L’artiste kurde Aynur Dogan remporte le prestigieux Womex

Son ascension vers les sommets de la gloire n’a pas été aisée, mais Aynur Dogan est devenue un véritable symbole culturel pour la communauté kurde. (Photo fournie)
Son ascension vers les sommets de la gloire n’a pas été aisée, mais Aynur Dogan est devenue un véritable symbole culturel pour la communauté kurde. (Photo fournie)
Son ascension vers les sommets de la gloire n’a pas été aisée, mais Aynur Dogan est devenue un véritable symbole culturel pour la communauté kurde. (Photo fournie)
Son ascension vers les sommets de la gloire n’a pas été aisée, mais Aynur Dogan est devenue un véritable symbole culturel pour la communauté kurde. (Photo fournie)
Son ascension vers les sommets de la gloire n’a pas été aisée, mais Aynur Dogan est devenue un véritable symbole culturel pour la communauté kurde. (Photo fournie)
Son ascension vers les sommets de la gloire n’a pas été aisée, mais Aynur Dogan est devenue un véritable symbole culturel pour la communauté kurde. (Photo fournie)
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Publié le Lundi 30 août 2021

L’artiste kurde Aynur Dogan remporte le prestigieux Womex

  • L’artiste est célèbre au-delà des frontières de la Turquie et a remporté plusieurs prix internationaux
  • Elle sera en tournée européenne dans les prochains mois pour promouvoir son album et recevra le prix Womex le 31 octobre prochain à Porto

ANKARA: Une auteure-compositrice-interprète kurde a remporté un prestigieux prix international pour avoir préservé «la plus grande intégrité artistique face aux pressions politiques».

Aynur Dogan a reçu le prix Womex, lancé en 1999 pour récompenser la portée sociale et politique de l’excellence musicale à l’échelle internationale, et qui salue cette année «le dévouement constant de Dogan à l’innovation et à la préservation» des cultures alévie et kurde.

L’artiste de 46 ans se déclare honorée de voir «ses efforts de longue date sur un chemin parsemé d’embûches» reconnus sur le plan international.

«Il est rare que la musique traditionnelle fasse l’objet d’une reconnaissance dans la mesure où elle n’est pas connue de tous. Par ailleurs, s’exprimer dans une langue qui n’est pas largement reconnue représente un défi», déclare l’artiste à Arab News.

Aynur Dogan a vu le jour dans la province turque de Dersim (aujourd’hui Tunceli). Elle quitte sa ville natale en 1992 pour Istanbul, où elle découvre la musique, suit des cours et s’initie à la pratique instrumentale.

Elle sort en 2002 son premier album, composée de de chansons kurdes – un véritable tabou à l’époque. Ses chansons et ses concerts font alors l’objet de mesures de restriction.

Un tribunal interdit son album Kece Kurdan en 2004 au prétexte que les paroles des chansons inciteraient au séparatisme. Le verdict rendu à l’époque a été annulé par la suite.

L’un de ses concerts, qui avait lieu au Festival international de jazz d’Istanbul, a été interrompu par des membres du public qui l’ont huée parce qu’elle chantait en kurde, ce qui l’a contrainte à quitter la scène.

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Son ascension vers les sommets de la gloire ne fut pas aisée, mais Aynur Dogan est devenue un véritable symbole culturel pour la communauté kurde. (Photo fournie)

Au fil des années, les restrictions ont progressivement été levées, et Dogan est parvenue à conquérir un grand public turc grâce à sa musique mélancolique et à sa voix exceptionnelle.

Elle est devenue un véritable symbole culturel pour la communauté kurde, ayant enregistré plusieurs albums qui rendent hommage à sa musique folklorique et à ses traditions orales.

