L’exposition Hunna («Elles») rend hommage à la femme

Aya Abu Hawash et Ranine el-Homsi. (Photo fournie).
Aya Abu Hawash et Ranine el-Homsi. (Photo fournie).
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Publié le Lundi 23 mai 2022

L’exposition Hunna («Elles») rend hommage à la femme

  • L’exposition regroupe des artistes d’âges divers (de 25 à 75 ans) venus du Liban, de Syrie, d’Égypte, de Palestine, d’Europe ou d’Amérique
  • «En tant que femme artiste, j'ai toujours été inspirée par l'histoire censurée et la mémoire politique au Moyen-Orient», confie Aya Abu Hawash

BEYROUTH:  Née à l’initiative de deux femmes militantes passionnées d’art et de culture, Aya Abu Hawash et Ranine el-Homsi, l’exposition Hunna («Elles») expose plus de trois cents œuvres originales à l’ABC Art Space, dans le quartier Verdun de Beyrouth. L ’exposition regroupe des artistes d’âges divers (de 25 à 75 ans) venus du Liban, de Syrie, d’Égypte, de Palestine, d’Europe ou d’Amérique. Elle a pour objectif de prouver que les femmes peuvent mener leur combat et communiquer avec le monde grâce à l'art. Elles sont d’ailleurs appelées à s’impliquer au sein de la société libanaise pour la changer.

En ce sens, le descriptif de l’exposition fait office de manifeste. On peut en effet y lire: «Nous, en tant que femmes, sommes les soldats de demain, l’espoir de nos enfants et de nos communautés. Nous sommes plus fortes lorsque nous nous encourageons, lorsque nous nous inspirons et lorsque nous nous responsabilisons les unes les autres!»

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Aya Abu Hawash, peinture à l’huile. (Photo fournie).

«En tant que femme artiste, j'ai toujours été inspirée par l'histoire censurée et la mémoire politique au Moyen-Orient», confie Aya Abu Hawash a Arab News en français. Elle-même est également créatrice: elle peint des œuvres figuratives qui abordent le thème de l'exploration de soi et réinterprètent des histoires sociales.

 

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Kameel Hawa, The day she sat sideways («Le jour où elle s’est assise de travers»), huile sur toile. (Photo fournie).

 

Ici les genres et les matières se mélangent: peintures et sculptures côtoient les installations audiovisuelles, allant de l’art naïf aux NFT (jetons non fongibles, désignés en français par l’acronyme «JNF»). Tous les moyens «artistiques» sont mis en œuvre pour dévoiler aux visiteurs les différentes représentations de la femme, de la féminité, et pour transmettre un message.

«Nous avons opéré à la sélection en fonction du contexte des femmes. Après avoir voyagé et rencontré un grand nombre d’entre elles, nous voulions que chaque artiste raconte une histoire différente à travers une perspective et un médium différents. Nous avons contacté des artistes de divers horizons et travaillé avec différentes galeries et des artistes qui vivent hors du Liban», précise Ranine el-Homsi.

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Wissam Eid. (Photo fournie).

Quant aux œuvres, «elles sont créées à partir de différentes matières telles que l’or, la céramique, le bronze, la résine, la peinture à l’huile et l’acier émaillé», indique l’experte.

«Seul l’art est à même de représenter la condition féminine dans toute sa splendeur – et dans sa laideur aussi. Figure maternelle, femme forte, tantôt masculine, ou androgyne, en souffrance, victime d’inégalités et de préjugés, elle présente une multitude de facettes. Éthérée, décomposée, rejetée, adorée, critiquée, sacralisée, la femme ne peut être cernée», souligne Aya Abu Hawash.

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Photo de Hussein Baydoun.

La préparation de l’exposition a réclamé de nombreux mois et les différentes étapes ont été mûrement réfléchies. Il fallait «penser aux artistes, en premier lieu ceux qui abordent les femmes dans leur travail, ainsi qu’à l’espace: comment l’habiter, l'améliorer et surtout l’animer pour une période assez longue – trois mois?», explique Ranine el-Homsi. «Il a fallu solliciter les artistes, puis accueillir leurs œuvres, en conseiller certains, les accompagner dans leur parcours d’exposition, ce qui n’est pas une démarche anodine», explique-t-elle. «Puis nous avons adapté le lieu aux œuvres, au thème, ce qui a représenté de longues heures de travail avec les équipes de l’ABC: personnaliser certains espaces, comme celui de la vidéo, avec toutes les problématiques techniques liées.» En outre, il a été nécessaire de «créer des partenariats pour habiter le lieu et mettre en valeur des associations, des artistes, des personnalités publiques».

