L’AFALULA invite le savoir-faire français à la région d’AlUla, merveille d’Arabie

Un encensoir présentée lors de l'exposition «AlUla: merveille d'Arabie» à l'Institut du monde arabe (IMA) dans la capitale française Paris, le 7 octobre 2019. (François GUILLOT/AFP)
Un encensoir présentée lors de l'exposition «AlUla: merveille d'Arabie» à l'Institut du monde arabe (IMA) dans la capitale française Paris, le 7 octobre 2019. (François GUILLOT/AFP)
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Publié le Jeudi 16 juillet 2020

L’AFALULA invite le savoir-faire français à la région d’AlUla, merveille d’Arabie

  • L’Agence française pour le développement d’AlUla, présidée par Gérard Mestrallet, travaille à faire de la région une destination touristique haut de gamme en Arabie saoudite
  • « En deux années d’activité, la coopération entre la France et le Royaume s’est renforcée et affirmée », assure M. Mestrallet

Le projet de développement d’AlUla, région au patrimoine naturel et culturel d’exception située au Nord-Ouest de l’Arabie saoudite, est l’exemple d’une coopération culturelle franco-saoudienne réussie.

Avec l’appui du savoir-faire français, l’Arabie saoudite ambitionne de faire d’AlUla, d’ici à 2035, une destination touristique haut de gamme de référence internationale. AlUla offrira aux visiteurs du monde entier un voyage unique à travers cinq mille ans d’histoire.

Partenaire de la Commission royale pour AlUla (RCU) consacrée à ce projet, l’Agence française pour le développement d’AlUla (AFALULA), présidée par Gérard Mestrallet et basée à Paris, travaille à cet objectif avec ardeur, malgré les difficultés liées à la crise économique et sanitaire advenue récemment. Née d'un accord bilatéral signé le 10 avril 2018 au Palais de l'Élysée, en présence de S.A.R le prince héritier Mohammed ben Salman, et d’Emmanuel Macron, président de la République française, l’Agence AFALULA fête le deuxième anniversaire de sa création le 13 juillet prochain.

A ce sujet, Gérard Mestrallet affirme : « En deux années d’activité, la coopération entre nos deux pays s’est renforcée et affirmée. Nous sommes heureux du travail accompli et enthousiastes à l’idée de relever ensemble les nombreux défis à venir. »

« Les équipes ont encore intensifié leur rythme de travail pendant la période de confinement ; le nombre de réunions par Skype et Zoom a augmenté de manière exponentielle, multipliant les échanges quotidiens avec nos partenaires saoudiens, explique-t-il. Avant cette crise, lorsque nous avions des messages importants à faire passer, il nous fallait nous rendre sur place, rejoindre Riyad, puis AlUla par un second vol. Aux déplacements se sont substitués, par le miracle de la technologie, des réunions par écrans interposés, à tout moment de la journée, et pour tout sujet d’échange. »

Et de poursuivre: « Nous avons donc considérablement gagné en interactivité. Jamais mes contacts « directs» avec Amr Al Madani, CEO de la Commission royale, n’ont été su fréquents. Ainsi, les projets ont avancé à un rythme soutenu. Et c’est cette phase de conception, dans laquelle nous sommes plongés actuellement, qui a permis de ne pas prendre de retard. En effet, en période de conception, le travail peut malgré tout se faire à distance, sans nécessairement se rendre sur place pour imaginer les master plans, travailler sur le concept des musées et penser les infrastructures de demain. La livraison des Masters plans 1 et 2, qui couvrent une grande partie du projet, est prévue pour septembre prochain. Le Master plan 1 couvre la région du Nord historique. Il est piloté par Étienne Tricaud, architecte en charge du pôle Architecture & Développement urbain à l’Agence AFALULA ; et Khaled Hazzam, architecte saoudien. Le Master plan 2 est quant à lui piloté par Andréas Heym, architecte que l’on compte aussi parmi les équipes AFALULA. Il couvre la ville actuelle d’AlUla, l’aéroport et les quartiers nouveaux ».

Gérard Mestrallet ajoute: « Durant la période de confinement, toute l’équipe AFALULA, les consultants, ainsi que les architectes se sont consacrés à temps plein à l’avancée de ces nombreux chantiers. Seuls les cinquante archéologues français, rapatriés en urgence, n’ont pu poursuivre leurs fouilles sur le terrain. »

Toutefois, conclut M. Mestrallet, « Ii n’y a rien de tel que le contact humain et les échanges en propre. Dès que la situation le permettra, je me rendrai sur place par le premier vol. »

AlUla, selon Gérard Mestrallet, est le plus important centre d’activités archéologiques de tout le Moyen-Orient. La double mission de l’agence est de coconstruire le projet avec son partenaire saoudien et de mobiliser l’ensemble des savoir-faire, expertises et entreprises français dans tous les domaines couverts par le projet : l’ingénierie culturelle, l’archéologie, l’architecture, l’urbanisme, l’agriculture et la botanique, le tourisme, l’éducation, la sécurité et la gestion de l’eau et de l’environnement.

