Le Musée national accueille la Chambre de commerce américaine en Arabie saoudite pour une nuit dédiée à la culture

Le Musée national est divisé en huit galeries, chacune d'entre elles représentant une période historique différente. (Photo AN par Huda Bashatah)
Le Musée national est divisé en huit galeries, chacune d'entre elles représentant une période historique différente. (Photo AN par Huda Bashatah)
Le Musée national est divisé en huit galeries, chacune d'entre elles représentant une période historique différente. (Photo AN par Huda Bashatah)
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Le Musée national est divisé en huit galeries, chacune d'entre elles représentant une période historique différente. (Photo AN par Huda Bashatah)
Le Musée national est divisé en huit galeries, chacune d'entre elles représentant une période historique différente. (Photo AN par Huda Bashatah)
Le Musée national est divisé en huit galeries, chacune d'entre elles représentant une période historique différente. (Photo AN par Huda Bashatah)
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Le Musée national est divisé en huit galeries, chacune d'entre elles représentant une période historique différente. (Photo AN par Huda Bashatah)
Le Musée national est divisé en huit galeries, chacune d'entre elles représentant une période historique différente. (Photo AN par Huda Bashatah)
Le Musée national est divisé en huit galeries, chacune d'entre elles représentant une période historique différente. (Photo AN par Huda Bashatah)
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Publié le Jeudi 17 mars 2022

Le Musée national accueille la Chambre de commerce américaine en Arabie saoudite pour une nuit dédiée à la culture

  • Le Musée national, qui fait partie du Centre historique du roi Abdelaziz, a été fondé en 1999 pour célébrer l'unification saoudienne
  • Il s'agit d'un monument culturel qui, à travers l'héritage du Royaume, souligne l'identité, la profondeur et les dimensions culturelles de la nation

RIYAD: Les visiteurs du Musée national du Royaume à Riyad pourront découvrir des statues anciennes trouvées dans toute l'Arabie saoudite, la couverture d'Al-Kaaba, l'architecture grandeur nature des vieilles maisons de différentes régions, et bien d'autres objets historiques, allant de l'Âge de pierre aux deux Saintes Mosquées d'aujourd'hui.

Mercredi, c'était au tour du comité des arts, de la culture et du divertissement de la Chambre de commerce américaine en Arabie saoudite de vivre l'expérience «Une nuit au Musée national».

Plus de cent personnes ont eu le plaisir d’assister à une soirée organisée par le Musée national du Royaume, riche en culture saoudienne. Les invités ont pu profiter d'une visite guidée, de mets et coutumes traditionnels, d'activités muséales intéressantes, d'un spectacle musical saoudien et de prix offerts par des entreprises saoudiennes.

Ali al-Hammad, un guide touristique anglophone, a présenté aux participants de la Chambre de commerce américaine des faits qui donnent à réfléchir sur l'art historique et les expositions culturelles. Les visiteurs ont pu poser des questions directement à l'expert, qui a partagé sa connaissance de la culture saoudienne.

M. Al-Hammad a exprimé son enthousiasme à l'idée d'accueillir autant d'invités en une seule visite.

«Je travaille ici depuis vingt-deux ans et je suis heureux qu'il y ait eu beaucoup de visiteurs aujourd'hui. Nous sommes toujours ravis de voir que les gens apprécient notre Histoire. De nombreuses œuvres ont été exposées récemment, notamment les statues trouvées à AlUla, stockées pendant de nombreuses années et désormais présentées pour que tout le monde puisse les contempler.»

Le Musée national est divisé en huit galeries, chacune d'entre elles représentant une période historique différente. Les galeries sont disposées par ordre chronologique, depuis la création de l'univers jusqu'à l'unification de l'Arabie saoudite et l'essor du Hajj.

Tarik Solomon, président de la Chambre de commerce américaine en Arabie saoudite, a déclaré que le musée était un lieu que les visiteurs n'oublieraient pas.

«C'est un événement dont tout le monde se souviendra et j’ai été très impressionné par Al-Kiswa; vous venez ici et vous découvrez la couverture d'Al-Kabba. Je suis vraiment impatient de voir ce qui va suivre; j'ai entendu dire que les musées du patrimoine, de l'art et des cultures se développent dans le Royaume, je suis donc heureux d'être ici.»

La Chambre de commerce américaine en Arabie saoudite aide les personnes ayant des intérêts commerciaux américains et la communauté environnante à entrer en contact, à se développer et à prospérer à Riyad, à Djeddah et dans la province orientale, que ce soit professionnellement ou personnellement.

