L’Expo 2020 Dubaï a veillé à ce que chaque pays y soit bien représenté

L'Expo 2020 Dubaï peut à juste titre prétendre être la toute première exposition universelle dans laquelle toutes les nations sont représentées. (Fourni)
L'Expo 2020 Dubaï peut à juste titre prétendre être la toute première exposition universelle dans laquelle toutes les nations sont représentées. (Fourni)
L'Expo 2020 Dubaï peut à juste titre prétendre être la toute première exposition universelle dans laquelle toutes les nations sont représentées. (Fourni)
L'Expo 2020 Dubaï peut à juste titre prétendre être la toute première exposition universelle dans laquelle toutes les nations sont représentées. (Fourni)
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Publié le Mercredi 20 avril 2022

L’Expo 2020 Dubaï a veillé à ce que chaque pays y soit bien représenté

  • Les Émirats arabes unis engagés à « une nation, un pavillon », ont mis à disposition des conseils d'architecture et de conception pour s'assurer que chaque pays est représenté
  • Al-Gargawi, le porte-parole de l'Expo 2020 Dubaï, l'a exprimé ainsi : « Chaque pays a une voix et chaque pays a une position égale ici. C'est la première fois dans l'histoire de l'Exposition universelle que les pays ne sont pas séparés par leur économie

DUBAΪ : Au cours de la première semaine d'octobre, alors que la prise de contrôle du pays par les talibans et le chaos qui s'en est suivi étaient encore frais dans l'esprit des visiteurs de l'Expo 2020 Dubaï, le pavillon de l'Afghanistan était bien visible malgré sa fermeture.

Cependant, le pavillon a été ouvert depuis lors, en partie grâce au soutien du gouvernement hôte. Il en va de même pour les pavillons du Liban, du Yémen, de la Syrie et des Bahamas.

À l'intérieur du pavillon de l'Afghanistan, situé dans le district de la durabilité, se trouve une impressionnante collection de tapis, de pierres précieuses, de poignards, de bijoux anciens et de vêtements traditionnels - les totems d'un pays au patrimoine culturel diversifié, carrefour de nombreuses civilisations et des empires pendant des siècles.

La collection appartient à Omar Rahimy, qui a fui l'Afghanistan en 1978 à la demande de son père pour échapper aux troubles qui ont suivi la prise de pouvoir communiste. Lorsque Rahimy est parti pour l'Autriche, il a emporté des objets de la boutique d'antiquités de son père à Kaboul, qui ont maintenant trouvé leur place au pavillon de l'exposition.

L'ouverture du pavillon de l'Afghanistan est le résultat des efforts du gouvernement des Émirats arabes unis, associés à l'engagement et au dévouement de Rahimy lui-même, déclarent des sources à Arab News.

Alors que le gouvernement hôte a fourni un soutien généreux, Rahimy a fait tout son possible pour éviter que le pavillon ne soit victime des aléas de la politique afghane.

La souscription à la construction et à l'entretien de pavillons d'États en proie à une grave crise économique ou de gouvernance vise à éviter qu'un pays ne soit pas représenté à l'Expo 2020 Dubaï, dernier événement mondial en date qui vise à éduquer le public, partager l'innovation, promouvoir le progrès et favoriser la coopération.

Cela fait partie de la mission de l'exposition de s'assurer que tous les 192 pays du monde (tels que désignés par l'ONU) soient présents à Dubaï à travers leur propre pavillon.

En conséquence, l'Expo 2020 Dubaï peut à juste titre prétendre être la toute première exposition universelle dans laquelle toutes les nations sont représentées et où aucune entité participante n'est désavantagée en termes d'opportunités et de possibilités économiques.

Comme l'Afghanistan, l'inclusion du Liban est un exploit remarquable compte tenu des défis politiques, économiques et sociaux auxquels le pays est confronté, qui vont des pannes de courant, des pénuries de carburant et des troubles civils à l'effondrement du système bancaire central.

