Un sculpteur saoudien ravive l’artisanat des cannes en bois à sa manière

1. Les visiteurs en Arabie saoudite sont constamment à la recherche de souvenirs, d’épées ou de cannes. (Photo fournie)
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Publié le Mardi 22 juin 2021

Un sculpteur saoudien ravive l’artisanat des cannes en bois à sa manière

  • Al-Shehri confie qu’il s’est servi de sa canne, gravée de son nom, lors d’un pèlerinage du Hajj
  • De nombreux autres artisans du Royaume font la promotion de la culture saoudienne, fiers de leur identité

MAKKAH : Un jeune Saoudien du sud du Royaume insuffle une nouvelle vie dans l'artisanat intemporel de la sculpture à la main des cannes en bois et l’harmonise au goût du jour, une passion qui suscite l’engouement des pèlerins du Hajj ainsi que des clients du monde entier. 

Les cannes sont traditionnellement associées aux personnes âgées ou malades, et leur design simple reflète généralement l’accent mis sur leur fonction plutôt que leur apparence.

Et c’est justement pour se départir de cette association qu’Adel Al-Shehri a décidé de donner une nouvelle vie au vieil artisanat.  En plus de raviver cet art, il transforme les cannes en chefs-d’œuvre qui intègrent la vie quotidienne des Saoudiens.

Grâce à son travail, il transmet l'essence culturelle et historique de l'Arabie saoudite à travers des motifs culturels gravés sur le bois de sidr.

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Al-Shehri, qui a grandi dans la région montagneuse du sud du Royaume, utilise le vieil arbre indigène pour créer des cannes uniques minutieusement embellies, tout comme le faisaient ses ancêtres.

Le sidr, communément appelé jujubier de Palestine, est une espèce à feuilles persistantes qui fait partie intégrante de la culture locale. En plus de ses vertus médicinales, l’arbre est utilisé dans la fabrication de cannes et de divers objets en bois généralement trouvés dans les maisons au sud du Royaume.

 

EN BREF

Le sidr, communément appelé jujubier de Palestine, est une espèce à feuilles persistantes qui fait partie intégrante de la culture locale. En plus de ses vertus médicinales, l’arbre est utilisé dans la fabrication de cannes et de divers objets en bois généralement trouvés dans les maisons au sud du Royaume.

Le sculpteur explique à Arab News qu'il a hérité de ses ancêtres l’amour d’œuvres tels que les épées brillantes et la jambiya, un poignard à lame incurvée. Comme il a grandi au milieu d'une architecture ornée de pierres et de bois, Al-Shehr affirme que son désir est de raviver la riche histoire du design avec un matériau de son jardin.

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«Les visiteurs en Arabie saoudite sont constamment à la recherche de souvenirs, d'épées ou de cannes. Mais expédier des épées par la poste est un véritable casse-tête, car elles sont classées comme armes blanches. D’autres articles perdent de leur qualité ou sont endommagés pendant l'expédition. C'est pour cette raison que je me concentre entièrement sur la fabrication de cannes», raconte-t-il.

Al-Shehri confie qu’il s’est servi de sa canne, gravée de son nom, lors d’un pèlerinage du Hajj. Peu de temps après, il commence à ajouter la mention «Fabriqué en Arabie saoudite», et de se concentrer sur les saisons de la Omra et du Hajj. 

Il présente ainsi ses créations comme un souvenir à l’intention des pèlerins. 

Al-Shehri a déclaré que certaines institutions du Hajj l’ont même contacté pour offrir ses cannes aux pèlerins comme cadeau de retour.

«Je crée assez de cannes pour que l’on arrête d'importer celles qui ne mettent en valeur ni notre identité, ni notre message intellectuel, ni notre culture»

Adel Al-Shehri

De nombreux clients partout dans le monde font leurs commandes via les institutions du Hajj ou sur les réseaux sociaux.

Dernièrement, un citoyen allemand a commandé quatre cannes avec des motifs différents inspirés de la culture saoudienne. D’autres préfèrent personnaliser leur acquisition pour marquer un événement particulier.

Les créations traditionnelles, livrées dans des boîtes luxueuses faites à la main, des chefs-d’œuvre que les clients peuvent exhiber chez eux. Il décrit la canne comme un «signe de prestige, de chaleur et d'hospitalité».

La première chose qui a attiré son attention lorsqu'il était enfant était la façon dont sa famille entreposait les épées, pistolets et jambiyas, enveloppés dans des tissus spéciaux dans de vieilles boîtes.

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J’ai hérité l’amour des artefacts de mes ancêtres

Al-Shehri a toujours voulu mettre cet héritage à l'honneur et le partager avec d'autres villes saoudiennes. Les éloges du public sur son travail initial ont été la première pierre angulaire de son rêve de produire ses cannes. Il a souligné qu'il utilise souvent du bois de sidr pour les cannes car le diamètre doit être supérieur à 40 centimètres.

Pour que les fibres du bois arrivent à maturation, le sidr doit être asséché pendant six mois. «Le manche est fabriqué à partir du noyau de bois de sidr en raison du greffage intensif. Il peut comprendre un millier de greffons», précise le sculpteur. 

Malgré l’absence de formation, sa volonté de créer ces objets d’art lui a appris à persévérer et à apprendre le métier à force de temps et de patience. «Les étapes de fabrication sont devenues mon inspiration, et m'ont tout appris sur cet artisanat créatif qui a façonné ma personnalité et conduit vers des mondes de magie et de beauté», révèle-t-il.

