La Commission de la mode nomme les finalistes du programme Saudi 100 Brands

Le programme Saudi 100 Brands a pour objectif de renforcer l'avantage commercial concurrentiel des marques saoudiennes dans l'industrie mondiale de la mode. (Twitter/@FashionMOC)
Le programme Saudi 100 Brands a pour objectif de renforcer l'avantage commercial concurrentiel des marques saoudiennes dans l'industrie mondiale de la mode. (Twitter/@FashionMOC)
Le programme Saudi 100 Brands a pour objectif de renforcer l'avantage commercial concurrentiel des marques saoudiennes dans l'industrie mondiale de la mode. (Twitter/@FashionMOC)
Le programme Saudi 100 Brands a pour objectif de renforcer l'avantage commercial concurrentiel des marques saoudiennes dans l'industrie mondiale de la mode. (Twitter/@FashionMOC)
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Publié le Vendredi 09 juillet 2021

La Commission de la mode nomme les finalistes du programme Saudi 100 Brands

  • La princesse Noura bent Faisal, directrice du développement du secteur de la commission, déclare que l'enthousiasme des candidats est évident, ainsi que le désir de partager leurs expériences
  • L'objectif du programme, le premier du genre dans le Royaume, est de favoriser le développement de cent marques saoudiennes capables d’être concurrentielles à l'échelle régionale et internationale

RIYAD: La Commission de la mode du Royaume a révélé mercredi les noms des finalistes choisis pour participer à son programme Saudi 100 Brands («100 marques saoudiennes»), créé il y a un an. Cette initiative comprend une formation, des conseils et un tutorat et est encadrée par des experts du secteur de la mode.

Les noms des candidats retenus ont été dévoilés lors d'une cérémonie à l'hôtel Marriott, dans le quartier diplomatique de Riyad. Ils ont été choisis après deux semaines d'entretiens menés par des experts, dans la capitale et à Djeddah ainsi qu’en ligne. La liste initiale comprenait 1 348 candidats; ils n’étaient plus que 400 après cette étape.

Le programme propose une initiative de développement de marque d'un an avec une formation, un tutorat, des séances de conseil individuelles et collectives et des ateliers de formation virtuels et physiques. (Twitter/@FashionMOC)
Le programme propose une initiative de développement de marque d'un an avec une formation, un tutorat, des séances de conseil individuelles et collectives et des ateliers de formation virtuels et physiques. (Twitter/@FashionMOC)

Première initiative de conseil et de formation de ce type, le programme met en lumière la diversité des talents des créateurs de mode du Royaume. Le profil des candidats va du jeune designer jusqu’au créateur saoudien confirmé qui a déjà lancé des marques à succès à l'intérieur et à l'extérieur du Royaume, en passant par des start-up.

Parmi eux se trouve une Saoudienne de la ville de Khobar forte de plus de trois décennies d'expérience dans la conception et la couture des robes de mariée. Une autre candidate retenue est une femme qui possède une entreprise familiale de bijoux à Riyad; elle représente la troisième génération. Une marque saoudienne présente à Londres et à Dubaï a également été choisie.

Le programme couvre un large éventail de sujets, notamment l'image de marque, la conceptualisation, la stratégie de performance commerciale, les relations publiques et le marketing, l'identification des clients, l'innovation et la technologie, ainsi que le fait de développer des compétences de leadership. (Twitter/@FashionMOC)
Le programme couvre un large éventail de sujets, notamment l'image de marque, la conceptualisation, la stratégie de performance commerciale, les relations publiques et le marketing, l'identification des clients, l'innovation et la technologie, ainsi que le fait de développer des compétences de leadership. (Twitter/@FashionMOC)

Le programme débutera la semaine prochaine avec un programme consultatif présenté par des spécialistes du secteur de la mode qui possèdent une expérience pratique de prestigieuses marques internationales telles que Chanel, Valentino, Bulgari, Kering et LVMH. Ils proposeront des cours de formation individuels et collectifs ainsi que des séances de conseil qui portent sur des sujets tels que le développement commercial et le design. Le programme s’appuie également sur des partenariats internationaux avec Vogue Arabia et des distributeurs régionaux.