 

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L'inclusion du Liban est un exploit remarquable compte tenu des défis politiques, économiques et sociaux auxquels le pays est confronté. (Fourni)

 

À l'intérieur du pavillon du Liban, situé dans le quartier des opportunités, se trouvent des pièces maîtresses de la riche scène créative du pays, notamment des œuvres d'art, des objets de design, de l'artisanat, de la mode et de la gastronomie.

« Notre espace pavillon et sa construction ont eu lieu grâce à une généreuse subvention des Émirats arabes unis au Liban », déclare Mohammed Abu Haider, directeur général du Liban au ministère de l'Économie.

« Ce n'était pas une surprise pour nous parce que les Émirats arabes unis ont toujours soutenu le Liban et son peuple dans les bons comme dans les mauvais moments. Nous sommes vraiment reconnaissants, d'autant plus que sans cette subvention, le Liban n'aurait pas été représenté à la plus grande exposition au monde. »

Le pavillon offre aux fabricants et concessionnaires libanais une plate-forme de connexions et d'exploration de nouvelles voies de commerce et de coopération.

« Le fait d'être situé dans le quartier des opportunités de l'exposition permet au Liban d’aller à la rencontre d'autres cultures, visions et réussites afin de tirer parti de toutes les opportunités disponibles qui peuvent profiter à l'économie libanaise et au peuple libanais », précise Abu Haider.

Le pavillon de la Syrie en est un autre exemple. Située dans le Sustainability District, la structure rend hommage au patrimoine du pays berceau de certains des premiers alphabets et notations musicales connus au monde, aux côtés des arts et des designs contemporains sous le thème « Nous nous élèverons ensemble ».

Les Émirats arabes unis ont payé l'intégralité du pavillon.

 

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Les Émirats arabes unis ont payé l'intégralité du pavillon syrien, également situé dans le district de la durabilité. (Fourni)

Les Émirats arabes unis ont payé l'intégralité du pavillon syrien, également situé dans le district de la durabilité. (Fourni)

« La Syrie traverse une crise depuis le début de la guerre civile en 2011 », déclare Hala Khayat, conseillère du pavillon syrien.

« Participer à l'Expo 2020 Dubaï était un rêve que nous ne pensions pas possible à l'origine car nous avions des problèmes internes à résoudre. Cependant, grâce à la générosité des Émirats arabes unis qui ont financé le pavillon, nous avons eu la chance d'écrire un nouveau chapitre pour montrer au monde le meilleur de la Syrie.

Les Émirats arabes unis engagés à « une nation, un pavillon », ont mis à disposition des conseils d'architecture et de conception pour s'assurer que chaque pays est représenté.

Souvent lors d'événements mondiaux, la participation dépend des moyens économiques et de l'influence culturelle d'une nation. Ceux qui échouent ont tendance à être relégués à l’arrière-plan ou complètement exclus.

« À l'Expo de Milan en 2015, je me souviens de la façon dont la plupart des pays africains étaient placés dans une grande salle sans caractéristiques distinctes », souligne Ahmed Al-Enezi, directeur principal des arts et de la culture à l'Expo 2020.

« C'est un exploit incroyable que les Émirats arabes unis aient permis à chaque pays d'être représenté, quelles que soient les difficultés économiques et les conflits auxquels ils sont confrontés. »

La mission de l'Expo 2020 est d'offrir une plate-forme mondiale de « pollinisation croisée » entre les cultures, déclare Maha Al-Gargawi, porte-parole d'Expo 2020 Dubaï.

« Il y a 192 pays participants, ce qui en fait non seulement l'Exposition universelle la plus internationale, mais la plus inclusive », dit-elle.

Ce ne sont pas seulement les voisins des Émirats arabes unis au Moyen-Orient et en Asie centrale qui ont bénéficié de subventions et de soutien : les Bahamas aussi, un archipel et un pays à la limite nord-ouest des Antilles.

Bien que les Bahamas soient bien connues pour leur tourisme de luxe et leurs industries bancaires offshore, leur économie est aux prises avec une crise sans précédent provoquée par une des catastrophes naturelles couplées à la pandémie de Covid-19.