Gérard Mestrallet cite par ailleurs un exemple de réussite de cette coopération dans le domaine culinaire français en indiquant à Arab News : « Vingt-quatre jeunes, femmes et hommes, de la région d’AlUla, ont été formés, à Paris, au cœur de la prestigieuse école française de gastronomie et de management hôtelier Ferrandi Paris. Ces mêmes étudiants étaient présents le soir de l’inauguration de l’exposition AlUla, Merveille d’Arabie, à l’Institut du monde arabe. Ils se tenaient aussi, lors du dernier festival Winter at Tantora, auprès des plus grands chefs étoilés français venus à AlUla pour préparer des repas d’exception dans un lieu magique au cœur du site d’Hégra. Une expérience extraordinaire pour ces jeunes chefs en devenir. Parmi les personnes présentes à AlUla lors du dernier festival d’hiver, le chef Arnaud Donckele, qui officie au restaurant Cheval Blanc à Monaco, a manifesté le projet d’engager un de ces jeunes saoudiens. »

Autre exemple du savoir-faire français à l’œuvre à AlUla, l’architecte français Jean Nouvel a été sélectionné par un jury international pour concevoir un complexe hôtelier sur le site de Sharaan.

En somme, le projet de développement d’AlUla reflète la volonté commune du Royaume d’Arabie saoudite et de la France de mettre en œuvre un modèle nouveau de développement économique et touristique, centré sur la préservation de l’environnement, respectueux de l’histoire, des territoires et de la population locale, au service d’une expérience touristique authentique.


« Unstoppable » : Une sortie attendue mais réjouissante

"Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome dans le rôle de Robles, Jennifer Lopez dans celui de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans celui de son beau-père Rick. (Fourni)
"Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome dans le rôle de Robles, Jennifer Lopez dans celui de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans celui de son beau-père Rick. (Fourni)
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  • Le film "Unstoppable" raconte l'histoire réelle d'Anthony Robles, un lutteur américain qui a remporté le championnat national de lutte universitaire de 125 livres (57 kg) en 2011 bien qu'il soit né avec une seule jambe
  • Le problème avec les films de sport (ou du moins les bons), c'est qu'il faut vraiment s'appuyer sur tous les clichés et embrasser toutes les expressions qui font chavirer le cœur

LONDRES : Il est facile d'oublier qu'il arrive parfois que l'on attende simplement une dose de bonnes vibrations d'un film — et peu de genres s'y prêtent mieux que le biopic sportif.

Le film "Unstoppable" raconte l'histoire réelle d'Anthony Robles, un lutteur américain qui a remporté le championnat national de lutte universitaire de 125 livres (57 kg) en 2011 bien qu'il soit né avec une seule jambe.

Réalisé par William Goldenberg (scénariste et monteur de renom, qui fait ici ses débuts en tant que réalisateur), "Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome ("Moonlight", "When They See Us") dans le rôle de Robles, avec Jennifer Lopez dans le rôle de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans le rôle de son beau-père Rick.

Déjà talentueux lutteur au lycée, Robles rate la bourse d'études dont il rêvait, mais choisit de payer pour aller à l'université d'État de l'Arizona et gagner une place dans l'équipe de lutte de l'établissement.

Malgré le comportement abusif de Rick à la maison, Robles continue de gagner la confiance de ses coéquipiers. Soutenu par la foi inébranlable de sa mère et de son entraîneur au lycée (joué par Michael Pena), il se montre non seulement digne de sa place, mais aussi un athlète capable de performer sur la scène nationale.

Le problème avec les films de sport (ou du moins les bons), c'est qu'il faut vraiment s'appuyer sur tous les clichés et embrasser toutes les expressions qui font chavirer le cœur. Parce que, si vous le faites - et si le film a un casting décent qui fait un travail sérieux - le résultat en vaut la peine.

C'est le cas de "Unstoppable", un film aussi déterminé que son protagoniste du monde réel. Bien sûr, il y a quelques éléments de l'histoire qui sont évoqués puis abandonnés. Bien sûr, la montée en puissance de l'épreuve de force est plus que prévisible.

Mais ce film bénéficie de l'excellente performance de Jerome (aidé par des effets et des cascades absolument parfaits, qui voient Robles lui-même exécuter certaines séquences de lutte), et d'une distribution secondaire immensément talentueuse.

Lopez, Cannavale et Peña jouent tous très bien leur rôle, mais Don Cheadle mérite également des éloges pour son interprétation en tant qu'entraîneur et mentor de Robles à l'université.