La princesse Noura bent Faisal, directrice du développement du secteur de la Commission de la mode, déclare que l'enthousiasme des candidats était évident lors des entretiens, tout comme leur enthousiasme à partager leurs expériences, succès comme échecs.

«Dans l’ensemble, nous avons senti la passion des designers saoudiens lorsqu'ils évoquaient le travail qui a présidé à la création de leurs propres marques. Ils ont également parlé des défis auxquels ils ont été confrontés, et de la peur qu’ils éprouvaient à l’idée de ne pas réaliser leurs rêves», confie-t-elle.

«La Commission de la mode comprend tous ces défis et ces inquiétudes. Communiquer avec la communauté créative nous aide à comprendre ses appréhensions et nous amène à mettre en place davantage d'initiatives afin de les surmonter.»

Burak Cakmak, le PDG de la Fashion Commission, indique que le programme tient compte des trajectoires des finalistes et que les programmes individuels développés pour chacun d'entre eux s’adapteront aux besoins spécifiques.

La première étape consistera donc à recueillir le plus d'informations possible auprès d'eux, explique-t-il. Ensuite, le contrôle du programme sera placé entre leurs mains avec des objectifs définis dans les domaines qui, selon eux, leur seront le plus bénéfiques. L’objectif principal, en effet, est de les aider à développer leurs activités et à construire leurs marques en améliorant leurs compétences techniques et de créer des opportunités internationales.

Le programme Saudi 100 Brands a pour objectif de renforcer l'avantage commercial concurrentiel des marques saoudiennes dans l'industrie mondiale de la mode. (Commission de la mode)
Le programme Saudi 100 Brands a pour objectif de renforcer l'avantage commercial concurrentiel des marques saoudiennes dans l'industrie mondiale de la mode. (Commission de la mode)

Le programme 100 Brands, lancé par la commission le 3 juin, couvre également des concepts comme l'innovation, les aspects techniques de la mode, les stratégies de vente et de marketing ainsi que le fait de développer des compétences de leadership. L'objectif est de nourrir et de soutenir le développement de cent marques saoudiennes capables d’être concurrentielles à l'échelle régionale et internationale.

Ce programme fait partie des actions de la commission destinées à développer le secteur de la mode dans le Royaume dans le cadre de la stratégie nationale pour la culture qui fait partie de la Vision 2030 de l’Arabie saoudite.

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Anthony Hopkins enchante Riyad avec une symphonie onirique

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
Anthony a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad. (Photo Fournie)
Anthony a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad. (Photo Fournie)
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  • Présentée par Morgan Freeman, l'icône hollywoodienne se penche sur le langage universel de la musique
  • Un concert en Arabie Saoudite : un honneur inimaginable, dit Hopkins

RIYADH : Dans un mélange captivant d'art et d'humanité, l'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé "La vie est un rêve", dans le cadre des festivités de la Saison de Riyad.

Présenté par son collègue acteur Morgan Freeman, Hopkins a commencé son discours par la salutation arabe "As-salamu alaykum", donnant ainsi le ton du respect culturel et de l'unité.

Hopkins a partagé ses réflexions sur la vie et l'art, s'inspirant des mots d'Edgar Allan Poe : "J'ai toujours cru que tout ce que nous voyons ou semblons être n'est qu'un rêve à l'intérieur d'un rêve".

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)

Il a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad.

C'est avec une grande humilité et une immense gratitude que je présente ma pièce, "La vie est un rêve", dans le cadre de la Saison de Riyad", a-t-il déclaré.

Se remémorant sa vie, il a décrit le chemin parcouru depuis le "fils d'un simple boulanger" du sud du pays de Galles jusqu'à un compositeur et un acteur de renommée mondiale.

"Pour moi, ma vie est un profond mystère", a-t-il déclaré. "Il est impossible de comprendre ou de s'attribuer le mérite des bénédictions qui m'ont été accordées. C'est pourquoi je crois que la vie est un rêve, et cette pièce, "Life is a Dream", m'a été inspirée par mon enfance rêveuse dans le sud du pays de Galles, par ma mère qui m'a merveilleusement soutenu et par mon père, qui était plus grand que nature et qui a travaillé sans relâche tout au long de sa vie.