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Le message du pavillon des Bahamas est lié à la vision collective d'Expo 2020 Dubaï de travailler en harmonie avec l'environnement pour vivre de manière plus durable. (Fourni)

 

« Les Bahamas devaient à la base, pour l'Expo 2020 de Dubaï, construire un pavillon de 15 000 pieds carrés en collaboration avec des étudiants en architecture de l'Université des Bahamas », déclare Tony S. Joudi, l'ambassadeur des Bahamas aux Émirats arabes unis et au Qatar.

« Mais depuis l'époque de cet engagement, un ouragan majeur a frappé les Bahamas et a causé de graves dégâts aux infrastructures de notre économie et a fait des milliers de morts et de sans-abri. »

« Cela a été suivi en 2020 par la pandémie de Covid qui n'a pas épargné les Bahamas et a ainsi causé un autre revers majeur dans le système de santé, ajoutant une brèche supplémentaire à l'économie et dévastant la vie du peuple des Bahamas. »

Situé dans le Sustainability District, le message du pavillon est lié à la vision collective de l'Expo 2020 Dubaï de travailler en harmonie avec l'environnement pour vivre de manière plus durable.

« Les Émirats arabes unis ont été extrêmement solidaires, généreux et passionnés par notre cause et ont aidé les Bahamas de plusieurs manières... en accordant tous les droits et privilèges destinés à tout ami dans le besoin », poursuit Joudi.

Al-Gargawi, le porte-parole de l'Expo 2020 Dubaï, l'a exprimé ainsi : « Chaque pays a une voix et chaque pays a une position égale ici. C'est la première fois dans l'histoire de l'Exposition universelle que les pays ne sont pas séparés par leur économie ou leur géographie. »

« Cela découle de la vision des dirigeants des Émirats arabes unis qui croient que la ville de Dubaï et les Émirats arabes unis sont une plate-forme pour le monde entier et c'est ce que l'Expo 2020 a essayé de faire. »

Twitter : @rebeccaaproctor

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com

 


Anthony Hopkins enchante Riyad avec une symphonie onirique

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
Anthony a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad. (Photo Fournie)
Anthony a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad. (Photo Fournie)
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  • Présentée par Morgan Freeman, l'icône hollywoodienne se penche sur le langage universel de la musique
  • Un concert en Arabie Saoudite : un honneur inimaginable, dit Hopkins

RIYADH : Dans un mélange captivant d'art et d'humanité, l'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé "La vie est un rêve", dans le cadre des festivités de la Saison de Riyad.

Présenté par son collègue acteur Morgan Freeman, Hopkins a commencé son discours par la salutation arabe "As-salamu alaykum", donnant ainsi le ton du respect culturel et de l'unité.

Hopkins a partagé ses réflexions sur la vie et l'art, s'inspirant des mots d'Edgar Allan Poe : "J'ai toujours cru que tout ce que nous voyons ou semblons être n'est qu'un rêve à l'intérieur d'un rêve".

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)

Il a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad.

C'est avec une grande humilité et une immense gratitude que je présente ma pièce, "La vie est un rêve", dans le cadre de la Saison de Riyad", a-t-il déclaré.

Se remémorant sa vie, il a décrit le chemin parcouru depuis le "fils d'un simple boulanger" du sud du pays de Galles jusqu'à un compositeur et un acteur de renommée mondiale.

"Pour moi, ma vie est un profond mystère", a-t-il déclaré. "Il est impossible de comprendre ou de s'attribuer le mérite des bénédictions qui m'ont été accordées. C'est pourquoi je crois que la vie est un rêve, et cette pièce, "Life is a Dream", m'a été inspirée par mon enfance rêveuse dans le sud du pays de Galles, par ma mère qui m'a merveilleusement soutenu et par mon père, qui était plus grand que nature et qui a travaillé sans relâche tout au long de sa vie.

Hopkins a invoqué la philosophie de Ralph Waldo Emerson, soulignant que la musique et l'art sont des connecteurs spirituels.

"La musique et l'art sont des chemins vers Dieu, le principal moyen de relier toutes les âmes humaines. Emerson a compris que toucher une âme, c'est toucher toutes les âmes et je crois moi aussi que la musique a un pouvoir de transformation", a-t-il déclaré.