«Ce prix me rappelle que je ne suis pas seule et que le fait de promouvoir la musique dans ma langue maternelle a du sens», confie-t-elle. «C’est aussi un message positif adressé aux membres de la communauté à laquelle j’appartiens. Leur bonheur et leur fierté me rendent si heureuse. Je me suis servie de la musique pour surmonter les obstacles que j’ai rencontrés. Mes expériences m’ont permis de comprendre que, en conservant sa détermination et en apprenant à mieux se connaître, on peut franchir les limites nationales et faire accepter sa musique à l’échelle internationale.»

De fait, l’artiste est célèbre au-delà des frontières de la Turquie. Elle a remporté plusieurs prix mondiaux et figure dans des documentaires nationaux et internationaux, parmi lesquels Crossing the Bridge de Fatih Akin ou The Music of Strangers de Morgan Neville.

Elle a collaboré avec de nombreux groupes et artistes comme Yo-Yo Ma ou le Silk Road Ensemble.

«Écouter la voix d’Aynur, c’est ressentir tous les paliers de la joie et de la souffrance humaines réunies en un seul son. Sa voix parvient jusqu’au tréfonds de l’âme et nous transperce le cœur. L’espace d’un instant, nous ne formons plus qu’une seule et même personne. C’est inoubliable», commente le célèbre violoncelliste à propos de l’artiste kurde.

Le critique musical Naim Dilmener souligne quant à lui que le style musical de Dogan constitue l’un des exemples les plus forts d’une musique du monde jouée hors des sentiers battus des langues traditionnelles.

«Elle chante en kurde et le fait de la plus belle manière qui soit», confie-t-il à Arab News. Il fait également l’éloge de ses compétences en matière de communication et de sa maîtrise des réseaux sociaux, qui «lui ont valu un grand public à l’échelle internationale».

Aynur Dogan a eu l’occasion de participer aux festivals de musique les plus célèbres à travers le monde et elle a pu conquérir une solide base de fans, observe-t-il.

L’artiste kurde se produit plus souvent en Europe qu’en Turquie. Plusieurs concerts sont prévus au cours des mois à venir en Allemagne, au Royaume-Uni et aux Pays-Bas.

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Son ascension vers les sommets de la gloire ne fut pas aisée, mais Aynur Dogan est devenue un véritable symbole culturel pour la communauté kurde. (Photo fournie)

En 2017, elle obtient le Master of Mediterranean Music Award du Berklee College of Music de Boston dans la catégorie «Mediterranean Women in Action» («Femmes méditerranéennes en action»), qui récompense ses efforts pour promouvoir les traditions folkloriques kurdes en les alliant à des styles occidentaux modernes.

«Aynur Dogan est capable de nous émouvoir jusqu’aux larmes dans chacune de ses chansons. Je ne sais pas comment elle le fait; je pense qu’elle a un talent surhumain», estime M. Dilmener.

Son succès lui a permis de se créer un public et de permettre à la jeune génération kurde de renouer avec sa musique traditionnelle.

Les Turcs connaissent surtout l’artiste kurde en raison de son apparition dans le célèbre film Gonul Yarasi Blessure du cœur»). Elle y chante Dar HejirokeFiguier de la montagne»); sa voix et ses paroles magnifiques font pleurer le personnage principal du film.

Son dernier album Hedur/Solace of Time, composé de huit chansons, est sorti au mois de février 2020.

Elle sera en tournée européenne dans les prochains mois pour promouvoir son album et recevra le prix Womex le 31 octobre prochain à Porto.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Regard sur l'habillement des femmes à l'époque du premier État saoudien

Tout au long du premier État saoudien, les vêtements féminins étaient des signes d'identité culturelle et de traditions régionales. (Saudipedia)
Tout au long du premier État saoudien, les vêtements féminins étaient des signes d'identité culturelle et de traditions régionales. (Saudipedia)
Vêtements féminins dans la région centrale au cours du premier État saoudien. (Saudipedia)
Vêtements féminins dans la région centrale au cours du premier État saoudien. (Saudipedia)
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  • Selon Saudipedia, les vêtements des femmes variaient selon les régions du premier État saoudien, étant influencés par les ressources locales, le climat et les traditions culturelles.