S'agit-il de l'exploration la plus sophistiquée du monde de la lutte universitaire ? Non. Mais s'agit-il d'un film chaleureux et décent qui vous fera du bien ? Absolument.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


« BookTok » redéfinit la lecture pour la nouvelle génération de Saoudiens

Au-delà de l'engouement pour les médias sociaux, l'essor des salons du livre reflète la stratégie et les efforts du ministère de la Culture pour sensibiliser à la contribution de la lecture à la qualité de la vie. (SPA)
Au-delà de l'engouement pour les médias sociaux, l'essor des salons du livre reflète la stratégie et les efforts du ministère de la Culture pour sensibiliser à la contribution de la lecture à la qualité de la vie. (SPA)
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  • La popularité des livres sur les réseaux sociaux influence les tendances de l'édition.
  • Selon un commentateur, les auteurs adaptent leurs œuvres dans le but d'obtenir un maximum de vues.

RIYADH : Alors que TikTok est souvent critiqué pour réduire la durée d'attention avec son contenu rapide, la communauté « BookTok » de la plateforme de médias sociaux a suscité un regain d'intérêt pour la lecture chez les jeunes adultes d'Arabie saoudite et d'ailleurs.

Décrit comme une « machine à best-sellers » par le New York Times, BookTok est devenu un phénomène mondial.

La plateforme est devenue un club de lecture virtuel où les lecteurs se connectent pour partager des recommandations et discuter de leurs titres préférés, en particulier dans des genres tels que la romance, la fiction et les thrillers.

Les ventes de ce genre ont augmenté de 8,5 % en 2022, puis de 1 % en 2023. (SPA)
Les ventes de ce genre ont augmenté de 8,5 % en 2022, puis de 1 % en 2023. (SPA)

Arab News a interrogé plusieurs auteurs et créateurs de contenu qui ont expliqué en quoi la tendance des réseaux sociaux stimule les ventes de livres et remodèle l'industrie locale de l'édition.

Mohammed Al-Ashaari est un jeune lecteur qui partage régulièrement des recommandations de livres et mène des discussions sur son compte TikTok.

La nature rapide de la plateforme donne la priorité aux contenus esthétiques qui peuvent être partagés en petites séquences, et Mohammed Al-Ashaari a expliqué comment cet algorithme modifie les habitudes de lecture.

« BookTok a apporté des changements significatifs dans la façon dont les gens lisent les romans, car les tendances de lecture au sein de la communauté BookTok sont en constante évolution, et chaque tendance fait émerger une nouvelle façon ou habitude de lire »

« BookTok a apporté des changements significatifs dans la façon dont les gens lisent les romans, car les tendances de lecture au sein de la communauté BookTok sont en constante évolution, et chaque tendance fait émerger une nouvelle façon ou habitude de lire », a-t-il déclaré.

M. Al-Ashaari a expliqué que cet impact ne se limitait pas aux lecteurs de la plateforme, mais s'étendait également aux auteurs, influençant la manière dont ils abordent leur écriture et adaptent leur travail pour répondre aux goûts et aux intérêts de la communauté active de la plateforme.

La communauté BookTok a émergé sur TikTok pendant les restrictions du COVID-19, et son impact sur l'édition est indéniable, les auteurs et les éditeurs enregistrant une croissance remarquable de leurs ventes. (SPA)
La communauté BookTok a émergé sur TikTok pendant les restrictions du COVID-19, et son impact sur l'édition est indéniable, les auteurs et les éditeurs enregistrant une croissance remarquable de leurs ventes. (SPA)

Il a ajouté que les genres les plus populaires sur BookTok sont le fantastique, la science-fiction et l'horreur, les livres suscitant le plus d'intérêt appartenant à ces genres, ce qui a incité de nombreux auteurs à se concentrer sur les catégories les plus populaires.

La communauté BookTok est apparue sur TikTok pendant les périodes de confinement liées au COVID-19, et son impact sur l'édition est indéniable, comme en témoigne la croissance remarquable des ventes des auteurs et des éditeurs.

Cet impact est particulièrement notable dans la manière dont il a affecté les ventes de livres et l'engagement des auteurs.

Un rapport du service de suivi des ventes au détail Circana, basé aux États-Unis, a révélé que TikTok a considérablement influencé les ventes de livres aux États-Unis, en particulier dans la catégorie des romans pour adultes.

Les ventes de romans pour adultes ont augmenté de 8,5 % en 2022, puis de 1 % en 2023. D'autres genres, tels que la dystopie, la romance et le thriller, ont également connu une croissance notable au cours de cette période.

