Le 15 mars 1962 à Ben Aknoun, l’écrivain algérien Mouloud Féraoun était assassiné par un commando de l’OAS (Organisation de l’armée secrète), un groupe composé de criminels français extrémistes contre l’Indépendance de l’Algérie.
Mouloud Féraoun se trouvait en compagnie de cinq autres inspecteurs d’académie, en l’occurrence Hamoutène Ali, Salah Ould-Aoudia, Basset Etienne, Aymar Robert et Marchands Max, réunis en séance de travail et d’évaluation, à l’issue d’une demi-journée passée avec une trentaine d’instructeurs de retour d’une formation effectuée en Vendée.
Contacté par nos soins, l’un des instructeurs présents lors de ce triste événement, Bendjouher Abdelkader, citoyen de la ville de Tipasa, ancien sergent dans l’armée française, démobilisé et ayant quitté les rangs de l’armée, bien avant la date fatidique du 15 mars 1962, «de retour de France, nous avons été invités par nos inspecteurs pour une réunion pédagogique d’évaluation au niveau du Château Royal à Ben Aknoun, après une formation en France.
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