RIYADH : Tout au long de l'histoire du premier État saoudien, les vêtements des femmes étaient des signes d'identité culturelle et de traditions régionales.

Selon Saudipedia, les vêtements féminins variaient d'une région à l'autre, en fonction des ressources locales, du climat et des traditions culturelles. Chaque région a développé des styles, des matériaux et des modèles distincts qui reflétaient ses coutumes sociales et son environnement.

Dans la région centrale, les femmes portaient souvent al-Mukhnaq, une couverture de soie transparente faite de mousseline ou de tulle, entièrement cousue à l'exception d'une ouverture pour le visage. Les femmes mariées se couvrent généralement la tête avec al-Ghadfah, un châle de tulle léger également connu sous le nom d'al-Munaykhel, ou optent pour al-Ghatwah, un tissu noir qui couvre l'ensemble du visage. Un autre vêtement courant était la burqa, un couvre-visage qui laissait une ouverture pour les yeux et était parfois orné d'éléments décoratifs.

L'abaya, vêtement d'extérieur en laine grossière de coupe rectangulaire, se drapant sur les épaules, était un vêtement de base. Contrairement aux abayas modernes, elle n'avait pas de manches, mais comportait de petites ouvertures pour les mains à ses extrémités. Le terme abaya était parfois utilisé de manière interchangeable avec bisht, un manteau traditionnel.

« Le bisht Al-Barqa est l'un des types de bishts portés par les hommes de la région. Les habitants de la région centrale, d'Al-Aridh et de Diriyah avaient l'habitude d'appeler l'abaya bisht, qu'elle soit portée par un homme ou par une femme », a déclaré Laila Al-Bassam, experte en costumes et textiles arabes traditionnels, lors d'une interview accordée à Arab News en 2023.

L'abaya avait de nombreuses variantes, notamment l'abaya Qilani, l'abaya Ma'simah, l'abaya Dufat al-Mahoud, l'abaya Fisol et l'abaya Murshidah. À l'intérieur, les femmes portaient généralement al-Maqta' ou al-Daraa, des vêtements longs et larges avec des manches ajustées qui se rétrécissaient au niveau du poignet. Ces robes sont souvent brodées de fils de zari d'or et d'argent, de paillettes ou de motifs complexes, reflétant le savoir-faire et l'art de l'époque.

Saudipedia indique que les femmes de la région orientale préféraient les vêtements fabriqués à partir de tissus fins tels que la soie et le coton léger. L'une des pièces les plus distinctives était le al-Malf'a, un tissu rectangulaire noir enroulé autour du visage et des épaules, parfois fixé à l'aide d'une pièce métallique appelée al-Rubayi. Le poids de ce tissu variait en fonction de la saison, les versions plus légères étant préférées durant les mois les plus chauds. La région était également connue pour ses broderies élaborées, les vêtements présentant souvent des coutures et des ornements complexes reflétant les influences des routes commerciales voisines.

Dans la région occidentale, les vêtements des femmes reflétaient les liens de la région avec les marchés internationaux, en particulier ceux de la mer Rouge. Les femmes les plus riches appréciaient les tissus tels que le brocart, la soie et le velours, tandis que le coton était plus couramment porté au quotidien. De nombreux vêtements étaient ornés de broderies détaillées, de dentelles et de fils de zari, reflétant les échanges culturels entre la péninsule arabique et les régions environnantes. La superposition de vêtements était courante, les femmes portant plusieurs pièces pour créer une silhouette distinctive et élégante.

Dans la région méridionale, l'influence du relief montagneux et des traditions tribales a joué un rôle important dans les styles vestimentaires. Les femmes portaient des vêtements confectionnés dans des tissus épais et résistants pour se protéger des basses températures des hautes altitudes. La broderie, avec ses motifs géométriques complexes, était un élément clé, symbolisant l'identité tribale. L'utilisation de couleurs vives, en particulier le rouge et le bleu, était très répandue et donnait de l'éclat aux vêtements.

