et des musées, déclare: «Nous devons mener une campagne à grande échelle. Ces gens sont nos frères, nos héros. Ils ont participé à l’unification et à la défense de notre pays. C’est une histoire très particulière de résistance à l’impérialisme. Leurs descendants devraient voir tout cela ici.» 

Un étendard pris à Omdourman, actuellement à la bibliothèque verte du palais de l’université de Durham, et une armure conservée au sein de la collection des armures royales, font également partie des objets que le Soudan souhaite récupérer. L’objectif est de les exposer dans un musée spécialisé à Omdourman, récemment restauré grâce à des fonds fournis par le British Council et dédiés à la bataille et au patrimoine de la domination coloniale britannique, qui a pris fin en 1956. 

Ahmed Mohammed, conservateur du musée, déclare au Guardian: «Je veux montrer les véritables détails de la bataille d’Omdourman et je ne peux pas y parvenir si je n’ai pas tous les objets. C’est très important que le peuple soudanais le sache.» 

Certains objets ont déjà été rapatriés, dont une étoffe portée par un guerrier soudanais. Elle a été rendue par une famille britannique. L’un de ses ancêtres l’avait récupérée sur le champ de bataille. 

En dépit de cette volonté, de nombreux défis pratiques persistent, notamment des problèmes juridiques et de sécurité. 

«Il y a énormément de Soudanais qui veulent récupérer ces objets désormais, mais ils doivent être conscients des problèmes juridiques. La réalité est que notre pays connaît des difficultés. Ce serait formidable de pouvoir récupérer tous ces objets maintenant, mais ils sont correctement conservés et énormément de gens les voient. Donc, nous devons être raisonnables», ajoute Dr El-Malik. 

Tous les experts soudanais ne sont même pas d’accord sur la question de la restitution de ces trésors au pays, étant donné que la nation est ravagée par la guerre depuis des décennies, ce qui entrave sa capacité à récupérer et à sauvegarder son patrimoine pillé. 

Outre l’investissement britannique dans le musée d’Omdourman, le Musée national du pays à Khartoum est en cours de rénovation grâce à un don de 1 million de dollars (1 dollar = 0,95 euro) du gouvernement italien. 

Ghalia Gharelnabi, directrice par intérim du Musée national, déclare: «La situation ici n’est pas adaptée. Pour le moment, les objets doivent rester où ils sont, mais bien sûr, nous aimerions éventuellement les exposer dans notre musée.» 

Dr El-Malik note que les universitaires et les responsables des institutions britanniques détenant des articles soudanais avaient été «très efficaces dans l’ensemble» sur la question du rapatriement. 

Un porte-parole de l’université de Durham affirme: «Nous travaillons en étroite collaboration avec la Société nationale des antiquités et des musées du Soudan, notamment sur des demandes de prêt pour plusieurs pièces d’archives à exposer au Soudan. Les deux parties reconnaissent que cela ne se fait pas sans difficulté.» 

Le professeur Tom Gillingwater, du Anatomical Museum d’Édimbourg, déclare que son institution n’avait pas reçu de demande officielle de restitution des crânes soudanais. 

«Les restes humains sont désormais utilisés pour la recherche sur l’Histoire de la génétique, les régimes alimentaires et le mouvement des populations. Nous prenons très au sérieux notre patrimoine colonial et son impact contemporain, et nous continuons d’examiner les moyens de résoudre ces problèmes importants», ajoute-t-il. 

Le grand nombre d'objets historiques que la Grande-Bretagne a pris à l'étranger à l'époque de son empire est une source de controverse depuis un certain temps, notamment en ce qui concerne d’autres objets du Soudan datant des époques romaine et égyptienne antiques. 

D’autres pays européens se sont également attaqués au problème: en 2021, l’Allemagne est devenue le premier pays à restituer les fameuses statues pillées en Afrique de l’Ouest au XIXe siècle, connues sous le nom de «bronzes du Bénin», dont un certain nombre se trouvent toujours au British Museum. 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 


Le forum saoudien sur les récifs se concentre sur le développement rural durable

Ci-dessus, des poissons nagent près des récifs coralliens au large de la côte d'Obhor, à 30 km au nord de la ville de Jeddah, sur la mer Rouge. (Photo d'archives de l'AFP)
Ci-dessus, des poissons nagent près des récifs coralliens au large de la côte d'Obhor, à 30 km au nord de la ville de Jeddah, sur la mer Rouge. (Photo d'archives de l'AFP)
Short Url
  • L'événement d'Al-Ahsa a pour objectif de promouvoir le rôle des communautés dans la croissance économique.
  • Il explorera également les innovations dans les domaines de l'agriculture et du développement rural, favorisant ainsi la croissance économique et la cohésion sociale

RIYADH : Le ministère de l'Environnement, de l'Eau et de l'Agriculture accueillera le premier Forum international pour le récif saoudien à Al-Ahsa, du 16 au 18 décembre. L'objectif est de renforcer les communautés rurales et de promouvoir leur rôle dans le développement durable.

