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Pour le patriarche maronite du Liban, aucun parti ne devrait recourir à la violence
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Publié le Lundi 18 octobre 2021
Reuters
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Pour le patriarche maronite du Liban, aucun parti ne devrait recourir à la violence
Les violences de jeudi ont fait 7 victimes parmi la communauté chiite
«Nous devons libérer le pouvoir judiciaire de l'ingérence politique, de l'activisme politique sectaire et partisan et respecter son indépendance selon le principe de la séparation des pouvoirs», a-t-il dit dans son sermon
Publié le Lundi 18 octobre 2021
Reuters
BEYROUTH: Le patriarche maronite du Liban Béchara Boutros Al-Rai, le plus haut dignitaire chrétien, a déclaré dimanche que le système judiciaire du pays ne devrait subir aucune ingérence politique ou « activisme » vu les tensions qui entourent l’enquête sur l'explosion de l'année dernière dans le port de Beyrouth.
Rai déclare également qu'il est inacceptable qu'un parti ait recours à des menaces ou de la violence après les troubles meurtriers de la semaine dernière autour de l'enquête – la pire effusion de sang dans les rues du Liban depuis plus d'une décennie - et qui ont ravivé les souvenirs sanglants de la guerre civile de 1975-1990.
« Nous devons libérer le pouvoir judiciaire de l'ingérence politique, de l'activisme politique sectaire et partisan et respecter son indépendance selon le principe de la séparation des pouvoirs », a-t-il dit dans son sermon.
Rai, chef de l'église maronite, a un rôle influent en tant que chef religieux de la plus grande communauté chrétienne du Liban, où le pouvoir politique est divisé entre les principales communautés chrétienne, musulmane et druze.
L'enquête sur l'explosion du 4 août 2020, qui a fait plus de 200 victimes et dévasté des quartiers de Beyrouth, a peu avancé face à l’opposition de factions politiques. Le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a qualifié le juge Tarek Bitar – l'enquêteur principal – de partial et de politisé.
« Le doute croissant sur l'intégrité du système judiciaire qui dure depuis un certain temps a non seulement ébranlé le système judiciaire mais aussi la réputation du Liban », souligne Rai.
Sept musulmans chiites ont été tués jeudi alors que la foule s’engageait dans une manifestation contre Bitar convoquée par le groupe chiite Hezbollah soutenu par l'Iran et son allié chiite Amal.
La violence augmente les inquiétudes concernant la stabilité d'un pays qui abonde en armes et qui est aux prises avec un effondrement économique.
« Le système démocratique met à notre disposition des moyens pacifiques pour exprimer le soutien ou l’opposition, il n'est donc pas acceptable qu'un parti ait recours à des menaces ou à la violence et établisse des barrages pour obtenir ce qu'il veut par la force », s’indigne Rai.
Le Hezbollah accuse le parti des Forces chrétiennes libanaises d’avoir provoqué la mort des 7 chiites jeudi, une accusation démentie par le chef de ce parti, Samir Geagea.
Les auteurs doivent être tenus responsables, a déclaré dimanche la chaîne de télévision pro-iranienne Al-Mayadeen citant un représentant du Hezbollah au parlement libanais.
« Ce que les criminels (...) ont fait est un massacre et cela aura des répercussions importantes », déclare le député Hassan Fadallah, selon la chaîne basée à Beyrouth. « Ceux qui ont incité, planifié (...) et ouvert le feu devraient être tenus responsables jusqu'au haut de l’échelle. »
Jeudi, l'armée a d'abord déclaré que des balles avaient été tirées sur des manifestants alors qu'ils traversaient le rond-point de Tayouneh qui sépare les quartiers chrétiens et musulmans chiites. Elle a précisé plus tard qu'il y avait eu une « altercation et un échange de coups de feu » lors de la manifestation.
Le ministre de la Défense Maurice Selim a déclaré samedi qu'une bousculade et un affrontement à Tayouneh avaient entraîné des coups de feu des deux côtés, ajoutant que l'échange de coups de feu avait précédé le tir des francs-tireurs.
