George Bush a-t-il commis un péché il y a deux décennies similaire à celui commis par Leonid Brejnev quatre décennies plus tôt lorsqu'il a envoyé son armée en Afghanistan pour mener une guerre impossible à gagner dans un pays qui ne peut être contrôlé ? L'envoi de l'armée américaine pour renverser Saddam Hussein était-il un péché similaire qui s'est terminé deux décennies plus tard avec la réduction de la présence militaire à quelques bases ciblées par les factions iraniennes en Irak ?
Les États-Unis étaient-ils trop préoccupés par les crises en Irak et en Afghanistan pour prêter attention aux héritiers de Mao, qui doublaient leur production dans « l'usine du monde » et attaquaient les pays avec des prêts et des contrats pour les recruter sur la route de la soie ? Les pertes humaines et financières en Afghanistan et en Irak ont-elles affaibli la capacité de l'Amérique à conserver sa première place mondiale malgré une concurrence féroce, notamment chinoise ?
Il est clair que le mandat de Joe Biden ne souffrira pas seulement du coût de la pandémie de coronavirus et du débat sur ses origines. Il souffrira également du quasi-retour des troupes du voyage afghan entamé dans le cadre d'une grande campagne disciplinaire lancée après les attentats du 11 septembre 2001.
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