Dans la région septentrionale, le climat et la vie bédouine ont influencé les choix vestimentaires des femmes. L'accent était mis sur l'aspect pratique, avec des vêtements conçus pour la mobilité et la protection contre les conditions climatiques difficiles. Elles portaient de longues robes fluides en laine ou en coton épais, souvent ornées de broderies subtiles. Les couvre-chefs étaient essentiels et variaient d'une tribu à l'autre. L'al-Shilah et l'al-Sayf étaient couramment portés pour se protéger du soleil tout en préservant la pudeur.

Les vêtements n'avaient pas seulement une fonction pratique, ils véhiculaient également « le statut social, l'état civil et l'appartenance tribale », selon Saudipedia. La diversité des styles dans les différentes régions témoigne de la richesse du patrimoine et de l'artisanat de l'époque, et de nombreux éléments traditionnels influencent encore la mode saoudienne actuelle.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

 


Comment célébrer la Journée de la fondation 2025 en Arabie saoudite

(fournie)
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  • La Journée de la fondation saoudienne vise à renforcer la fierté nationale des Saoudiens, en particulier des jeunes générations
  • À Riyad, les célébrations comprendront des feux d'artifice, des expositions sur le patrimoine saoudien et des concerts de musique

La Journée de la fondation saoudienne vise à renforcer la fierté nationale des Saoudiens, en particulier des jeunes générations.

Les festivités prévues pour la Journée de la Fondation de cette année mettront en valeur le patrimoine saoudien à travers la musique, les arts et les spectacles.

Principaux événements de la Journée de la fondation 2025

Les Nuits de la Fondation présenteront des concerts musicaux et poétiques avec d'éminents artistes saoudiens au théâtre Mohammed Abdu, au boulevard Riyad, le 22 février.

À Riyad, les célébrations comprendront des feux d'artifice, des expositions sur le patrimoine saoudien et des concerts de musique. Djeddah accueillera des parades maritimes, des marchés du patrimoine et des salons nautiques. À Médine, des expositions d'art et des séminaires culturels sur l'histoire du Royaume seront organisés, tandis qu'à Dammam, les visiteurs pourront assister à des spectacles folkloriques et à des séances de cinéma en plein air.

Spectacles musicaux

Plusieurs soirées musicales ajouteront à l'atmosphère de fête. Le 21 février, Mohammed Abdu jouera "Suhail Night" à l'arène Mohammed Abdu.

Le 22 février, Abdul Majeed Abdullah interprétera des chansons nationales à la Mohammed Abdu Arena.

En outre, le 22 février, un spectacle orchestral mettant en vedette l'orchestre et le chœur nationaux saoudiens sera suivi par des jeux de lumière et de son qui mettront en lumière la riche histoire du Royaume.

À Djeddah, les célébrations au musée Tariq Abdulhakim, du 20 au 22 février, offriront une atmosphère familiale remplie d'activités patrimoniales, artistiques et culturelles.

À Diriyah, une "expérience interactive 850" permettra aux visiteurs d'explorer les événements clés de l'histoire du Royaume, avec des activités immersives à l'intérieur et à l'extérieur.

Le Centre du roi Abdulaziz pour la culture mondiale (Ithra), à Dhahran, marquera la Journée de la fondation par une célébration de trois jours, du 20 au 22 février, avec des ateliers interactifs, des spectacles et de l'artisanat traditionnel.

La place accueillera des concerts de oud et d'autres activités, dont un photomaton où les visiteurs pourront se faire photographier en tenue traditionnelle.

Des maîtres artisans présenteront l'art complexe du tissage du bisht, et il y aura des activités éducatives, de la musique folklorique et des danses d'épée saoudiennes Ardah.

Le centre accueille les visiteurs de 16 à 23 heures.