Les familles des victimes de l'explosion du port ont exprimé leur soutien au juge Bitar samedi après qu'un porte-parole de l'un de leurs groupes a étonnamment retourné sa veste vendredi soir demandant son dessaisissement
Son changement soudain de position a provoqué une vague de spéculations sur les réseaux sociaux sur la possibilité qu’il soit menacé.
Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com
Cette année, le FII se tient sous le thème "Horizons infinis: investir aujourd'hui, façonner demain", du 29 au 31 octobre à Riyad. (Fourni)
Cette année, le FII se tient sous le thème "Horizons infinis: investir aujourd'hui, façonner demain", du 29 au 31 octobre à Riyad. (Fourni)
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Nirmal Narayanan
Publié le 29 octobre 2024
L'événement devrait donner lieu à la signature d'accords stratégiques dans de multiples secteurs
Outre les experts du secteur, l'événement de cette année réunira également des leaders et des décideurs dans les domaines de l'intelligence artificielle, de la durabilité, de l'énergie, de la géoéconomie et de l'espace
Publié le Mardi 29 octobre 2024
Nirmal Narayanan
29 octobre 2024
RIYAD: Des dirigeants mondiaux et des experts du secteur devraient se réunir dans la capitale saoudienne à l'occasion de la huitième édition de la Future Investment Initiative afin de discuter des opportunités et des défis qui se présentent dans le paysage financier mondial.
Organisée sur le thème "Horizons infinis: investir aujourd'hui, façonner demain", du 29 au 31 octobre, le FII de cette année devrait susciter des discussions sur la manière dont l'investissement peut servir de catalyseur pour un avenir prospère et durable.
Richard Attias, directeur général du FII, a déclaré que des transactions d'une valeur de 28 milliards de dollars devraient être annoncées au cours de l'événement.
Il a également indiqué que 7 100 participants du monde entier s'étaient inscrits pour l'événement à venir. "C'est 1 000 de plus que l'année dernière", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse le 15 octobre.
Depuis son lancement en 2017, l’institut FII organise des événements annuels à Riyad, et au fil des ans, le programme s'est imposé comme l'une des conférences phares du secteur financier.
Outre les experts du secteur, l'événement de cette année réunira également des leaders et des décideurs dans les domaines de l'intelligence artificielle, de la durabilité, de l'énergie, de la géoéconomie et de l'espace.
"Naïm Qassem occupera la fonction de secrétaire général jusqu'à la fin de la guerre. A ce moment, un nouveau conseil de la Choura sera élu", a ajouté cette source. Dans son communiqué, le Hezbollah "s'engage à maintenir la flamme de la résistance (..) jusqu'à la victoire". Hassan Nasrallah avait été tué le 27 septembre dans une puissante frappe israélienne sur la banlieue sud de Beyrouth, bastion du Hezbollah. (AFP)
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AFP
Publié le 29 octobre 2024
Selon une source proche du Hezbollah, il a été élu il y a deux jours mais l'annonce n'a été faite que mardi
"Naïm Qassem occupera la fonction de secrétaire général jusqu'à la fin de la guerre. A ce moment, un nouveau conseil de la Choura sera élu", a ajouté cette source
Publié le Mardi 29 octobre 2024
AFP
29 octobre 2024
BEYROUTH: Le Hezbollah libanais a annoncé mardi avoir élu son numéro deux, Naïm Qassem, à la tête de la formation pro-iranienne en guerre contre Israël, plus d'un mois après la mort de son secrétaire général Hassan Nasrallah dans une frappe israélienne.
"Le conseil de la Choura", organe dirigeant du Hezbollah, "s'est accordé pour élire cheikh Naïm Qassem, 71 ans, secrétaire général du Hezbollah", a annoncé la formation islamiste chiite dans un communiqué.
Selon une source proche du Hezbollah, il a été élu il y a deux jours mais l'annonce n'a été faite que mardi.
