Une galaxie de stars scintille à Las Vegas pour les 64e Grammy Awards

Brandi Carlile, Allison Russell,  Joni Mitchell et Jon Batiste sur scène lors de MusiCares de l'année en l'honneur de Joni Mitchell au MGM Grand Marquee Ballroom, le 1er avril 2022, à Las Vegas, Nevada (Photo, AFP).
Brandi Carlile, Allison Russell, Joni Mitchell et Jon Batiste sur scène lors de MusiCares de l'année en l'honneur de Joni Mitchell au MGM Grand Marquee Ballroom, le 1er avril 2022, à Las Vegas, Nevada (Photo, AFP).
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Publié le Lundi 04 avril 2022

Une galaxie de stars scintille à Las Vegas pour les 64e Grammy Awards

  • Le grand favori de cette soirée est le talentueux jazzman Jon Batiste, avec onze nominations au total
  • Les organisateurs des Grammy Awards auront de toutes façons à coeur d'éviter un incident, une semaine seulement après la retentissante gifle de Will Smith sur la scène des Oscars

LAS VEGAS: Superstars confirmées, étoiles montantes et même crooner nonagénaire: toutes les générations sont représentées dimanche pour la 64e édition des Grammy Awards à Las Vegas, où l'éclectique jazzman Jon Batiste et la révélation Olivia Rodrigo partent favoris.

La cérémonie devait se dérouler initialement le 31 janvier à Los Angeles, comme le veut la tradition, mais la pandémie est passée par là et les organisateurs ont dû reporter l'événement. Aucun créneau n'étant disponible avant juin dans les grandes salles de L.A., ils se sont rabattus sur Las Vegas, ville de la fête et du jeu habituée aux paillettes et aux stars.

Le grand favori de cette soirée est le talentueux jazzman Jon Batiste, avec onze nominations au total.

Pianiste virtuose, chef d'orchestre, militant antiraciste et compositeur oscarisé pour la musique du film d'animation "Soul", Jon Batiste est en outre très connu du grand public américain: depuis 2015, il est directeur musical de la très populaire émission de télévision "The Late Show with Stephen Colbert".

Héritier d'une longue lignée de musiciens de La Nouvelle-Orléans, l'artiste de 35 ans défendra aux Grammy Awards son album "We Are" et le titre "Freedom" dans les catégories majeures, mais il concourt dans presque tous les styles (R&B, jazz, classique, etc.)

La mégastar canadienne Justin Bieber, coqueluche des réseaux sociaux, sera de son côté en lice dans huit catégories, tout comme H.E.R., chouchoute des Grammy Awards, et l'étoile montante Doja Cat, lors de cette cérémonie présentée par l'humoriste Trevor Noah. 

Autre enfant chérie de l'Académie, Billie Eilish, qui vient d'obtenir un Oscar avec la chanson du dernier James Bond ("No time to die"), briguera sept trophées au total mais risque cette fois de trouver sur son chemin Olivia Rodrigo, encore plus jeune qu'elle avec 19 ans seulement.

Certains professionnels du disque prédisent que la grande sensation pop lancée par la série Disney "High School Musical" est en mesure de répéter dimanche soir le grand chelem réalisé par Billie Eilish voici deux ans, en raflant les quatre trophées les plus prestigieux. 

Elle est en tout cas donnée comme ultra-favorite dans la catégorie "révélation de l'année".

Kanye contre Taylor

Avec six nominations au total, l'improbable duo formé par la diva pop Lady Gaga et le crooner Tony Bennett, âgé de 95 ans et absent de la soirée car il souffre de la maladie d'Alzheimer, pourrait aussi créer la surprise avec l'album de reprises "Love For Sale".

Le fantasque Kanye West sera aussi en lice avec son album "Donda". Il affrontera le "Evermore" de Taylor Swift, à laquelle il avait impoliment arraché le micro des mains en 2009 alors qu'elle était montée sur scène pour recevoir un prix aux MTV Music Awards.

La chanteuse n'a pas souhaité concourir cette année aux Grammy Awards avec "Fearless (Taylor's Version)", réenregistrement de son album de 2008 qui avait déjà obtenu quatre trophées.

Chez les rappeurs, la compétition opposera Kanye West au vétéran Nas, à J. Cole et à Tyler, the Creator mais Drake, qui était sélectionné, a demandé à l'Académie de retirer ses deux candidatures, sans fournir de raison.

