L’Expo 2020 Dubaï incite à aborder les enjeux mondiaux les plus importants

Des travailleurs se tiennent à côté du logo de l’Expo 2020 avant la cérémonie d’ouverture, à Dubaï, le 30 septembre 2021. (Reuters/Rula Rouhana).
Des travailleurs se tiennent à côté du logo de l’Expo 2020 avant la cérémonie d’ouverture, à Dubaï, le 30 septembre 2021. (Reuters/Rula Rouhana).
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Publié le Lundi 04 octobre 2021

L’Expo 2020 Dubaï incite à aborder les enjeux mondiaux les plus importants

  • L’Expo 2020 Dubaï se fixe un objectif ambitieux: susciter un changement durable dans le monde
  • L’objectif est d’explorer les possibilités dans les domaines des opportunités, de la mobilité et de la durabilité

DUBAÏ: Une fusée réutilisable, une exploitation agricole en plein désert où les cultures poussent grâce à l’eau salée, des théâtres éphémères, un véhicule Hyperloop qui permettra à ses passagers de voyager au moyen d’un système d’aspiration ultrarapide: ce ne sont là que quelques-unes des expériences que les visiteurs auront la joie de découvrir au cours des six prochains mois dans le cadre de l’Expo 2020 de Dubaï.

En 2013, à Paris, Dubaï a conquis le jury en présentant son projet. Depuis, cette exposition est sans conteste l’événement dont on parle le plus aux Émirats arabes unis.

En effet, l’Expo 2020 est devenue un synonyme de célébration non seulement en raison de la portée et de l’ambition des projets et des pavillons exposés, mais aussi parce que les organisateurs misent sur le fait qu’elle changera la donne pour Dubaï.

L’événement, qui a démarré jeudi dernier avec une remarquable cérémonie d’ouverture, compte 200 participants en provenance de 192 pays et comprend 60 événements. Les attentes n’ont fait que croître dans la mesure où le lancement a été retardé d’un an en raison de la pandémie de Covid-19.

Que l’exposition puisse se tenir à une telle échelle, avec «25 millions de visites» prévues, au moment où les déplacements restent difficiles, après dix-huit mois de fermetures et de reports, constitue sans aucun doute un exploit à part entière.

Le site s’étend sur 4,38 kilomètres carrés dans le quartier de Dubai South, près du nouvel aéroport international Al-Maktoum, le deuxième de la ville. Il a subi de nombreuses transformations au cours de ces huit dernières années. Le point central est Al-Wasl Plaza, surplombé par un énorme dôme d’acier conçu par la firme américaine Adrian Smith + Gordon Gill Architecture.

La structure permanente compte 130 mètres de large et 67 mètres de haut. On peut y projeter des images aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur. Elle accueillera les principales cérémonies d’ouverture de l’exposition.

L’Expo 2020 de Dubaï se fixe un objectif ambitieux: susciter un changement durable dans le monde.

«Ce qui est extraordinaire, c’est la diversité des programmes que l’Expo 2020 a mis en place. Il s’agit, bien sûr, d’une célébration mondiale très visible grâce aux événements et aux festivités des 192 pays participants, dont chacun présente sa propre culture, son patrimoine et ses innovations», déclare à Arab News Sumathi Ramanathan, vice-présidente de la stratégie commerciale et des ventes.

«En outre, l’Expo 2020 met en évidence la mentalité inclusive des Émirats arabes unis, où plus de 200 nationalités cohabitent.»

La première exposition universelle remonte à 1851, lorsqu’un événement intitulé «La grande exposition des œuvres de l’industrie de toutes les nations» s’est tenu à Londres.

Cette manifestation a lieu tous les cinq ans dans une ville internationale sur une durée qui va de trois à six mois. À Dubaï, on assiste actuellement à la 34e exposition universelle après celle de Milan, organisée en 2015. La prochaine édition devrait avoir lieu en 2025 dans la ville japonaise d’Osaka, qui a déjà accueilli l’exposition de 1970.

Aujourd’hui, l’objectif est de trouver des solutions aux problèmes et aux défis mondiaux. Les pays du monde entier ont construit des pavillons qui présentent leurs dernières innovations architecturales et technologiques, conformément à un thème spécifique.

Pour l’Expo 2020, le thème est «Connecter les esprits, construire l’avenir». L’objectif est d’explorer les possibilités dans les domaines des opportunités, de la mobilité et de la durabilité. La technologie exposée doit être unique, pionnière et durable.