La Commission des musées organise les célébrations de la Journée de la fondation au Musée national saoudien du 21 au 23 février. Cet événement propose des activités interactives, des programmes culturels et des spectacles.

Johnson Controls Arabia organise une soirée de célébration de la fondation le 21 février dans la maison historique Al-Sharbatly à Al-Balad, Djeddah.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Riyad revêt sa couleur verte pour honorer la Journée de la fondation

C'est l'une des deux occasions - l'autre étant la fête nationale - où le Royaume se pare de drapeaux nationaux. (SPA)
C'est l'une des deux occasions - l'autre étant la fête nationale - où le Royaume se pare de drapeaux nationaux. (SPA)
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  • Les citoyens et les résidents descendront par milliers dans les rues aujourd'hui
  • La municipalité de Riyad a pris des mesures pour orner les rues de plus de 8 000 drapeaux nationaux

RIYAD : C'est l'une des deux occasions - l'autre étant la fête nationale - où le Royaume est orné de drapeaux nationaux.

Les citoyens et les résidents descendront par milliers dans les rues aujourd'hui pour célébrer le quatrième jour de fondation de l'Arabie saoudite.

La municipalité de Riyad a pris des mesures pour orner les rues de plus de 8 000 drapeaux nationaux, transformant ainsi la capitale en un véritable océan de vert. Les drapeaux, qui représentent à la fois le premier État saoudien et le Royaume moderne, ont été accrochés stratégiquement sur les mâts des routes principales, les places, les ponts, les intersections et les lampadaires, a rapporté l'agence de presse saoudienne. 

L'emplacement a été soigneusement planifié pour assurer une harmonie esthétique avec le paysage de la ville et a été installé en toute sécurité par des moyens mécaniques. Les drapeaux ont été placés en toute sécurité à l'aide de moyens mécaniques. La variété des tailles permet de voir clairement les drapeaux.

Des équipes spécialisées sur le terrain ont suivi un calendrier strict pour réaliser les installations de manière efficace, en donnant la priorité à la sécurité, à la durabilité et à l'entretien régulier tout au long des célébrations.

Ces efforts reflètent l'engagement de la municipalité de Riyad à mettre en valeur l'identité nationale et à améliorer le paysage urbain, conformément aux objectifs de la Vision 2030 visant à améliorer l'attrait visuel de la capitale et à mettre en valeur le patrimoine du Royaume.
Les monuments, y compris les bâtiments ministériels, ont été décorés de lumières vertes vendredi, à la veille de la Journée de la fondation, tandis que des événements spéciaux organisés dans toute la région comprendront des feux d'artifice et des spectacles folkloriques traditionnels.

"Nous vous invitons à assister aux événements organisés par la municipalité de Riyad dans 47 municipalités au sein des gouvernorats et des centres de la région, dans plus de 47 lieux, pour profiter d'événements animés, d'activités de qualité, de divers domaines et de participations", a écrit la municipalité de Riyad sur le site X.

Abdullah Ahmed, un habitant de la capitale, a félicité l'autorité pour ses efforts visant à faire de la Journée de la fondation une occasion spéciale.

"Je suis vraiment reconnaissant à Allah tout-puissant de nous avoir accordé la sécurité, alors que nous vivons dans une solidarité et une paix totales. Nous avons la chance d'avoir un bon leadership avec le roi Salmane et le prince héritier Mohammed ben Salmane, et nous avons la chance d'avoir l'imam Mohammed ben Saud comme fondateur du premier État saoudien en 1727," a-t-il affirmé à Arab News.

Le Royaume moderne a fait ses premiers pas sur la voie de la nation en 1727, lorsque l'imam Mohammed ben Saud a succédé à son cousin, Zaid ben Markhane, en tant que souverain de la ville-État de Diriyah. C'est ce moment charnière, reconnu comme la date à laquelle le premier État saoudien a vu le jour, qui est célébré chaque année à l'occasion de la Journée de la fondation.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com