Todd Nims, président du comité des arts, de la culture et du divertissement de la Chambre, a remercié le Musée national d'avoir accueilli la visite, soulignant qu'il s'agissait d'un exemple d'échange interculturel.

«Cet échange de culture est ce que nous encourageons en tant que communauté et nous sommes ravis de vivre des événements comme celui-ci; aujourd'hui, nous avons par exemple goûté la vraie cuisine saoudienne concoctée par des Saoudiennes», a-t-il déclaré.

«Nous avons pour objectif de servir la communauté en développant l’intérêt pour la culture saoudienne ici, dans le Royaume, et nous attendons avec impatience de nombreuses autres occasions de participer et d'explorer ces joyaux de Riyad, de Djeddah et de la province orientale.»

La responsable de la communication de la chambre, Hana Nemec, a été bouleversée par la qualité de l’accueil du Musée national: «En tant qu'expatriée américaine qui vit dans le Royaume depuis six ans, mon intérêt pour l'Arabie saoudite et sa riche culture continue de se développer jour après jour. Je n'en ai jamais assez.»

Le Musée national, qui fait partie du Centre historique du roi Abdelaziz, a été fondé en 1999 pour célébrer l'unification saoudienne.

Le musée est un monument culturel qui, à travers l'héritage du Royaume, souligne l'identité, la profondeur et les dimensions culturelles de la nation.


Des luttes à l'innovation : Comment le calligraphe saoudien Abdulaziz Al-Rashedi a révolutionné l'écriture arabe

3punt 5. (Fourni)
3punt 5. (Fourni)
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  • « Je ressens une lumière sacrée dans les lettres », déclare Abdulaziz Al-Rashedi

DUBAÏ : La première passion du calligraphe saoudien et professeur d'arts Abdulaziz Al-Rashedi a toujours été le stylo. Son intérêt pour l'écriture a commencé à l'école primaire dans les années 1980, dans sa ville natale de Médine.

Al-Rashedi parle de tenir un stylo comme un musicien pourrait parler de son instrument. Aux yeux du calligraphe, l'écriture est un acte artistique, comme une danse, qui possède sa propre magie.

« Ce que j'aimais dans le stylo, c'était la façon dont l'encre en coulait », confie-t-il à Arab News. « Le stylo m'a conduit à mon amour pour la calligraphie arabe. »

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Al-Rashedi parle de la tenue d'un stylo comme un musicien parlerait de la tenue de son instrument. (Fourni)

Cependant, il a dû faire face aux défis posés par l'environnement social conservateur du Royaume dans les années 1980 et 1990.

« Les gens ne considéraient pas l'art comme quelque chose d'important. À cette époque, ils pensaient que l'art ne rapportait pas d'argent. Pour eux, c'était une perte de temps », explique-t-il. « Dans un tel environnement déprimant, je souffrais du manque d'intérêt des gens. Ils disaient que l'écriture me distrairait de mes études. Mais en réalité, cela m'encourageait à étudier. »

Son intérêt pour la calligraphie n'a pas échappé à tout le monde. Le père d'Al-Rashedi, aujourd'hui décédé, l'a toujours soutenu.  

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3punt 2. (Fourni)

« Il croyait en l'écriture et en sa préservation », déclare Al-Rashedi. « Il pensait que je faisais quelque chose d'important de ma vie, même si d'autres pensaient le contraire. Ils comparaient cela à des gribouillages. En réalité, je faisais de l'art tout seul. Aucun de mes amis ne partageait cet intérêt avec moi et il n'y avait aucun institut de calligraphie pour encourager ce talent. La situation était très difficile. »

Mais en 1993, Al-Rashedi a appris qu’il existait en effet un maître calligraphe saoudien vivant à Médine : Ahmad Dia. Ce dernier a gentiment accepté de lui enseigner les bases de la calligraphie arabe. Et, peut-être tout aussi important, il l’a fait dans sa maison, qu'Al-Rashedi compare à une école, un musée et un lieu de rencontre pour calligraphes.

« J'étais jeune, mais il me traitait comme un homme », se souvient l'artiste. « Pour nous, les calligraphes, il était comme un père spirituel, qui a planté en nous une graine de détermination. Il nous a toujours encouragés et ne nous a jamais réprimandés si notre écriture n'était pas parfaite. »

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3punt 4. (Fourni)

Al-Rashedi est resté en contact avec son mentor jusqu'à la mort de Dia en 2022, lors de la pandémie de COVID. « Lorsqu'il est mort, c'est comme si la lumière s'était éteinte », confie-t-il.