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)

"J'ai toujours rêvé d'être compositeur, mais je n'ai jamais su comment. Pourtant, donner ce concert en Arabie saoudite, berceau de l'islam, où le prophète Mahomet a reçu ses messages et où se trouvent les villes saintes de La Mecque et de Médine, est un honneur inimaginable".

Abordant les défis mondiaux, M. Hopkins a souligné l'importance de l'unité et de la paix.

"Je ne peux imaginer un meilleur endroit qu'ici pour nous rassembler, surmonter nos différences et envisager un monde de paix, d'équilibre et d'amour", a-t-il déclaré.

"À 87 ans, je comprends parfaitement que la mort est inévitable. Mais le thème de ce concert est que la vie est un long adieu à tout ce que nous aimons, un adieu prolongé, mais rempli de pardon et d'émerveillement".

M. Hopkins a conclu en remerciant l'équipe qui a rendu ce concert possible, en particulier Rakan Al-Harthi, directeur général de Sela, son producteur musical Stephen Barton, le chef d'orchestre Matthew Freeman et le Royal Philharmonic Orchestra. Il a terminé son discours par "Shukran".

Grâce à cet événement, Hopkins a non seulement mis en valeur ses talents musicaux, mais il a également laissé une impression durable sur la Saison de Riyad, en soulignant le pouvoir unificateur de l'art et de la musique dans la promotion de la tolérance, de l'amour et de la compréhension entre les cultures.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com

   

Le mouvement Slow Food s'implante à AlUla

AlUla dévoile le centre d'art culinaire de Dadan, qui célèbre le mouvement slow food, la durabilité et les traditions culinaires. (Photo Fournie)
AlUla dévoile le centre d'art culinaire de Dadan, qui célèbre le mouvement slow food, la durabilité et les traditions culinaires. (Photo Fournie)
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  • Le Centre d'art culinaire Dadan est un centre d'éco-gastronomie qui allie patrimoine et système alimentaire durable.
  • Le marché fermier de Dadan, qui met en valeur les richesses agricoles de la ville tous les week-ends avec un éventail de produits frais et saisonniers, est l'un des sites incontournables d'AlUla.

RIYADH : grâce à l'ouverture du Centre d'art culinaire Dadan, la ville d'AlUla accueille un nouveau foyer du mouvement slow food. Ce centre célèbre l'agriculture durable, les traditions alimentaires locales et les repas réfléchis.

Ce mouvement mondial vise à favoriser un lien plus profond entre les consommateurs et leurs sources de nourriture, en prônant l'utilisation d'ingrédients saisonniers et locaux, et en soutenant tous les membres de la communauté, des valeurs qui ont guidé le développement d'AlUla en tant que destination durable.

Le Centre des arts culinaires Dadan est un centre mondial d'éco-gastronomie qui allie l'héritage de l'oasis verdoyante d'AlUla aux valeurs contemporaines d'un système alimentaire équitable et durable.

Situé près du site historique de Dadan, le centre propose des repas, des ateliers interactifs et la possibilité de rencontrer les agriculteurs d'AlUla, le tout dans un cadre naturel d'exception.

Le marché fermier de Dadan, qui met en valeur les richesses agricoles de la ville tous les week-ends avec un éventail de produits frais et saisonniers, est l'un des sites incontournables d'AlUla.

Les familles locales, dont les moyens de subsistance sont étroitement liés à l'agriculture de l'oasis, présentent leurs produits et invitent les visiteurs à découvrir les saveurs authentiques d'AlUla. Les visiteurs peuvent savourer des plats préparés selon des méthodes traditionnelles ou choisir des produits frais à déguster sur l'aire de pique-nique, adoptant ainsi la philosophie « de l'oasis à la table » qui est au cœur de la mission du centre. Chaque achat soutient directement les agriculteurs locaux.