Son album à succès "Certified Lover Boy" avait été royalement ignoré dans les catégories généralistes lors des nominations et l'artiste, très influent et parmi les plus écoutés, s'est à de multiples reprises pris le bec avec les Grammy Awards. Il les accuse notamment de le cantonner à la catégorie des rappeurs parce qu'il est noir.

Les explosives Cardi B et Megan Thee Stallion seront pour cette fois des adversaires dans la catégorie "meilleure performance de rap".

BTS, monstre sacré de la K-pop, défendra son succès planétaire "Butter" mais c'est sa seule nomination aux Grammy Awards, où le groupe sud-coréen peine à s'imposer.

Il se produira sur la scène du MGM Grand Garden Arena, comme Olivia Rodrigo, Billie Eilish, Jon Batiste, H.E.R, Lil Nas X et Jack Harlow.

Et Kanye West dans tout ça ? En tant que nommé, il est invité dans la salle mais des médias spécialisés ont indiqué qu'il n'était plus le bienvenu sur scène. En cause, des attaques virulentes sur les réseaux sociaux contre l'humoriste Pete Davidson, en couple avec son ex-femme Kim Kardashian, et Trevor Noah qui ont valu à "Ye" une brève suspension d'Instagram.

Trevor Noah s'est publiquement prononcé contre la décision de l'exclure de la soirée.

Les organisateurs des Grammy Awards auront de toutes façons à coeur d'éviter un incident, une semaine seulement après la retentissante gifle de Will Smith sur la scène des Oscars qui avait éclipsé la fête et les artistes récompensés.

Le président ukrainien Zelensky apparaît sur une vidéo enregistrée

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky est intervenu dimanche via une allocution enregistrée lors de la 64e édition des Grammy Awards, équivalent des Oscars pour la musique américaine, pour demander le soutien à son pays, en proie à une invasion de la Russie.

"La guerre. Qu'est-ce qui est l'exact opposé de la musique ? La silence des villes en ruines et des gens tués", a lancé le président Zelensky avec son habituel t-shirt kaki, avant une performance de John Legend, rejoint sur scène par des artistes ukrainiens, Mika Newton et Lyuba Yakimchukt.

"Nos musiciens portent des gilets pare-balles au lieu de smokings. Ils chantent pour les blessés dans les hôpitaux, même pour ceux qui ne peuvent les entendre. Mais la musique se fera entendre malgré tout", a poursuivi M. Zelensky.


Anthony Hopkins enchante Riyad avec une symphonie onirique

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
Anthony a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad. (Photo Fournie)
Anthony a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad. (Photo Fournie)
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  • Présentée par Morgan Freeman, l'icône hollywoodienne se penche sur le langage universel de la musique
  • Un concert en Arabie Saoudite : un honneur inimaginable, dit Hopkins

RIYADH : Dans un mélange captivant d'art et d'humanité, l'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé "La vie est un rêve", dans le cadre des festivités de la Saison de Riyad.

Présenté par son collègue acteur Morgan Freeman, Hopkins a commencé son discours par la salutation arabe "As-salamu alaykum", donnant ainsi le ton du respect culturel et de l'unité.

Hopkins a partagé ses réflexions sur la vie et l'art, s'inspirant des mots d'Edgar Allan Poe : "J'ai toujours cru que tout ce que nous voyons ou semblons être n'est qu'un rêve à l'intérieur d'un rêve".

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)

Il a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad.

C'est avec une grande humilité et une immense gratitude que je présente ma pièce, "La vie est un rêve", dans le cadre de la Saison de Riyad", a-t-il déclaré.

Se remémorant sa vie, il a décrit le chemin parcouru depuis le "fils d'un simple boulanger" du sud du pays de Galles jusqu'à un compositeur et un acteur de renommée mondiale.

"Pour moi, ma vie est un profond mystère", a-t-il déclaré. "Il est impossible de comprendre ou de s'attribuer le mérite des bénédictions qui m'ont été accordées. C'est pourquoi je crois que la vie est un rêve, et cette pièce, "Life is a Dream", m'a été inspirée par mon enfance rêveuse dans le sud du pays de Galles, par ma mère qui m'a merveilleusement soutenu et par mon père, qui était plus grand que nature et qui a travaillé sans relâche tout au long de sa vie.