Selon Ramanathan, cet événement prend place «à un moment crucial au sein de notre société». En effet, il est devenu rare de pouvoir se rassembler pour célébrer quoi que ce soit.

«Cela fait presque deux ans environ que les gens n’ont pas eu l’occasion de se réunir. Nous organisons un événement au moment où le monde essaie de surmonter les défis d’une pandémie», fait observer Ramanathan.

expo 2020
Vue d’ensemble de la cérémonie d’ouverture de l’Expo 2020 de Dubaï, le 30 septembre 2021. (Photo de Giuseppe Cacace/AFP).

«Les gens n’ont pas pu se rencontrer, interagir, vivre des expériences ou même échanger dans un environnement physique, et c’est d’ailleurs ce qui rend cette exposition incroyablement spéciale. Elle est en mesure de servir de plate-forme de collaboration et de coopération dans un moment où le monde en a peut-être le plus besoin.»

En dépit des difficultés, l’Expo 2020 possède toujours l’objectif ambitieux d’enregistrer 25 millions de visites en six mois. Elle se poursuit jusqu’au 31 mars 2022.

Chacun des 192 participants initiaux, ajoute Ramanathan, sera représenté à l’Expo 2020. Les pavillons des différents pays ne sont d’ailleurs pas les seuls à espérer attirer l’attention.

En effet, les visiteurs pourront découvrir de nombreuses autres attractions. Ainsi, une collaboration avec Cartier a pour but de mettre en lumière la contribution des femmes au Moyen-Orient.

Lancée quelques semaines seulement avant le coup d’envoi de la Conférence des nations unies sur les changements climatiques (COP26) qui s’est tenue à Glasgow, au Royaume-Uni, l’Expo 2020 accorde naturellement une grande importance à la protection de l’environnement et à la durabilité.

«Terra – The Sustainability Pavilion» («Terra – Le pavillon Durabilité»), conçu par Grimshaw Architects, une entreprise située au Royaume-Uni, a pour objectif d’obtenir la plus haute accréditation disponible pour l’architecture durable, la certification Leed Platine.

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Aperçu de «Terra – The Sustainability Pavilion» sur le site de l’exposition universelle de Dubaï. (Photo AP/Kamran Jebreili).

Il y a également «Alif – The Mobility Pavilion» («Alif – le pavillon Mobilité»), conçu par le cabinet d’architectes plusieurs fois primé Foster + Partners, qui le définit comme le plus grand ascenseur de personnes au monde. Il serait capable de transporter plus de 160 individus à la fois.

Ce pavillon se consacre aux découvertes dans le domaine des appareils de mobilité de pointe et il dispose d’une voie de 330 mètres dont une partie est en plein air, ce qui permet aux visiteurs d’observer les nouveaux gadgets et technologies en mouvement.

Dans le style typique de Dubaï, la cérémonie d’ouverture a présenté des performances de haute technologie et a réuni un impressionnant plateau de vedettes internationales: le chanteur d’opéra Andrea Bocelli, le pianiste classique Lang Lang, les artistes pop Ellie Goulding, Andra Day et Angélique Kidjo, ainsi que des artistes régionaux comme Mohammed Abdu, Ahlam et Hussain al-Jassmi.

Ramanathan précise que plus de 1 000 artistes et techniciens ont travaillé sur ce spectacle grandiose de quatre-vingt-dix minutes qui, selon les organisateurs, changera la façon dont les gens du monde entier perçoivent Dubaï et les Émirats arabes unis.

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Les artistes se produisent sur scène lors de la cérémonie d’ouverture de l’Expo 2020 de Dubaï, le 30 septembre 2021. (Photo de Karim Sahib/AFP).

 

Elle indique par ailleurs que la vente de billets va bon train, avec une augmentation de la demande des pays du monde entier, notamment le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne, les États-Unis et la région Mena.

Si un visiteur étranger souhaite participer à l’événement, il lui suffit d’un test PCR négatif et d’un billet d’avion.

«L’accent est vraiment mis sur ce que cette exposition signifiera pour vous en fonction de ce qui vous intéresse», explique Ramanathan, ajoutant que la programmation est adaptée à la fois à l’individu et à un collectif plus large, qu'il s’agisse de réseaux d’affaires, de changement social et environnemental, de connaissances et d’apprentissage, de voyages et d’exploration spatiale, ou d’arts et de culture.

Un exercice d’enrichissement des connaissances sur d’autres peuples et d’autres lieux est proposé, ainsi que la présentation de philosophies et d’idéologies nouvelles, poursuit-elle.