Maha Aldhahi, cheffe du comité exécutif du forum, a déclaré : « Le forum est essentiel pour faire progresser le développement rural, en s'alignant sur les objectifs de développement durable des Nations unies et sur la Vision 2030 saoudienne. Il soutiendra les communautés rurales, tout en contribuant aux efforts mondiaux et à la recherche en matière d'agriculture durable. »

M. Aldhahi a déclaré que le forum réunira des experts régionaux et internationaux pour relever le défi de l'exode rural, un problème très répandu. Pour y remédier, le forum proposera des solutions pratiques pour que les zones rurales restent économiquement viables, dynamiques et durables.

Il explorera également les innovations dans les domaines de l'agriculture et du développement rural, favorisant ainsi la croissance économique et la cohésion sociale par la création d'emplois et la promotion des investissements, a-t-elle ajouté.

Mme Aldhahi a déclaré que le forum s'appuyait sur le programme saoudien Reef, reconnu par l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture comme la plus grande initiative de développement de ce type au monde.

Ce programme a permis de soutenir plus de 77 000 projets agricoles, d'atteindre un taux d'autosuffisance supérieur à 65 % dans des secteurs vitaux et d'offrir des opportunités de perfectionnement et de carrière aux communautés rurales.

Ghassan Bakri, secrétaire général du Saudi Reef Program, a déclaré : « Le programme est un modèle de croissance durable qui s'intéresse à la sécurité alimentaire et à la création d'emplois tout en préservant le patrimoine culturel. En accueillant ce forum, nous souhaitons attirer des partenariats mondiaux et échanger des solutions innovantes pour favoriser l'autonomisation des zones rurales ».

M. Bakri a ajouté que des discussions dynamiques sur des sujets clés, tels que les pratiques agricoles durables, l'entrepreneuriat rural et le rôle des technologies modernes dans l'agriculture, seraient proposées lors du forum.

L'événement de trois jours comprendra également une exposition présentant des pratiques rurales uniques, des œuvres d'artisanat et le travail d'agriculteurs, d'artisans et d'entrepreneurs locaux. Il mettra en lumière la façon dont les techniques traditionnelles s'intègrent aux innovations modernes pour créer des moyens de subsistance durables.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 


Lavish et Johara Global collaborent pour célébrer la culture saoudienne

Lavish et Johara Global collaborent pour célébrer la culture saoudienne
Short Url
  • Les fondatrices de Lavish, Nada Altobaishi et Hala Alsharekh, ont déclaré dans un communiqué : « Lavish Concept Store est plus qu'une simple destination pour le luxe et le style.
  • Cet événement a offert une expérience culturelle immersive, mettant en lumière le patrimoine et l'art de l'Arabie saoudite à travers un mélange de mode, d'art et de cuisine.

LONDRES : Lavish Concept Store et Johara Global ont uni leurs forces jeudi pour organiser un événement célébrant la beauté intemporelle et les riches traditions de la culture saoudienne, dans le pop-up Lavish du Music Room, à Mayfair, à Londres.

Lavish Concept Store encourage la créativité et l'innovation, tandis que Johara Global est une plateforme qui soutient les femmes leaders et leur permet de réaliser leur potentiel.

cet événement a offert une expérience culturelle immersive, mettant en lumière le patrimoine et l'art de l'Arabie saoudite à travers un mélange de mode, d'art et de cuisine.
cet événement a offert une expérience culturelle immersive, mettant en lumière le patrimoine et l'art de l'Arabie saoudite à travers un mélange de mode, d'art et de cuisine.

Conformément à la Vision 2030 de l'Arabie saoudite, cet événement a offert une expérience culturelle immersive, mettant en lumière le patrimoine et l'art de l'Arabie saoudite à travers un mélange de mode, d'art et de cuisine.

Un défilé de mode présentant des costumes traditionnels saoudiens a permis de mettre en valeur l'artisanat complexe et le riche patrimoine de la région.

Dans un communiqué, les fondatrices de Lavish, Nada Altobaishi et Hala Alsharekh, ont déclaré : « Lavish Concept Store est plus qu'une simple destination pour le luxe et le style ; c'est une plateforme où l'innovation, la culture et la créativité se développent.