Les deux organisatrices avaient également à cœur de rendre l’exposition vivante. Elles proposent ainsi aux visiteurs une rencontre avec les artistes de l’exposition, qui animent des ateliers, des discussions autour de l'art et de la femme. May Abboud, May Haddad, Nicolas Tak, Eddy Choueiry, Philippe Aractingi, entre autres, se sont prêtés à l’exercice. Des formations sont offertes par l'organisation féministe Fe-male. Elles présentent plusieurs thèmes, comme la formation susceptible de permettre aux femmes de s’investir dans la vie politique ou à un autre niveau, la cybersécurité…

Par ailleurs, cette exposition a vocation à se déplacer hors des frontières libanaises. «Des contacts ont été pris à Paris et à Dubaï», confie Ranine el-Homsi. En effet, le message qu’elle veut transmettre est universel. «Nous voulons exposer les œuvres de ces artistes qui portent la femme dans leurs œuvres et montrent sa beauté, sa détermination, ses émotions; ils se font ambassadeurs», précisent les deux initiatrices de l’exposition. «Au-delà du soutien aux artistes, notamment dans le contexte économique particulièrement difficile que connaît le Liban, il nous semble important de permettre à chacun de venir se ressourcer, de prendre plaisir à observer, imaginer, se nourrir de couleurs et de formes, accueillir un peu de poésie, de légèreté dans un quotidien si pesant pour beaucoup d’entre nous.»

«Il s’agit de dialoguer et communiquer autrement, entre générations et histoires différentes. Hunna est une célébration de toutes les possibilités qu'offre la vie à chacun et chacune. C'est l'histoire de femmes qui ont cru, qui ont fait et qui continuent de créer la vie», concluent Aya Abu Hawash et Ranine Homsi.


Anthony Hopkins enchante Riyad avec une symphonie onirique

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
Anthony a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad. (Photo Fournie)
Anthony a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad. (Photo Fournie)
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  • Présentée par Morgan Freeman, l'icône hollywoodienne se penche sur le langage universel de la musique
  • Un concert en Arabie Saoudite : un honneur inimaginable, dit Hopkins

RIYADH : Dans un mélange captivant d'art et d'humanité, l'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé "La vie est un rêve", dans le cadre des festivités de la Saison de Riyad.

Présenté par son collègue acteur Morgan Freeman, Hopkins a commencé son discours par la salutation arabe "As-salamu alaykum", donnant ainsi le ton du respect culturel et de l'unité.

Hopkins a partagé ses réflexions sur la vie et l'art, s'inspirant des mots d'Edgar Allan Poe : "J'ai toujours cru que tout ce que nous voyons ou semblons être n'est qu'un rêve à l'intérieur d'un rêve".

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)

Il a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad.

C'est avec une grande humilité et une immense gratitude que je présente ma pièce, "La vie est un rêve", dans le cadre de la Saison de Riyad", a-t-il déclaré.

Se remémorant sa vie, il a décrit le chemin parcouru depuis le "fils d'un simple boulanger" du sud du pays de Galles jusqu'à un compositeur et un acteur de renommée mondiale.

"Pour moi, ma vie est un profond mystère", a-t-il déclaré. "Il est impossible de comprendre ou de s'attribuer le mérite des bénédictions qui m'ont été accordées. C'est pourquoi je crois que la vie est un rêve, et cette pièce, "Life is a Dream", m'a été inspirée par mon enfance rêveuse dans le sud du pays de Galles, par ma mère qui m'a merveilleusement soutenu et par mon père, qui était plus grand que nature et qui a travaillé sans relâche tout au long de sa vie.

Hopkins a invoqué la philosophie de Ralph Waldo Emerson, soulignant que la musique et l'art sont des connecteurs spirituels.