«Le plus intéressant réside sans doute dans la fusion de la programmation que nous proposons. Vous pouvez à la fois découvrir des aspects traditionnels, comme le patrimoine de chaque pays, et la technologie et l’innovation les plus avant-gardistes», conclut Ramanathan.


Autrefois prospère, Hong Kong peine aujourd'hui à combler ses déficits publics

Cette photo prise le 21 février 2025 montre une vue aérienne d'immeubles d'habitation dans le quartier de Kai Tak à Hong Kong. Hong Kong est confronté à son test fiscal le plus difficile depuis trois décennies, après trois années de déficits colossaux, et les experts exhortent le gouvernement à procéder à des coupes prudentes alors que l'économie vacille. (Photo par Peter PARKS / AFP)
Cette photo prise le 21 février 2025 montre une vue aérienne d'immeubles d'habitation dans le quartier de Kai Tak à Hong Kong. Hong Kong est confronté à son test fiscal le plus difficile depuis trois décennies, après trois années de déficits colossaux, et les experts exhortent le gouvernement à procéder à des coupes prudentes alors que l'économie vacille. (Photo par Peter PARKS / AFP)
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  • Le territoire chinois, connu pour sa fiscalité avantageuse, a enregistré une série de déficits annuels de plus de 15 milliards d'euros sur trois des quatre dernières années.
  • Singapour et Hong Kong ont toutes deux connu d'importants déficits en 2020. Mais contrairement au territoire chinois, la cité-État a depuis lors maîtrisé ses dépenses et dépassé ses objectifs budgétaires.

HONG-KONG : Malgré sa traditionnelle réputation d'opulent centre financier, Hong Kong se retrouve confrontée à une situation budgétaire la plus difficile en trois décennies, avec des déficits difficiles à juguler alors que l'économie vacille.

Le territoire chinois, connu pour sa fiscalité avantageuse, a enregistré une série de déficits annuels de plus de 15 milliards d'euros sur trois des quatre dernières années, sans toutefois atteindre les 252 milliards de dollars hongkongais (30,9 milliards d'euros) de l'exercice fiscal 2020-2021, en pleine pandémie de Covid-19.

La dernière série de déficits à Hong Kong remontait à la période post-crise financière asiatique de la fin des années 1990.

Avant de dévoiler son prochain budget mercredi, Paul Chan, le secrétaire aux Finances de la région administrative spéciale (RAS) de Chine, a déclaré être convaincu que Hong Kong renouera avec les excédents d'ici environ trois ans, à mesure que les dépenses publiques se stabiliseront.

Mais pour Anthony Cheung, ancien secrétaire aux Transports et au Logement, la situation n'est « pas seulement due aux cycles économiques » provoqués par la pandémie de Covid-19 : « Si l'on compare Hong Kong à d'autres économies de la région, comme Singapour, ces dernières s'en sortent beaucoup mieux. »

Singapour et Hong Kong ont toutes deux connu d'importants déficits en 2020. Mais contrairement au territoire chinois, la cité-État a depuis lors maîtrisé ses dépenses et dépassé ses objectifs budgétaires.

- Crise foncière -

Victime de la crise qui touche ses promoteurs immobiliers, Hong Kong se retrouve face à une équation délicate pour réduire ses dépenses, alors que la Chine, dont la croissance ralentit, est confrontée à des tensions commerciales croissantes avec les États-Unis de Donald Trump.

La Loi fondamentale de Hong Kong, qui fait office de Constitution, impose au gouvernement local de « s'efforcer d'atteindre l'équilibre budgétaire », vestige de la période coloniale britannique durant laquelle le marché a pu rester pratiquement à l'abri de l'intervention de l'État.

Après sa rétrocession à la Chine en 1997, Hong Kong a continué à maintenir les impôts à un faible niveau et a rempli ses caisses grâce aux recettes foncières.

Cependant, les promoteurs immobiliers rencontrent des difficultés depuis plusieurs années et Hong Kong n'a perçu que 2,4 milliards d'euros de recettes foncières en 2021, contre un pic de plus de 20 milliards en 2018.

Selon Yang Liu, professeur associé de finance à l'université de Hong Kong, ce déclin représente « la majorité de la baisse des revenus » de la ville. « Nous avons un marché foncier très inactif et des prix de l'immobilier en baisse », souligne-t-il auprès de l'AFP.

Hong Kong dispose encore d'une bonne quantité de réserves et sa dette publique reste faible par rapport à la plupart des économies du monde, ce qui lui permet d'emprunter facilement sur les marchés.