« Notre engagement : proposer des produits exclusifs et de grande qualité tout en valorisant le travail d'artistes et d'artisans émergents.

« Notre vision est de redéfinir l'expérience de la vente au détail en mariant l'élégance intemporelle aux dernières tendances, tout en défendant l'expression artistique et la diversité culturelle. Chez Lavish, nous nous efforçons d'inspirer la confiance et d'élever le niveau de vie au quotidien par la fusion du luxe, de la culture et de l'innovation. »

cet événement a offert une expérience culturelle immersive, mettant en lumière le patrimoine et l'art de l'Arabie saoudite à travers un mélange de mode, d'art et de cuisine.
cet événement a offert une expérience culturelle immersive, mettant en lumière le patrimoine et l'art de l'Arabie saoudite à travers un mélange de mode, d'art et de cuisine.

Katie Partridge, fondatrice et présidente de Johara Global, et Intisar Alyamani, PDG de Johara Global, ont déclaré dans un communiqué : « Johara Global a été créé avec la mission de combler le fossé est-ouest et d'encourager le leadership féminin à travers nos quatre principaux piliers. De telles collaborations ont un impact durable et puissant sur la communauté. Nous sommes ravis d'unir nos forces pour y parvenir. »

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 

 

.tff096773-8c97-4b95-ac1e-3de6d05a6874 { color: #fff; background: #222; border: 1px solid transparent; border-radius: undefinedpx; padding: 8px 21px; } .tff096773-8c97-4b95-ac1e-3de6d05a6874.place-top { margin-top: -10px; } .tff096773-8c97-4b95-ac1e-3de6d05a6874.place-top::before { content: ""; background-color: inherit; position: absolute; z-index: 2; width: 20px; height: 12px; } .tff096773-8c97-4b95-ac1e-3de6d05a6874.place-top::after { content: ""; position: absolute; width: 10px; height: 10px; border-top-right-radius: undefinedpx; border: 1px solid transparent; background-color: #222; z-index: -2; bottom: -6px; left: 50%; margin-left: -6px; transform: rotate(135deg); } .tff096773-8c97-4b95-ac1e-3de6d05a6874.place-bottom { margin-top: 10px; } .tff096773-8c97-4b95-ac1e-3de6d05a6874.place-bottom::before { content: ""; background-color: inherit; position: absolute; z-index: -1; width: 18px; height: 10px; } .tff096773-8c97-4b95-ac1e-3de6d05a6874.place-bottom::after { content: ""; position: absolute; width: 10px; height: 10px; border-top-right-radius: undefinedpx; border: 1px solid transparent; background-color: #222; z-index: -2; top: -6px; left: 50%; margin-left: -6px; transform: rotate(45deg); } .tff096773-8c97-4b95-ac1e-3de6d05a6874.place-left { margin-left: -10px; } .tff096773-8c97-4b95-ac1e-3de6d05a6874.place-left::before { content: ""; background-color: inherit; position: absolute; z-index: -1; width: 10px; height: 18px; } .tff096773-8c97-4b95-ac1e-3de6d05a6874.place-left::after { content: ""; position: absolute; width: 10px; height: 10px; border-top-right-radius: undefinedpx; border: 1px solid transparent; background-color: #222; z-index: -2; right: -6px; top: 50%; margin-top: -6px; transform: rotate(45deg); } .tff096773-8c97-4b95-ac1e-3de6d05a6874.place-right { margin-left: 10px; } .tff096773-8c97-4b95-ac1e-3de6d05a6874.place-right::before { content: ""; background-color: inherit; position: absolute; z-index: -1; width: 10px; height: 18px; } .tff096773-8c97-4b95-ac1e-3de6d05a6874.place-right::after { content: ""; position: absolute; width: 10px; height: 10px; border-top-right-radius: undefinedpx; border: 1px solid transparent; background-color: #222; z-index: -2; left: -6px; top: 50%; margin-top: -6px; transform: rotate(-135deg); }

600 / 600 mots analysés aujourd’hui

 