"La musique et l'art sont des chemins vers Dieu, le principal moyen de relier toutes les âmes humaines. Emerson a compris que toucher une âme, c'est toucher toutes les âmes et je crois moi aussi que la musique a un pouvoir de transformation", a-t-il déclaré.

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)

"J'ai toujours rêvé d'être compositeur, mais je n'ai jamais su comment. Pourtant, donner ce concert en Arabie saoudite, berceau de l'islam, où le prophète Mahomet a reçu ses messages et où se trouvent les villes saintes de La Mecque et de Médine, est un honneur inimaginable".

Abordant les défis mondiaux, M. Hopkins a souligné l'importance de l'unité et de la paix.

"Je ne peux imaginer un meilleur endroit qu'ici pour nous rassembler, surmonter nos différences et envisager un monde de paix, d'équilibre et d'amour", a-t-il déclaré.

"À 87 ans, je comprends parfaitement que la mort est inévitable. Mais le thème de ce concert est que la vie est un long adieu à tout ce que nous aimons, un adieu prolongé, mais rempli de pardon et d'émerveillement".

M. Hopkins a conclu en remerciant l'équipe qui a rendu ce concert possible, en particulier Rakan Al-Harthi, directeur général de Sela, son producteur musical Stephen Barton, le chef d'orchestre Matthew Freeman et le Royal Philharmonic Orchestra. Il a terminé son discours par "Shukran".

Grâce à cet événement, Hopkins a non seulement mis en valeur ses talents musicaux, mais il a également laissé une impression durable sur la Saison de Riyad, en soulignant le pouvoir unificateur de l'art et de la musique dans la promotion de la tolérance, de l'amour et de la compréhension entre les cultures.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com

   

Le mouvement Slow Food s'implante à AlUla

AlUla dévoile le centre d'art culinaire de Dadan, qui célèbre le mouvement slow food, la durabilité et les traditions culinaires. (Photo Fournie)
AlUla dévoile le centre d'art culinaire de Dadan, qui célèbre le mouvement slow food, la durabilité et les traditions culinaires. (Photo Fournie)
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  • Le Centre d'art culinaire Dadan est un centre d'éco-gastronomie qui allie patrimoine et système alimentaire durable.
  • Le marché fermier de Dadan, qui met en valeur les richesses agricoles de la ville tous les week-ends avec un éventail de produits frais et saisonniers, est l'un des sites incontournables d'AlUla.

RIYADH : grâce à l'ouverture du Centre d'art culinaire Dadan, la ville d'AlUla accueille un nouveau foyer du mouvement slow food. Ce centre célèbre l'agriculture durable, les traditions alimentaires locales et les repas réfléchis.

Ce mouvement mondial vise à favoriser un lien plus profond entre les consommateurs et leurs sources de nourriture, en prônant l'utilisation d'ingrédients saisonniers et locaux, et en soutenant tous les membres de la communauté, des valeurs qui ont guidé le développement d'AlUla en tant que destination durable.

Le Centre des arts culinaires Dadan est un centre mondial d'éco-gastronomie qui allie l'héritage de l'oasis verdoyante d'AlUla aux valeurs contemporaines d'un système alimentaire équitable et durable.

Situé près du site historique de Dadan, le centre propose des repas, des ateliers interactifs et la possibilité de rencontrer les agriculteurs d'AlUla, le tout dans un cadre naturel d'exception.

Le marché fermier de Dadan, qui met en valeur les richesses agricoles de la ville tous les week-ends avec un éventail de produits frais et saisonniers, est l'un des sites incontournables d'AlUla.

Les familles locales, dont les moyens de subsistance sont étroitement liés à l'agriculture de l'oasis, présentent leurs produits et invitent les visiteurs à découvrir les saveurs authentiques d'AlUla. Les visiteurs peuvent savourer des plats préparés selon des méthodes traditionnelles ou choisir des produits frais à déguster sur l'aire de pique-nique, adoptant ainsi la philosophie « de l'oasis à la table » qui est au cœur de la mission du centre. Chaque achat soutient directement les agriculteurs locaux.