Le Conseil de la Choura regroupe désormais cinq membres, dont Naïm Qassem, après la mort de deux d'entre eux dans des frappes israéliennes: Hassan Nasrallah et son successeur pressenti, Hachem Safieddine, a indiqué à l'AFP cette source qui a requis l'anonymat.
"Naïm Qassem occupera la fonction de secrétaire général jusqu'à la fin de la guerre. A ce moment, un nouveau conseil de la Choura sera élu", a ajouté cette source.
Dans son communiqué, le Hezbollah "s'engage à maintenir la flamme de la résistance (..) jusqu'à la victoire".
Hassan Nasrallah avait été tué le 27 septembre dans une puissante frappe israélienne sur la banlieue sud de Beyrouth, bastion du Hezbollah.
Hachem Safieddine, un cousin de Nasrallah, a été tué dans une autre frappe israélienne début octobre. Sa mort a été confirmée le 23 octobre. Plusieurs autres chefs, notamment militaires, ont été tués par Israël au cours des dernières semaines.
Naïm Qassem faisait partie des fondateurs du Hezbollah en 1982, créé sous l'impulsion de l'Iran dans la foulée de l'invasion israélienne du Liban.
Et c'est en 1991 qu'il était devenu secrétaire général adjoint du mouvement, dont Hassan Nasrallah a pris les rênes un an plus tard.
Depuis la mort de Nasrallah, il était apparu lors de trois allocutions pré-enregistrées diffusées par la chaîne du Hezbollah, al-Manar.
Il avait alors assuré qu'il n'y avait pas de vide à la tête de la puissante formation et qu'elle continuait à fonctionner malgré les tentatives d'Israël de la décapiter.
Loin des dossiers militaires
Loin des questions militaires, il gérait les dossiers politiques et les dossiers parlementaires et gouvernementaux, confie à l'AFP une source de son entourage.
Après un an d'échanges de tirs entre le Hezbollah et Israël, l'armée israélienne a lancé le 23 septembre une campagne de frappes aériennes massives au Liban, visant notamment les bastions du Hezbollah.
Depuis, plus de 1.700 personnes ont été tuées, selon un décompte de l'AFP basé sur les données du ministère libanais de la Santé.
Israël affirme vouloir mettre fin aux tirs visant son territoire et permettre le retour des habitants chez eux, alors que le Hezbollah continue de revendiquer des attaques quotidiennes contre le nord d'Israël, frontalier du sud du Liban.
Lors de sa dernière allocution, le 15 octobre, Naïm Qassem avait affirmé à l'adresse des Israéliens que "la solution" qui permettrait le retour chez eux des habitants du nord d'Israël était "un cessez-le-feu", menaçant, sinon, de frapper "partout" en Israël.
Dans un communiqué, le Hamas palestinien a salué l'élection de Naïm Qassem, affirmant y voir "un signe de la résilience" du Hezbollah.
"Nous réitérons notre soutien à la nouvelle direction du Hezbollah", a ajouté le Hamas.
C'est pour soutenir le mouvement islamiste palestinien que le Hezbollah avait ouvert le front du Liban contre Israël, au lendemain de l'attaque sur le sol israélien menée le 7 octobre 2023 par le Hamas, qui a déclenché la guerre à Gaza.
Richard Attias, PDG du FII Institute, s'exprimant lors du forum à Riyad. (Capture d'écran)
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Miguel Hadchity
Publié le 29 octobre 2024
Dans son discours, le dirigeant, qui a rejoint le FII Institute en tant que PDG en janvier 2020, a souligné l'importance de passer le relais à la prochaine génération
«Merci de m'avoir permis de participer à cette aventure remarquable. C'est un honneur incommensurable», a-t-il déclaré
Publié le Mardi 29 octobre 2024
Miguel Hadchity
29 octobre 2024
RIYAD: Le PDG du Future Investment Initiative Institute, Richard Attias, quitte son poste, a-t-il annoncé lors de l'ouverture du huitième forum FII.