.t11c5349b-56d1-4e0d-beed-2f47d518f97a { color: #fff; background: #222; border: 1px solid transparent; border-radius: undefinedpx; padding: 8px 21px; } .t11c5349b-56d1-4e0d-beed-2f47d518f97a.place-top { margin-top: -10px; } .t11c5349b-56d1-4e0d-beed-2f47d518f97a.place-top::before { content: ""; background-color: inherit; position: absolute; z-index: 2; width: 20px; height: 12px; } .t11c5349b-56d1-4e0d-beed-2f47d518f97a.place-top::after { content: ""; position: absolute; width: 10px; height: 10px; border-top-right-radius: undefinedpx; border: 1px solid transparent; background-color: #222; z-index: -2; bottom: -6px; left: 50%; margin-left: -6px; transform: rotate(135deg); } .t11c5349b-56d1-4e0d-beed-2f47d518f97a.place-bottom { margin-top: 10px; } .t11c5349b-56d1-4e0d-beed-2f47d518f97a.place-bottom::before { content: ""; background-color: inherit; position: absolute; z-index: -1; width: 18px; height: 10px; } .t11c5349b-56d1-4e0d-beed-2f47d518f97a.place-bottom::after { content: ""; position: absolute; width: 10px; height: 10px; border-top-right-radius: undefinedpx; border: 1px solid transparent; background-color: #222; z-index: -2; top: -6px; left: 50%; margin-left: -6px; transform: rotate(45deg); } .t11c5349b-56d1-4e0d-beed-2f47d518f97a.place-left { margin-left: -10px; } .t11c5349b-56d1-4e0d-beed-2f47d518f97a.place-left::before { content: ""; background-color: inherit; position: absolute; z-index: -1; width: 10px; height: 18px; } .t11c5349b-56d1-4e0d-beed-2f47d518f97a.place-left::after { content: ""; position: absolute; width: 10px; height: 10px; border-top-right-radius: undefinedpx; border: 1px solid transparent; background-color: #222; z-index: -2; right: -6px; top: 50%; margin-top: -6px; transform: rotate(45deg); } .t11c5349b-56d1-4e0d-beed-2f47d518f97a.place-right { margin-left: 10px; } .t11c5349b-56d1-4e0d-beed-2f47d518f97a.place-right::before { content: ""; background-color: inherit; position: absolute; z-index: -1; width: 10px; height: 18px; } .t11c5349b-56d1-4e0d-beed-2f47d518f97a.place-right::after { content: ""; position: absolute; width: 10px; height: 10px; border-top-right-radius: undefinedpx; border: 1px solid transparent; background-color: #222; z-index: -2; left: -6px; top: 50%; margin-top: -6px; transform: rotate(-135deg); }

600 / 600 mots analysés aujourd’hui


Le chef de la GEA saoudienne nommé personnalité la plus influente de la dernière décennie aux MENA Effie Awards

Le chef de l'Autorité générale du divertissement d'Arabie saoudite a été nommé personnalité la plus influente de la dernière décennie lors de la cérémonie des MENA Effie Awards qui s'est tenue à Riyad. (Effie Awards MENA)
Le chef de l'Autorité générale du divertissement d'Arabie saoudite a été nommé personnalité la plus influente de la dernière décennie lors de la cérémonie des MENA Effie Awards qui s'est tenue à Riyad. (Effie Awards MENA)
Short Url
  • La contribution de Turki Alalshikh au secteur du divertissement du Royaume honorée

RIYAD: Le chef de l'Autorité générale du divertissement d'Arabie saoudite a été nommé personnalité la plus influente de la dernière décennie lors de la cérémonie des MENA Effie Awards à Riyad, a rapporté l'Agence de presse saoudienne.

L'événement, qui s'est tenu jeudi dans le cadre du calendrier de la Saison de Riyad de cette année, a honoré la contribution de Turki Alalshikh au secteur du divertissement du Royaume et à son émergence en tant que plaque tournante mondiale pour les événements de classe mondiale, a ajouté la SPA.

Alalshikh a remercié les dirigeants de l'Arabie saoudite pour leur soutien dans son discours de remerciement, attribuant cette réussite aux "efforts de collaboration du peuple de la nation".

--

Il a ajouté que cette reconnaissance était un clin d'œil à la stature mondiale croissante du Royaume dans le secteur du divertissement.

La 15e édition des MENA Effie Awards, qui se tenait pour la première fois en Arabie saoudite, a célébré l'innovation et l'excellence dans les secteurs du marketing et de la publicité dans l'ensemble du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord.

Cette dernière consécration fait suite à la récente distinction d'Alalshikh comme l'une des 50 personnalités les plus influentes du monde de la boxe et des arts martiaux mixtes, décernée par le journal en ligne britannique The Independent au début de l'année.

Sous la direction d'Alalshikh, la GEA a transformé le secteur du divertissement du Royaume, la Saison de Riyad devenant un événement phare attirant des millions de visiteurs chaque année.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com