Le restaurant Diyar du centre, nommé d'après le mot arabe signifiant « maison », offre une expérience gastronomique inoubliable. Chaleureux et accueillant, il surplombe les montagnes majestueuses et sert des plats préparés à partir d'ingrédients provenant de sources durables et cultivés localement. Sous la direction du chef primé Sergio Rama, il redéfinit l'hospitalité en transformant des repas simples en une célébration de la communauté et du patrimoine.

Une autre façon d'en savoir plus sur AlUla et ses habitants est de participer aux ateliers du centre, qui enseignent les pratiques durables et les traditions locales. 

Qu'il s'agisse d'apprendre les principes fondamentaux de la cuisine de la ferme à la table, de maîtriser les arts de la saumure et de la fermentation ou d'explorer les multiples utilisations du moringa dans les huiles et les savons, les participants acquièrent des connaissances pratiques sur de multiples pratiques artisanales et alimentaires.

Grâce au centre d'art culinaire Dadan, AlUla invite le monde à redécouvrir le plaisir d'une cuisine saine et traditionnelle dans son oasis intemporelle.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


« Unstoppable » : Une sortie attendue mais réjouissante

"Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome dans le rôle de Robles, Jennifer Lopez dans celui de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans celui de son beau-père Rick. (Fourni)
"Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome dans le rôle de Robles, Jennifer Lopez dans celui de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans celui de son beau-père Rick. (Fourni)
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  • Le film "Unstoppable" raconte l'histoire réelle d'Anthony Robles, un lutteur américain qui a remporté le championnat national de lutte universitaire de 125 livres (57 kg) en 2011 bien qu'il soit né avec une seule jambe
  • Le problème avec les films de sport (ou du moins les bons), c'est qu'il faut vraiment s'appuyer sur tous les clichés et embrasser toutes les expressions qui font chavirer le cœur

LONDRES : Il est facile d'oublier qu'il arrive parfois que l'on attende simplement une dose de bonnes vibrations d'un film — et peu de genres s'y prêtent mieux que le biopic sportif.

Le film "Unstoppable" raconte l'histoire réelle d'Anthony Robles, un lutteur américain qui a remporté le championnat national de lutte universitaire de 125 livres (57 kg) en 2011 bien qu'il soit né avec une seule jambe.

Réalisé par William Goldenberg (scénariste et monteur de renom, qui fait ici ses débuts en tant que réalisateur), "Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome ("Moonlight", "When They See Us") dans le rôle de Robles, avec Jennifer Lopez dans le rôle de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans le rôle de son beau-père Rick.

Déjà talentueux lutteur au lycée, Robles rate la bourse d'études dont il rêvait, mais choisit de payer pour aller à l'université d'État de l'Arizona et gagner une place dans l'équipe de lutte de l'établissement.

Malgré le comportement abusif de Rick à la maison, Robles continue de gagner la confiance de ses coéquipiers. Soutenu par la foi inébranlable de sa mère et de son entraîneur au lycée (joué par Michael Pena), il se montre non seulement digne de sa place, mais aussi un athlète capable de performer sur la scène nationale.

Le problème avec les films de sport (ou du moins les bons), c'est qu'il faut vraiment s'appuyer sur tous les clichés et embrasser toutes les expressions qui font chavirer le cœur. Parce que, si vous le faites - et si le film a un casting décent qui fait un travail sérieux - le résultat en vaut la peine.

C'est le cas de "Unstoppable", un film aussi déterminé que son protagoniste du monde réel. Bien sûr, il y a quelques éléments de l'histoire qui sont évoqués puis abandonnés. Bien sûr, la montée en puissance de l'épreuve de force est plus que prévisible.

Mais ce film bénéficie de l'excellente performance de Jerome (aidé par des effets et des cascades absolument parfaits, qui voient Robles lui-même exécuter certaines séquences de lutte), et d'une distribution secondaire immensément talentueuse.

Lopez, Cannavale et Peña jouent tous très bien leur rôle, mais Don Cheadle mérite également des éloges pour son interprétation en tant qu'entraîneur et mentor de Robles à l'université.

S'agit-il de l'exploration la plus sophistiquée du monde de la lutte universitaire ? Non. Mais s'agit-il d'un film chaleureux et décent qui vous fera du bien ? Absolument.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com