S'adressant à un public de dirigeants et d'investisseurs internationaux, M. Attias a exprimé sa gratitude pour son parcours au sein du FII Institute, déclarant qu'il quitterait son poste d'ici à la fin de l'année 2024.
Dans son discours, le dirigeant, qui a rejoint le FII Institute en tant que PDG en janvier 2020, a souligné l'importance de passer le relais à la prochaine génération.
«Merci de m'avoir permis de participer à cette aventure remarquable. C'est un honneur incommensurable», a-t-il déclaré.
M. Attias a ouvert l'événement par un message mettant en avant le potentiel et l'ambition par lesquels se distingue l'ordre du jour du sommet: «Lorsque nous parlons d'horizons infinis, nous n'imaginons pas seulement de vastes paysages.»
Il a ajouté: «Nous invoquons les possibilités illimitées qui définissent notre esprit humain.»
Décrivant le thème des «Horizons infinis» comme une invitation à imaginer de nouveaux avenirs, M. Attias a déclaré: «L'horizon n'est pas une fin, c'est une invitation à repousser les limites de ce que nous croyons possible et à façonner l'avenir qui reflète nos plus grandes ambitions.»
Il a exhorté les participants à faire preuve de vision et de dynamisme: «Aujourd'hui, nous appelons chacun d'entre vous à être les leaders qui ne voient pas le monde tel qu'il est, mais tel qu'il pourrait être.»
S'attardant sur l'impact transformateur du FII Institute depuis ses débuts en 2017, M. Attias a célébré le rôle de l'événement comme étant plus qu'un forum de dialogue. «Depuis sa création, le FII Institute a transcendé les simples discussions, devenant une force transformatrice pour l'action, le progrès et les solutions», précise-t-il.
Le gouverneur du Fonds public d'investissement, président de Saudi Aramco et président du FII Institute, Yasir al-Rumayyan, a appuyé les propos de M. Attias, soulignant la nécessité de solutions interconnectées dans un monde de plus en plus complexe.
«Aujourd'hui, nous faisons face à des défis qui ne sont plus isolés, mais interconnectés», a déclaré M. Al-Rumayyan.
Il a expliqué que ces défis ouvrent de nouvelles voies en faveur du progrès et résument l'ambition du thème de cette année. Il a, par ailleurs, insisté sur la responsabilité d'investir dans un but précis, en disant: «Nous avons la responsabilité et la possibilité de façonner un avenir qui investit non seulement dans nos économies, mais aussi dans l'humanité elle-même.»
Soulignant le rôle des marchés émergents, le président du FII Institute a déclaré: «D'ici à 2030, on prévoit que la croissance des économies des marchés émergents dépassera celle des marchés développés.» Cette évolution, a-t-il expliqué, «souligne la nécessité d'investissements stratégiques dans les lieux qui seront les moteurs de l'économie mondiale de demain».
L'intelligence artificielle a été au cœur du discours, M. Al-Rumayyan soulignant son potentiel de transformation économique. «À elle seule, l'IA pourrait ajouter près de 20 000 milliards de dollars (1 dollar = 0,93 euro) à l'économie mondiale d'ici à 2030», a-t-il prévu, ajoutant que d'ici à 2027, «le rôle de l'IA en tant que moteur économique deviendra un critère de puissance nationale».
Il a également souligné que le secteur de l'énergie était un excellent exemple d'investissement ciblé, en déclarant: «Notre objectif n'est pas seulement d'alimenter les économies, mais de favoriser un avenir où l'énergie soutient le progrès et le bien-être pour les générations à venir.»
M. Al-Rumayyan a souligné l'importance d'aligner les politiques gouvernementales sur les stratégies fiscales afin d'obtenir un impact durable, qualifiant cet alignement de «nouvelle frontière où les investissements ciblés ont un impact durable».
Soulignant les tendances mondiales en matière d'investissement, M. Al-Rumayyan s'est référé aux données du FII Priority Compass, soulignant que si l'augmentation du coût de la vie reste une préoccupation mondiale majeure, «le changement climatique est désormais la quatrième priorité au niveau mondial».