- Moins de fonctionnaires ? -

Mais les déficits accumulés ces dernières années ont alimenté le débat sur la manière de dépenser moins.

Le budget que doit dévoiler le secrétaire aux Finances devrait afficher un déficit inférieur à 100 milliards de dollars de Hong Kong (12,25 milliards d'euros).

Edmund Wong, membre du Conseil législatif de Hong Kong, a mis en garde contre une baisse des salaires des fonctionnaires, qui, selon lui, pourrait inciter les employeurs du secteur privé à faire de même.

Il a néanmoins exhorté le gouvernement à réduire ses dépenses, estimant auprès de l'AFP que des coupes « considérables » dans les effectifs de fonctionnaires sont possibles « à long terme ».

Les autorités ont indiqué qu'elles poursuivraient un plan massif d'infrastructures dans le nord de Hong Kong, mais ont renoncé à un autre projet de création d'îles artificielles.

Les déficits pourraient également amener Hong Kong à reconsidérer ses sources de revenus, bien que les discussions passées concernant l'élargissement de la taxation des biens et services n'aient pas abouti.

Pour dynamiser son économie, Hong Kong cherche des opportunités dans la région du Moyen-Orient et d'Asie du Sud-Est.

Mais selon l'ex-ministre Cheung, la richesse du territoire dépend du regard que les investisseurs portent sur son statut de plaque tournante de l'économie régionale et mondiale.

La réputation internationale de Hong Kong a souffert de la répression des manifestations pro-démocratie en 2019 par Pékin, qui a imposé une loi sur la sécurité nationale l'année suivante.

« Nous devons continuer à présenter Hong Kong comme une ville qui accueille toutes sortes de points de vue et de personnes, tant qu'elles restent dans les limites de la législation sur la sécurité nationale », plaide M. Cheung. 


Trump renforce les restrictions sur les investissements chinois dans des secteurs jugés stratégiques

L'administration américaine accuse Pékin d'« exploiter de plus en plus les ressources américaines pour développer et moderniser ses dispositifs militaires, de renseignement et autres appareils de sécurité ». (Photo AFP)
L'administration américaine accuse Pékin d'« exploiter de plus en plus les ressources américaines pour développer et moderniser ses dispositifs militaires, de renseignement et autres appareils de sécurité ». (Photo AFP)
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  • Ce mémo a pour objectif « de promouvoir les investissements étrangers tout en protégeant les intérêts de la sécurité nationale des États-Unis, en particulier contre les menaces posées par des adversaires étrangers tels que la Chine »
  • Le CFIUS est un panel chargé d'évaluer les conséquences pour la sécurité nationale des États-Unis des rachats d'entreprises américaines par des groupes étrangers.

WASHINGTON : Donald Trump a signé un mémo visant à freiner les investissements chinois dans des secteurs stratégiques américains, dont la technologie et les infrastructures critiques, une initiative fermement dénoncée samedi par Pékin qui la juge « discriminatoire ».

Ce mémo a pour objectif « de promouvoir les investissements étrangers tout en protégeant les intérêts de la sécurité nationale des États-Unis, en particulier contre les menaces posées par des adversaires étrangers tels que la Chine », a précisé vendredi soir la Maison-Blanche sur son site.

L'administration américaine accuse Pékin d'« exploiter de plus en plus les ressources américaines pour développer et moderniser ses dispositifs militaires, de renseignement et autres appareils de sécurité ».

La Maison-Blanche accuse également « certains adversaires étrangers », dont la Chine, d'investir dans des entreprises américaines afin « d'obtenir des technologies de pointe et de la propriété intellectuelle ».

Le nouvel exécutif américain compte solliciter la Commission aux investissements étrangers aux États-Unis (CFIUS) afin « de restreindre les investissements chinois dans les secteurs stratégiques américains tels que la technologie, les infrastructures critiques, la santé, l'agriculture, l'énergie, les matières premières et autres », ajoute la Maison-Blanche.

Le CFIUS est un panel chargé d'évaluer les conséquences pour la sécurité nationale des États-Unis des rachats d'entreprises américaines par des groupes étrangers.

« Cette façon de faire des États-Unis élargit abusivement le concept de sécurité nationale, est discriminatoire et portera gravement atteinte à la confiance des entreprises chinoises désirant investir aux États-Unis », a dénoncé samedi un porte-parole du ministère chinois du Commerce.

Dans un communiqué, il a exhorté Washington à « respecter les lois de l'économie de marché et à cesser de politiser et d'instrumentaliser les questions économiques et commerciales ».