Al-Rashedi s'est également formé en recopiant les œuvres d'une autre figure importante : Hashem Al-Baghdadi, le calligraphe et éducateur irakien influent, qui a publié des ouvrages sur les règles de la calligraphie arabe. Al-Rashedi décrit l'époque avant les réseaux sociaux comme une « période véritablement sombre », où il n'y avait aucune opportunité d'organiser des expositions ou de partager son travail avec les autres.

« Les gens ne communiquaient pas entre eux. C’était une période qui manquait (d’opportunités) et même de bons matériaux, comme des stylos et du papier », se souvient-il.

Mais avec l’avènement des réseaux sociaux, notamment Facebook, et l’ouverture de quelques galeries d’art, dont Athr Gallery à Djeddah en 2009, les choses ont considérablement changé. Aujourd’hui, Al-Rashedi peut partager ses œuvres sur Instagram et d’autres plateformes, montrant les compétences qu’il a perfectionnées au cours de trois décennies de pratique.

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Sa fascination pour l'écriture a commencé à l'école primaire, dans les années 80, dans sa ville natale de Madinah. (Fourni)

La calligraphie arabe est une forme d’art respectée à l’échelle internationale, existant depuis des milliers d’années, utilisée dans les textes islamiques et présente sur des monuments à travers le monde. Quel est donc son secret de longévité ?

« Je me demande souvent pourquoi les courbes de la calligraphie arabe fascinent les gens depuis si longtemps, et je pense que cela a inévitablement un lien avec sa sainteté », explique-t-il. « Allah a été une source d’inspiration pour les calligraphes et leur innovation dans l’écriture. Je ressens une lumière sacrée dans les lettres de la calligraphie arabe. »

Mais Al-Rashedi pense également que, pendant de nombreuses années, la calligraphie est restée figée dans une ornière, sans être touchée par l’innovation ou la créativité modernes.

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3punt 6. (Fourni)

« Beaucoup de calligraphes ont littéralement affirmé que la calligraphie arabe avait atteint sa limite et que personne ne pouvait y ajouter quoi que ce soit de nouveau », dit-il. « Une telle idée est incorrecte. »

En effet, Al-Rashedi a inventé sa propre forme de calligraphie arabe, qu’il appelle « 3punt ». (Il explique que le nom fait référence à la taille des lettres, qui sont écrites à l’aide de trois stylos différents.)

« Cela repose sur l’idée de réduire l’épaisseur des lettres. Habituellement, un seul stylo est utilisé en calligraphie arabe. Mais j’ai découvert que l’épaisseur traditionnelle de l’écriture arabe et l’utilisation d’un seul stylo empêchent l’ajout de nouvelles formes d’écriture au système. »

Basée sur un ensemble de règles strictes, la calligraphie 3punt d’Al-Rashedi contient 55 « sous-types d’écriture », explique-t-il. Elle possède une légèreté et une élégance propres, avec des lignes fluides et soigneusement chorégraphiées en écriture arabe fine.

En fin de compte, Al-Rashedi estime que la calligraphie arabe est une question de liens.  

« Si nous regardons l’écriture latine ou chinoise, sur des lettres comme ‘n’, ‘e’ ou ‘r’, elles se composent de parties distinctes. Mais avec la calligraphie arabe, vous pouvez connecter six ou sept lettres d’un seul trait », dit-il. « Sans aucun doute, l’écriture arabe — en tant que forme d’art — est supérieure à d’autres types d’écriture. »

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 


Inauguration d'une exposition Christian Dior à Riyad

Une exposition célébrant la vie et l'œuvre du couturier Christian Dior est désormais ouverte au  Musée national d'Arabie saoudite dans le cadre du festival Riyadh Season de cette année. (Photo fournie)
Une exposition célébrant la vie et l'œuvre du couturier Christian Dior est désormais ouverte au  Musée national d'Arabie saoudite dans le cadre du festival Riyadh Season de cette année. (Photo fournie)
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  • «Christian Dior: couturier du rêve» est une collaboration entre la maison de couture française et l'Autorité générale pour le divertissement d'Arabie saoudite
  • L'événement, qui se tient jusqu'au 2 avril, explore l'héritage de Dior et de ses successeurs à travers un récit inédit

RIYAD: Une exposition célébrant la vie et l'œuvre du créateur de mode Christian Dior est désormais ouverte au Musée national d'Arabie saoudite dans le cadre du festival Riyadh Season de cette année.

«Christian Dior: couturier du rêve», une exposition couvrant plus de 75 ans de créativité et de design, ainsi que les œuvres qu'il a inspirées, est une collaboration entre la maison de couture française et l'Autorité générale pour le divertissement d'Arabie saoudite.