Yasmina Al-Mutabagani, l'auteure saoudienne de « Beyond the Surface », a déclaré que BookTok avait joué un rôle important dans l'augmentation des ventes de son dernier roman, qui relate l'histoire de deux étrangers unis par un lien inattendu pendant une pandémie.

« J'ai fait de la publicité payante à plusieurs reprises sur une vidéo que j'avais postée et qui parlait de mon livre, mais à l'époque, je ne pensais pas que ce serait aussi efficace. Au bout d'un certain temps, je me suis rendue à la librairie Jarir et le vendeur m'a dit qu'il n'y avait plus de livres dans plusieurs succursales », a-t-elle expliqué.

Al-Mutabagani a souligné l'influence plus large de BookTok sur le monde littéraire. « Il a un impact positif sur la littérature et l'édition, car BookTok offre des conseils sur l'écriture en général, sur la façon de publier votre livre, sur la façon de trouver un agent littéraire, et il peut être utile pour promouvoir votre livre si vous êtes un auteur », a-t-elle déclaré.

Kendah Jambi, auteure saoudienne de romans fantastiques, a déclaré que de nombreux participants aux salons du livre saoudiens l'avaient reconnue grâce au site BookTok de TikTok.

Son roman raconte l'histoire d'un groupe de personnes, les Al-Rahala, nomades capables de changer de réalité et de voyager dans le multivers.

Mme Jambi a souligné l'importance d'établir un lien entre les auteurs et les lecteurs. « L'interaction entre l'auteur et le lecteur est souvent sous-estimée. Il est très important que les lecteurs s'intéressent véritablement à l'auteur en tant que personne pour maintenir leur intérêt pour les livres », a-t-elle déclaré.

Elle a ensuite expliqué l'impact de BookTok en ajoutant : « BookTok a définitivement aidé les lecteurs à exprimer leurs opinions, ce qui est précieux pour l'auteur, tant sur le plan émotionnel que constructif. »

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com

 

 

 

 


La saison de Diriyah inaugure les activités du district historique d'At-Turaif

La Saison Diriyah a lancé vendredi un nouveau programme d'activités dans le district d'At-Turaif, un site du patrimoine mondial de l'UNESCO, offrant aux visiteurs une gamme d'expériences culturelles et historiques visant à explorer le patrimoine de l'Arabie saoudite. (Fourni)
La Saison Diriyah a lancé vendredi un nouveau programme d'activités dans le district d'At-Turaif, un site du patrimoine mondial de l'UNESCO, offrant aux visiteurs une gamme d'expériences culturelles et historiques visant à explorer le patrimoine de l'Arabie saoudite. (Fourni)
La Saison Diriyah a lancé vendredi un nouveau programme d'activités dans le district d'At-Turaif, un site du patrimoine mondial de l'UNESCO, offrant aux visiteurs une gamme d'expériences culturelles et historiques visant à explorer le patrimoine de l'Arabie saoudite. (Fourni)
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  • La saison 2024/2025 de Diriyah a débuté le 20 décembre de l'année dernière, sous le thème "Divertissez votre curiosité culturelle"

DIRIYAH, Riyad : La Saison de Diriyah a inauguré vendredi un nouveau programme d'activités dans le district d'At-Turaif, un site du patrimoine mondial de l'UNESCO, offrant aux visiteurs une gamme d'expériences culturelles et historiques visant à explorer le patrimoine de l'Arabie saoudite.

Le programme met en lumière les moments clés de l'histoire du premier État saoudien à travers des ateliers, des représentations théâtrales et des sessions culturelles.

Les visiteurs participeront à des activités telles que des ateliers de création traditionnelle Najdi, des récitations de poèmes et des démonstrations de l'Arda saoudienne, la danse traditionnelle de l'épée du Royaume.

Le programme de cette année comprend également l'expérience interactive 850 mise à jour, nommée d'après la création de Diriyah en l'an 850 de l'hégire (1446 ou 1447 après J.-C. dans le calendrier grégorien).

L'expérience s'appuie sur des récits et des énigmes pour explorer des personnages historiques notables, dont l'imam Turki ben Abdullah, et des événements clés de l'histoire de Diriyah.

Des ateliers sur les techniques de construction traditionnelles, des jeux historiques et des expositions présentant l'architecture du quartier sont conçus pour approfondir la compréhension de l'importance culturelle de la région, tandis que des spectacles en direct et des discussions permettront au public de se familiariser avec les histoires du passé d'At-Turaif, notamment son rôle dans les débuts de l'Arabie saoudite en tant qu'État.

La saison 2024/2025 de Diriyah a débuté le 20 décembre de l'année dernière, sous le thème "Divertissez votre curiosité culturelle". L'événement vise à promouvoir Diriyah en tant que centre culturel, en combinant l'éducation historique avec des divertissements en direct et des vitrines créatives.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com