Hopkins a invoqué la philosophie de Ralph Waldo Emerson, soulignant que la musique et l'art sont des connecteurs spirituels.

"La musique et l'art sont des chemins vers Dieu, le principal moyen de relier toutes les âmes humaines. Emerson a compris que toucher une âme, c'est toucher toutes les âmes et je crois moi aussi que la musique a un pouvoir de transformation", a-t-il déclaré.

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)

"J'ai toujours rêvé d'être compositeur, mais je n'ai jamais su comment. Pourtant, donner ce concert en Arabie saoudite, berceau de l'islam, où le prophète Mahomet a reçu ses messages et où se trouvent les villes saintes de La Mecque et de Médine, est un honneur inimaginable".

Abordant les défis mondiaux, M. Hopkins a souligné l'importance de l'unité et de la paix.

"Je ne peux imaginer un meilleur endroit qu'ici pour nous rassembler, surmonter nos différences et envisager un monde de paix, d'équilibre et d'amour", a-t-il déclaré.

"À 87 ans, je comprends parfaitement que la mort est inévitable. Mais le thème de ce concert est que la vie est un long adieu à tout ce que nous aimons, un adieu prolongé, mais rempli de pardon et d'émerveillement".

M. Hopkins a conclu en remerciant l'équipe qui a rendu ce concert possible, en particulier Rakan Al-Harthi, directeur général de Sela, son producteur musical Stephen Barton, le chef d'orchestre Matthew Freeman et le Royal Philharmonic Orchestra. Il a terminé son discours par "Shukran".

Grâce à cet événement, Hopkins a non seulement mis en valeur ses talents musicaux, mais il a également laissé une impression durable sur la Saison de Riyad, en soulignant le pouvoir unificateur de l'art et de la musique dans la promotion de la tolérance, de l'amour et de la compréhension entre les cultures.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com

   

Le mouvement Slow Food s'implante à AlUla

AlUla dévoile le centre d'art culinaire de Dadan, qui célèbre le mouvement slow food, la durabilité et les traditions culinaires. (Photo Fournie)
AlUla dévoile le centre d'art culinaire de Dadan, qui célèbre le mouvement slow food, la durabilité et les traditions culinaires. (Photo Fournie)
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  • Le Centre d'art culinaire Dadan est un centre d'éco-gastronomie qui allie patrimoine et système alimentaire durable.
  • Le marché fermier de Dadan, qui met en valeur les richesses agricoles de la ville tous les week-ends avec un éventail de produits frais et saisonniers, est l'un des sites incontournables d'AlUla.

RIYADH : grâce à l'ouverture du Centre d'art culinaire Dadan, la ville d'AlUla accueille un nouveau foyer du mouvement slow food. Ce centre célèbre l'agriculture durable, les traditions alimentaires locales et les repas réfléchis.

Ce mouvement mondial vise à favoriser un lien plus profond entre les consommateurs et leurs sources de nourriture, en prônant l'utilisation d'ingrédients saisonniers et locaux, et en soutenant tous les membres de la communauté, des valeurs qui ont guidé le développement d'AlUla en tant que destination durable.

Le Centre des arts culinaires Dadan est un centre mondial d'éco-gastronomie qui allie l'héritage de l'oasis verdoyante d'AlUla aux valeurs contemporaines d'un système alimentaire équitable et durable.

Situé près du site historique de Dadan, le centre propose des repas, des ateliers interactifs et la possibilité de rencontrer les agriculteurs d'AlUla, le tout dans un cadre naturel d'exception.

Le marché fermier de Dadan, qui met en valeur les richesses agricoles de la ville tous les week-ends avec un éventail de produits frais et saisonniers, est l'un des sites incontournables d'AlUla.

Les familles locales, dont les moyens de subsistance sont étroitement liés à l'agriculture de l'oasis, présentent leurs produits et invitent les visiteurs à découvrir les saveurs authentiques d'AlUla. Les visiteurs peuvent savourer des plats préparés selon des méthodes traditionnelles ou choisir des produits frais à déguster sur l'aire de pique-nique, adoptant ainsi la philosophie « de l'oasis à la table » qui est au cœur de la mission du centre. Chaque achat soutient directement les agriculteurs locaux.