« La Chine suivra de près l'évolution de la situation aux États-Unis et prendra les mesures nécessaires pour défendre ses droits et intérêts légitimes », a-t-il conclu.

Cette décision du président américain intervient alors que les deux plus grandes économies du monde sont déjà en proie à des tensions commerciales.

Début février, Donald Trump a imposé 10 % de droits de douane supplémentaires, en plus de ceux déjà existants, sur les produits en provenance de Chine. Toutefois, il a estimé mercredi qu'un accord commercial avec Pékin était « possible ».


Lucid dévoile le Lucid Air Sapphire unique en son genre lors de la réunion de la Saudi Cup

Lucid a dévoilé son Lucid Air Sapphire lavande unique en son genre, conçu et fabriqué exclusivement pour le vainqueur de la course la plus riche du monde, la Saudi Cup 2025. (AN Photo/Huda Bashatah)
Lucid a dévoilé son Lucid Air Sapphire lavande unique en son genre, conçu et fabriqué exclusivement pour le vainqueur de la course la plus riche du monde, la Saudi Cup 2025. (AN Photo/Huda Bashatah)
Lucid a dévoilé son Lucid Air Sapphire lavande unique en son genre, conçu et fabriqué exclusivement pour le vainqueur de la course la plus riche du monde, la Saudi Cup 2025. (AN Photo/Huda Bashatah)
Lucid a dévoilé son Lucid Air Sapphire lavande unique en son genre, conçu et fabriqué exclusivement pour le vainqueur de la course la plus riche du monde, la Saudi Cup 2025. (AN Photo/Huda Bashatah)
Lucid a dévoilé son Lucid Air Sapphire lavande unique en son genre, conçu et fabriqué exclusivement pour le vainqueur de la course la plus riche du monde, la Saudi Cup 2025. (AN Photo/Huda Bashatah)
Lucid a dévoilé son Lucid Air Sapphire lavande unique en son genre, conçu et fabriqué exclusivement pour le vainqueur de la course la plus riche du monde, la Saudi Cup 2025. (AN Photo/Huda Bashatah)
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  • ce véhicule exclusif est plus qu'un simple symbole de triomphe ; il représente une célébration du leadership du Royaume en matière de durabilité, d'innovation et d'excellence mondiale. » a déclaré Faisal Sultan, vice-président de Lucid Middle East.
  • Le véhicule sera offert au vainqueur de la Coupe d'Arabie saoudite.

RIYADH : Lucid a dévoilé sa Lucid Air Sapphire lavande unique en son genre, exclusivement conçue et construite pour le vainqueur de la course la plus lucrative du monde, la Saudi Cup 2025.

Faisal Sultan, vice-président de Lucid Middle East, a déclaré : « Présenté comme une récompense spéciale au vainqueur de la Saudi Cup, ce véhicule exclusif est plus qu'un simple symbole de triomphe ; il représente une célébration du leadership du Royaume en matière de durabilité, d'innovation et d'excellence mondiale. »

Lors de son discours, qui a eu lieu le premier jour de la Saudi Cup à l'hippodrome King Abdulaziz de Riyad, M. Sultan a ajouté : « J'ai également le privilège de présenter une création qui illustre l'apogée de ce que Lucid peut réaliser : Le premier Lucid Air Sapphire unique au monde ».

Le véhicule est doté d'une finition lavande, d'un système à trois moteurs et d'une dynamique de conduite offrant une puissance de 1 234 chevaux, ainsi que des freins en carbone-céramique.

M. Sultan a déclaré que le dévoilement de ce véhicule était le résultat du partenariat entre Lucid et la Saudi Cup.

Le vainqueur de la course de la Saudi Cup, qui aura lieu le 22 février, recevra 20 millions de dollars, ainsi que le véhicule.

M. Sultan a également dévoilé le dernier modèle de Lucid, le Lucid Gravity SUV, et a ajouté : « Les débuts du Lucid Gravity SUV à la Saudi Cup reflètent la vision commune de Lucid et son soutien à la vision audacieuse du Royaume pour l'avenir.

« Il est particulièrement approprié que ce véhicule révolutionnaire soit maintenant disponible dans ce pays, une nation qui se tient à la pointe de l'innovation et de la durabilité grâce à la Vision 2030. »

La Saudi Cup est un événement équestre de deux jours qui réunit certains des meilleurs jockeys du monde sur l'hippodrome King Abdulaziz, dont la cagnotte s'élève à plus de 38 millions de dollars.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com