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«Christian Dior: couturier du rêve» est une collaboration entre la maison de couture française et l'Autorité générale pour le divertissement d'Arabie saoudite. (Photo fournie)

L'événement, qui se tient jusqu'au 2 avril, explore l'héritage de Dior et de ses successeurs à travers un récit inédit spécialement conçu pour l'exposition par l'historienne de l'art Florence Muller et la scénographe Nathalie Crinière.

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L'exposition couvre plus de 75 ans de créativité et de design et le travail que Dior a inspiré. (Photo fournie)

Parmi les points forts de l'exposition figurent des hommages à certains des grands classiques de Dior, tels que Miss Dior et J'adore, ainsi qu'un hommage au sac Lady Dior, sous la forme du projet Dior Lady Art.

Faisal Bafarat, directeur général de l'Autorité générale pour le divertissement, a officiellement inauguré l'exposition mercredi. Les billets sont disponibles sur la plateforme WeBook.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


La diva libanaise Fairouz souffle ses 90 bougies

La diva libanaise Fairuz se produit lors d'un rare concert à Beyrouth le 7 octobre 2010. (AFP)
La diva libanaise Fairuz se produit lors d'un rare concert à Beyrouth le 7 octobre 2010. (AFP)
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  • Dernière légende vivante de la chanson arabe, Fairouz a soufflé jeudi ses 90 bougies alors que son pays, le Liban qu'elle a tant célébré, est plongé dans une guerre meurtrière entre le Hezbollah et Israël
  • Les internautes ont enflammé la Toile en diffusant les chansons de la diva, rare symbole d'unité nationale dans le pays divisé, alors que les médias de tous bords lui rendaient hommage

BEYROUTH: Dernière légende vivante de la chanson arabe, Fairouz a soufflé jeudi ses 90 bougies alors que son pays, le Liban qu'elle a tant célébré, est plongé dans une guerre meurtrière entre le Hezbollah et Israël.

Les internautes ont enflammé la Toile en diffusant les chansons de la diva, rare symbole d'unité nationale dans le pays divisé, alors que les médias de tous bords lui rendaient hommage.

En 2020, le président français Emmanuel Macron, en visite à Beyrouth, s'était rendu au domicile de Fairouz et l'avait décorée de la Légion d'honneur.

"A celle qui incarne l'âme de cette région avec dignité, un bel anniversaire", a-t-il écrit jeudi sur son compte Instagram.

"La voix de Fairouz est mon pays", a pour sa part écrit sur Facebook le célèbre compositeur libanais Marcel Khalifé.

Après s'être produite pendant plus d'un demi-siècle de Beyrouth à Las Vegas, en passant par Paris et Londres, la star n'apparait plus en public depuis plus d'une décennie.

"Quand vous regardez le Liban aujourd'hui, vous voyez qu'il ne ressemble aucunement au Liban que je chante", regrettait la diva dans une interview au New York Times en 1999, en allusion aux décennies de guerres et de destructions.

Au plus fort de la guerre civile, elle avait chanté "Je t'aime, Ö Liban, mon pays" ("Bhebbak ya Lebnane"), une chanson devenue iconique.

Fairouz a exalté son Liban natal mais également l'amour, la liberté et la Palestine.

Elle a donné vie aux paroles de grands poètes arabes --les Libanais Gibrane Khalil Gibrane, Saïd Akl ou l'Egyptien Ahmed Chawki--, tandis que ses chants patriotiques se sont incrustés dans la mémoire des Libanais et du reste du monde arabe.

Nouhad Haddad de son vrai nom, elle est née en 1934 dans une modeste famille chrétienne qui habitait le quartier de Zokak el-Blatt, visé lundi par une frappe israélienne.

Engagée à la radio, le compositeur Halim al-Roumi, impressionné, lui donne son surnom.

Dans les années 1950, elle épouse le compositeur Assi Rahbani qui, avec son frère Mansour, révolutionne la chanson et la musique arabe traditionnelles en mêlant morceaux classiques occidentaux, russes et latino-américains à des rythmes orientaux, sur une orchestration moderne.

C'est après ses premiers concerts au Festival international de Baalbeck, au milieu des ruines de ce site libanais antique près duquel s'abattent actuellement les bombes israéliennes, que la carrière de Fairouz s'envole.

Adulée par les aînés, elle devient l'icône des jeunes lorsque son fils Ziad, enfant terrible de la musique libanaise, lui composera des chansons influencées par des rythmes de jazz.