Hopkins a invoqué la philosophie de Ralph Waldo Emerson, soulignant que la musique et l'art sont des connecteurs spirituels.

"La musique et l'art sont des chemins vers Dieu, le principal moyen de relier toutes les âmes humaines. Emerson a compris que toucher une âme, c'est toucher toutes les âmes et je crois moi aussi que la musique a un pouvoir de transformation", a-t-il déclaré.

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)

"J'ai toujours rêvé d'être compositeur, mais je n'ai jamais su comment. Pourtant, donner ce concert en Arabie saoudite, berceau de l'islam, où le prophète Mahomet a reçu ses messages et où se trouvent les villes saintes de La Mecque et de Médine, est un honneur inimaginable".

Abordant les défis mondiaux, M. Hopkins a souligné l'importance de l'unité et de la paix.

"Je ne peux imaginer un meilleur endroit qu'ici pour nous rassembler, surmonter nos différences et envisager un monde de paix, d'équilibre et d'amour", a-t-il déclaré.

"À 87 ans, je comprends parfaitement que la mort est inévitable. Mais le thème de ce concert est que la vie est un long adieu à tout ce que nous aimons, un adieu prolongé, mais rempli de pardon et d'émerveillement".

M. Hopkins a conclu en remerciant l'équipe qui a rendu ce concert possible, en particulier Rakan Al-Harthi, directeur général de Sela, son producteur musical Stephen Barton, le chef d'orchestre Matthew Freeman et le Royal Philharmonic Orchestra. Il a terminé son discours par "Shukran".

Grâce à cet événement, Hopkins a non seulement mis en valeur ses talents musicaux, mais il a également laissé une impression durable sur la Saison de Riyad, en soulignant le pouvoir unificateur de l'art et de la musique dans la promotion de la tolérance, de l'amour et de la compréhension entre les cultures.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com

   

Le mouvement Slow Food s'implante à AlUla

AlUla dévoile le centre d'art culinaire de Dadan, qui célèbre le mouvement slow food, la durabilité et les traditions culinaires. (Photo Fournie)
AlUla dévoile le centre d'art culinaire de Dadan, qui célèbre le mouvement slow food, la durabilité et les traditions culinaires. (Photo Fournie)
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  • Le Centre d'art culinaire Dadan est un centre d'éco-gastronomie qui allie patrimoine et système alimentaire durable.
  • Le marché fermier de Dadan, qui met en valeur les richesses agricoles de la ville tous les week-ends avec un éventail de produits frais et saisonniers, est l'un des sites incontournables d'AlUla.

RIYADH : grâce à l'ouverture du Centre d'art culinaire Dadan, la ville d'AlUla accueille un nouveau foyer du mouvement slow food. Ce centre célèbre l'agriculture durable, les traditions alimentaires locales et les repas réfléchis.

Ce mouvement mondial vise à favoriser un lien plus profond entre les consommateurs et leurs sources de nourriture, en prônant l'utilisation d'ingrédients saisonniers et locaux, et en soutenant tous les membres de la communauté, des valeurs qui ont guidé le développement d'AlUla en tant que destination durable.

Le Centre des arts culinaires Dadan est un centre mondial d'éco-gastronomie qui allie l'héritage de l'oasis verdoyante d'AlUla aux valeurs contemporaines d'un système alimentaire équitable et durable.

Situé près du site historique de Dadan, le centre propose des repas, des ateliers interactifs et la possibilité de rencontrer les agriculteurs d'AlUla, le tout dans un cadre naturel d'exception.

Le marché fermier de Dadan, qui met en valeur les richesses agricoles de la ville tous les week-ends avec un éventail de produits frais et saisonniers, est l'un des sites incontournables d'AlUla.

Les familles locales, dont les moyens de subsistance sont étroitement liés à l'agriculture de l'oasis, présentent leurs produits et invitent les visiteurs à découvrir les saveurs authentiques d'AlUla. Les visiteurs peuvent savourer des plats préparés selon des méthodes traditionnelles ou choisir des produits frais à déguster sur l'aire de pique-nique, adoptant ainsi la philosophie « de l'oasis à la table » qui est au cœur de la mission du centre. Chaque achat soutient directement les agriculteurs locaux.