Le restaurant Diyar du centre, nommé d'après le mot arabe signifiant « maison », offre une expérience gastronomique inoubliable. Chaleureux et accueillant, il surplombe les montagnes majestueuses et sert des plats préparés à partir d'ingrédients provenant de sources durables et cultivés localement. Sous la direction du chef primé Sergio Rama, il redéfinit l'hospitalité en transformant des repas simples en une célébration de la communauté et du patrimoine.

Une autre façon d'en savoir plus sur AlUla et ses habitants est de participer aux ateliers du centre, qui enseignent les pratiques durables et les traditions locales. 

Qu'il s'agisse d'apprendre les principes fondamentaux de la cuisine de la ferme à la table, de maîtriser les arts de la saumure et de la fermentation ou d'explorer les multiples utilisations du moringa dans les huiles et les savons, les participants acquièrent des connaissances pratiques sur de multiples pratiques artisanales et alimentaires.

Grâce au centre d'art culinaire Dadan, AlUla invite le monde à redécouvrir le plaisir d'une cuisine saine et traditionnelle dans son oasis intemporelle.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


« Unstoppable » : Une sortie attendue mais réjouissante

"Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome dans le rôle de Robles, Jennifer Lopez dans celui de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans celui de son beau-père Rick. (Fourni)
"Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome dans le rôle de Robles, Jennifer Lopez dans celui de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans celui de son beau-père Rick. (Fourni)
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  • Le film "Unstoppable" raconte l'histoire réelle d'Anthony Robles, un lutteur américain qui a remporté le championnat national de lutte universitaire de 125 livres (57 kg) en 2011 bien qu'il soit né avec une seule jambe
  • Le problème avec les films de sport (ou du moins les bons), c'est qu'il faut vraiment s'appuyer sur tous les clichés et embrasser toutes les expressions qui font chavirer le cœur

LONDRES : Il est facile d'oublier qu'il arrive parfois que l'on attende simplement une dose de bonnes vibrations d'un film — et peu de genres s'y prêtent mieux que le biopic sportif.

Le film "Unstoppable" raconte l'histoire réelle d'Anthony Robles, un lutteur américain qui a remporté le championnat national de lutte universitaire de 125 livres (57 kg) en 2011 bien qu'il soit né avec une seule jambe.

Réalisé par William Goldenberg (scénariste et monteur de renom, qui fait ici ses débuts en tant que réalisateur), "Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome ("Moonlight", "When They See Us") dans le rôle de Robles, avec Jennifer Lopez dans le rôle de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans le rôle de son beau-père Rick.

Déjà talentueux lutteur au lycée, Robles rate la bourse d'études dont il rêvait, mais choisit de payer pour aller à l'université d'État de l'Arizona et gagner une place dans l'équipe de lutte de l'établissement.

Malgré le comportement abusif de Rick à la maison, Robles continue de gagner la confiance de ses coéquipiers. Soutenu par la foi inébranlable de sa mère et de son entraîneur au lycée (joué par Michael Pena), il se montre non seulement digne de sa place, mais aussi un athlète capable de performer sur la scène nationale.

Le problème avec les films de sport (ou du moins les bons), c'est qu'il faut vraiment s'appuyer sur tous les clichés et embrasser toutes les expressions qui font chavirer le cœur. Parce que, si vous le faites - et si le film a un casting décent qui fait un travail sérieux - le résultat en vaut la peine.

C'est le cas de "Unstoppable", un film aussi déterminé que son protagoniste du monde réel. Bien sûr, il y a quelques éléments de l'histoire qui sont évoqués puis abandonnés. Bien sûr, la montée en puissance de l'épreuve de force est plus que prévisible.

Mais ce film bénéficie de l'excellente performance de Jerome (aidé par des effets et des cascades absolument parfaits, qui voient Robles lui-même exécuter certaines séquences de lutte), et d'une distribution secondaire immensément talentueuse.

Lopez, Cannavale et Peña jouent tous très bien leur rôle, mais Don Cheadle mérite également des éloges pour son interprétation en tant qu'entraîneur et mentor de Robles à l'université.

S'agit-il de l'exploration la plus sophistiquée du monde de la lutte universitaire ? Non. Mais s'agit-il d'un film chaleureux et décent qui vous fera du bien ? Absolument.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com