Au FII Institute, il a promis un engagement continu en faveur de l'inclusion, déclarant: «Investir dans un but précis signifie créer une nouvelle norme où les rendements financiers et le progrès humain vont de pair.»
Il a exhorté les investisseurs et les administrateurs à considérer les défis comme des opportunités d'impact transformateur: «En tant que leaders et investisseurs mondiaux, nous pouvons transformer les défis d'aujourd'hui en opportunités de demain.»
Plus tard, lors d'une table ronde, M. Al-Rumayyan a évoqué l'évolution de la stratégie d'investissement de l'Arabie saoudite. «Beaucoup de gens venaient chercher notre argent pour l'investir à l'étranger. Mais cela a changé au fil des ans; aujourd'hui, nous nous concentrons davantage sur l'économie nationale.»
Au cours des huit ou neuf dernières années, le PIF s'est de plus en plus concentré sur les initiatives locales, transformant le paysage économique de l'Arabie saoudite et modifiant les perceptions mondiales. «La plupart de nos projets deviennent opérationnels et commerciaux, et les gens voient la différence entre leur perception de l'Arabie saoudite en 2015 et aujourd'hui», a-t-il déclaré.
L'économie du Royaume, a souligné M. Al-Rumayyan, est l'une de celles qui connaissent la croissance la plus rapide au monde. «En 2022, nous étions l'économie à la croissance la plus rapide du G20, avec une croissance de plus de 7%», a-t-il déclaré, ajoutant que les prévisions placent le pays parmi les plus performants du G20 dans les années à venir.
Afin d'équilibrer les investissements mondiaux et nationaux, il a expliqué que le PIF vise à ajuster sa part d'investissement international de 30% à une fourchette cible de 18 à 20%.
M. Al-Rumayyan a souligné le positionnement stratégique du Royaume en tant que lien économique international, décrivant les avantages uniques du pays.
«L'Arabie saoudite est très bien placée pour devenir un centre mondial et pas seulement régional», affirme-t-il, citant des facteurs tels que l'utilisation efficace de l'énergie, les faibles coûts énergétiques et les ressources étendues, y compris les technologies de pointe et le potentiel d'énergie renouvelable.
Il a souligné l'ampleur du soutien nécessaire à la croissance des infrastructures à l'échelle mondiale, en évoquant les 9 000 milliards de dollars d'investissements en attente sur les marchés monétaires.
Laurence Fink, PDG de BlackRock, a repris ces propos, qualifiant la période actuelle d'«épanouissement de l'investissement». M. Fink a souligné la forte croissance des bénéfices et l'alignement des bénéfices sur l'élasticité des prix, ce qui indique que les marchés mondiaux connaissent une croissance soutenue.
Le potentiel de transformation de l'IA a été un thème récurrent, approfondi par d'autres dirigeants du secteur technologique. Ruth Porat, présidente et directrice des investissements d'Alphabet et de Google, a décrit l'IA comme une «technologie transformationnelle et générationnelle», invitant les dirigeants à repenser ce qui est possible à l'ère des systèmes de pointe.
L'ancien PDG de Google, Eric Schmidt, a commenté l'avenir de l'IA dans le domaine de la défense, suggérant une redéfinition de la guerre, où l'automatisation pourrait transformer les rôles de combat traditionnels.
«La guerre est aujourd'hui définie de manière stéréotypée comme un homme qui tire sur un autre homme. Pour un informaticien, cela n'a aucun sens. Les armes devraient être automatisées et les gens devraient boire du café ailleurs», a déclaré M. Schmidt.
L'événement du FII Institute se poursuivra jusqu'au 31 octobre, avec des dirigeants et des investisseurs qui participeront à des discussions soulignant l'engagement en faveur de l'investissement ciblé en tant que moteur de l'impact durable, du progrès humain et de la croissance économique axée sur l'avenir.
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com