Le restaurant Diyar du centre, nommé d'après le mot arabe signifiant « maison », offre une expérience gastronomique inoubliable. Chaleureux et accueillant, il surplombe les montagnes majestueuses et sert des plats préparés à partir d'ingrédients provenant de sources durables et cultivés localement. Sous la direction du chef primé Sergio Rama, il redéfinit l'hospitalité en transformant des repas simples en une célébration de la communauté et du patrimoine.

Une autre façon d'en savoir plus sur AlUla et ses habitants est de participer aux ateliers du centre, qui enseignent les pratiques durables et les traditions locales. 

Qu'il s'agisse d'apprendre les principes fondamentaux de la cuisine de la ferme à la table, de maîtriser les arts de la saumure et de la fermentation ou d'explorer les multiples utilisations du moringa dans les huiles et les savons, les participants acquièrent des connaissances pratiques sur de multiples pratiques artisanales et alimentaires.

Grâce au centre d'art culinaire Dadan, AlUla invite le monde à redécouvrir le plaisir d'une cuisine saine et traditionnelle dans son oasis intemporelle.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


« Unstoppable » : Une sortie attendue mais réjouissante

"Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome dans le rôle de Robles, Jennifer Lopez dans celui de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans celui de son beau-père Rick. (Fourni)
"Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome dans le rôle de Robles, Jennifer Lopez dans celui de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans celui de son beau-père Rick. (Fourni)
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  • Le film "Unstoppable" raconte l'histoire réelle d'Anthony Robles, un lutteur américain qui a remporté le championnat national de lutte universitaire de 125 livres (57 kg) en 2011 bien qu'il soit né avec une seule jambe
  • Le problème avec les films de sport (ou du moins les bons), c'est qu'il faut vraiment s'appuyer sur tous les clichés et embrasser toutes les expressions qui font chavirer le cœur

LONDRES : Il est facile d'oublier qu'il arrive parfois que l'on attende simplement une dose de bonnes vibrations d'un film — et peu de genres s'y prêtent mieux que le biopic sportif.

Le film "Unstoppable" raconte l'histoire réelle d'Anthony Robles, un lutteur américain qui a remporté le championnat national de lutte universitaire de 125 livres (57 kg) en 2011 bien qu'il soit né avec une seule jambe.

Réalisé par William Goldenberg (scénariste et monteur de renom, qui fait ici ses débuts en tant que réalisateur), "Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome ("Moonlight", "When They See Us") dans le rôle de Robles, avec Jennifer Lopez dans le rôle de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans le rôle de son beau-père Rick.

Déjà talentueux lutteur au lycée, Robles rate la bourse d'études dont il rêvait, mais choisit de payer pour aller à l'université d'État de l'Arizona et gagner une place dans l'équipe de lutte de l'établissement.

Malgré le comportement abusif de Rick à la maison, Robles continue de gagner la confiance de ses coéquipiers. Soutenu par la foi inébranlable de sa mère et de son entraîneur au lycée (joué par Michael Pena), il se montre non seulement digne de sa place, mais aussi un athlète capable de performer sur la scène nationale.

Le problème avec les films de sport (ou du moins les bons), c'est qu'il faut vraiment s'appuyer sur tous les clichés et embrasser toutes les expressions qui font chavirer le cœur. Parce que, si vous le faites - et si le film a un casting décent qui fait un travail sérieux - le résultat en vaut la peine.

C'est le cas de "Unstoppable", un film aussi déterminé que son protagoniste du monde réel. Bien sûr, il y a quelques éléments de l'histoire qui sont évoqués puis abandonnés. Bien sûr, la montée en puissance de l'épreuve de force est plus que prévisible.

Mais ce film bénéficie de l'excellente performance de Jerome (aidé par des effets et des cascades absolument parfaits, qui voient Robles lui-même exécuter certaines séquences de lutte), et d'une distribution secondaire immensément talentueuse.

Lopez, Cannavale et Peña jouent tous très bien leur rôle, mais Don Cheadle mérite également des éloges pour son interprétation en tant qu'entraîneur et mentor de Robles à l'université.

S'agit-il de l'exploration la plus sophistiquée du monde de la lutte universitaire ? Non. Mais s'agit-il d'un film chaleureux et décent qui vous fera du bien ? Absolument.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com