Le restaurant Diyar du centre, nommé d'après le mot arabe signifiant « maison », offre une expérience gastronomique inoubliable. Chaleureux et accueillant, il surplombe les montagnes majestueuses et sert des plats préparés à partir d'ingrédients provenant de sources durables et cultivés localement. Sous la direction du chef primé Sergio Rama, il redéfinit l'hospitalité en transformant des repas simples en une célébration de la communauté et du patrimoine.

Une autre façon d'en savoir plus sur AlUla et ses habitants est de participer aux ateliers du centre, qui enseignent les pratiques durables et les traditions locales. 

Qu'il s'agisse d'apprendre les principes fondamentaux de la cuisine de la ferme à la table, de maîtriser les arts de la saumure et de la fermentation ou d'explorer les multiples utilisations du moringa dans les huiles et les savons, les participants acquièrent des connaissances pratiques sur de multiples pratiques artisanales et alimentaires.

Grâce au centre d'art culinaire Dadan, AlUla invite le monde à redécouvrir le plaisir d'une cuisine saine et traditionnelle dans son oasis intemporelle.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


« Unstoppable » : Une sortie attendue mais réjouissante

"Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome dans le rôle de Robles, Jennifer Lopez dans celui de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans celui de son beau-père Rick. (Fourni)
"Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome dans le rôle de Robles, Jennifer Lopez dans celui de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans celui de son beau-père Rick. (Fourni)
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  • Le film "Unstoppable" raconte l'histoire réelle d'Anthony Robles, un lutteur américain qui a remporté le championnat national de lutte universitaire de 125 livres (57 kg) en 2011 bien qu'il soit né avec une seule jambe
  • Le problème avec les films de sport (ou du moins les bons), c'est qu'il faut vraiment s'appuyer sur tous les clichés et embrasser toutes les expressions qui font chavirer le cœur

LONDRES : Il est facile d'oublier qu'il arrive parfois que l'on attende simplement une dose de bonnes vibrations d'un film — et peu de genres s'y prêtent mieux que le biopic sportif.

Le film "Unstoppable" raconte l'histoire réelle d'Anthony Robles, un lutteur américain qui a remporté le championnat national de lutte universitaire de 125 livres (57 kg) en 2011 bien qu'il soit né avec une seule jambe.

Réalisé par William Goldenberg (scénariste et monteur de renom, qui fait ici ses débuts en tant que réalisateur), "Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome ("Moonlight", "When They See Us") dans le rôle de Robles, avec Jennifer Lopez dans le rôle de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans le rôle de son beau-père Rick.

Déjà talentueux lutteur au lycée, Robles rate la bourse d'études dont il rêvait, mais choisit de payer pour aller à l'université d'État de l'Arizona et gagner une place dans l'équipe de lutte de l'établissement.

Malgré le comportement abusif de Rick à la maison, Robles continue de gagner la confiance de ses coéquipiers. Soutenu par la foi inébranlable de sa mère et de son entraîneur au lycée (joué par Michael Pena), il se montre non seulement digne de sa place, mais aussi un athlète capable de performer sur la scène nationale.

Le problème avec les films de sport (ou du moins les bons), c'est qu'il faut vraiment s'appuyer sur tous les clichés et embrasser toutes les expressions qui font chavirer le cœur. Parce que, si vous le faites - et si le film a un casting décent qui fait un travail sérieux - le résultat en vaut la peine.

C'est le cas de "Unstoppable", un film aussi déterminé que son protagoniste du monde réel. Bien sûr, il y a quelques éléments de l'histoire qui sont évoqués puis abandonnés. Bien sûr, la montée en puissance de l'épreuve de force est plus que prévisible.

Mais ce film bénéficie de l'excellente performance de Jerome (aidé par des effets et des cascades absolument parfaits, qui voient Robles lui-même exécuter certaines séquences de lutte), et d'une distribution secondaire immensément talentueuse.

Lopez, Cannavale et Peña jouent tous très bien leur rôle, mais Don Cheadle mérite également des éloges pour son interprétation en tant qu'entraîneur et mentor de Robles à l'université.

S'agit-il de l'exploration la plus sophistiquée du monde de la lutte universitaire ? Non. Mais s'agit-il d'un film chaleureux et décent qui vous fera du bien ? Absolument.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com