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«Je me suis d'abord intéressé au tour à métaux et à maîtriser sa façon unique de fabriquer des accessoires et d'y ajouter du bois. Je me suis ensuite penché sur l'élément tactile et l'ajout de lustre en l'absence de vrais fabricants dans ce domaine. J'ai insisté pour apprendre moi-même le tour à métaux, afin de ne dépendre de personne. Mon atelier, rempli de nickel, de chrome, d'acier inoxydable et de laiton, ainsi que les tours à métaux et à bois, est devenu mon meilleur ami», confie-t-il.

«Je travaille des heures durant sur les commandes, surtout si un client a une occasion spéciale dans un délai serré », ajoute-t-il.

Al-Shehri a déclaré que ce que lui et de nombreux autres artisans du Royaume font la promotion de la culture saoudienne, fiers de leur identité. «Je crée assez de cannes pour que l’on arrête d'importer celles qui ne mettent en valeur ni notre identité, ni notre message intellectuel, ni notre culture».

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com.


Anthony Hopkins enchante Riyad avec une symphonie onirique

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
Anthony a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad. (Photo Fournie)
Anthony a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad. (Photo Fournie)
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  • Présentée par Morgan Freeman, l'icône hollywoodienne se penche sur le langage universel de la musique
  • Un concert en Arabie Saoudite : un honneur inimaginable, dit Hopkins

RIYADH : Dans un mélange captivant d'art et d'humanité, l'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé "La vie est un rêve", dans le cadre des festivités de la Saison de Riyad.

Présenté par son collègue acteur Morgan Freeman, Hopkins a commencé son discours par la salutation arabe "As-salamu alaykum", donnant ainsi le ton du respect culturel et de l'unité.

Hopkins a partagé ses réflexions sur la vie et l'art, s'inspirant des mots d'Edgar Allan Poe : "J'ai toujours cru que tout ce que nous voyons ou semblons être n'est qu'un rêve à l'intérieur d'un rêve".

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)

Il a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad.

C'est avec une grande humilité et une immense gratitude que je présente ma pièce, "La vie est un rêve", dans le cadre de la Saison de Riyad", a-t-il déclaré.

Se remémorant sa vie, il a décrit le chemin parcouru depuis le "fils d'un simple boulanger" du sud du pays de Galles jusqu'à un compositeur et un acteur de renommée mondiale.

"Pour moi, ma vie est un profond mystère", a-t-il déclaré. "Il est impossible de comprendre ou de s'attribuer le mérite des bénédictions qui m'ont été accordées. C'est pourquoi je crois que la vie est un rêve, et cette pièce, "Life is a Dream", m'a été inspirée par mon enfance rêveuse dans le sud du pays de Galles, par ma mère qui m'a merveilleusement soutenu et par mon père, qui était plus grand que nature et qui a travaillé sans relâche tout au long de sa vie.

Hopkins a invoqué la philosophie de Ralph Waldo Emerson, soulignant que la musique et l'art sont des connecteurs spirituels.

"La musique et l'art sont des chemins vers Dieu, le principal moyen de relier toutes les âmes humaines. Emerson a compris que toucher une âme, c'est toucher toutes les âmes et je crois moi aussi que la musique a un pouvoir de transformation", a-t-il déclaré.

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)

"J'ai toujours rêvé d'être compositeur, mais je n'ai jamais su comment. Pourtant, donner ce concert en Arabie saoudite, berceau de l'islam, où le prophète Mahomet a reçu ses messages et où se trouvent les villes saintes de La Mecque et de Médine, est un honneur inimaginable".

Abordant les défis mondiaux, M. Hopkins a souligné l'importance de l'unité et de la paix.

"Je ne peux imaginer un meilleur endroit qu'ici pour nous rassembler, surmonter nos différences et envisager un monde de paix, d'équilibre et d'amour", a-t-il déclaré.

"À 87 ans, je comprends parfaitement que la mort est inévitable. Mais le thème de ce concert est que la vie est un long adieu à tout ce que nous aimons, un adieu prolongé, mais rempli de pardon et d'émerveillement".

M. Hopkins a conclu en remerciant l'équipe qui a rendu ce concert possible, en particulier Rakan Al-Harthi, directeur général de Sela, son producteur musical Stephen Barton, le chef d'orchestre Matthew Freeman et le Royal Philharmonic Orchestra. Il a terminé son discours par "Shukran".

Grâce à cet événement, Hopkins a non seulement mis en valeur ses talents musicaux, mais il a également laissé une impression durable sur la Saison de Riyad, en soulignant le pouvoir unificateur de l'art et de la musique dans la promotion de la tolérance, de l'amour et de la compréhension entre les cultures.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com

   

Le mouvement Slow Food s'implante à AlUla

AlUla dévoile le centre d'art culinaire de Dadan, qui célèbre le mouvement slow food, la durabilité et les traditions culinaires. (Photo Fournie)
AlUla dévoile le centre d'art culinaire de Dadan, qui célèbre le mouvement slow food, la durabilité et les traditions culinaires. (Photo Fournie)
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  • Le Centre d'art culinaire Dadan est un centre d'éco-gastronomie qui allie patrimoine et système alimentaire durable.
  • Le marché fermier de Dadan, qui met en valeur les richesses agricoles de la ville tous les week-ends avec un éventail de produits frais et saisonniers, est l'un des sites incontournables d'AlUla.

RIYADH : grâce à l'ouverture du Centre d'art culinaire Dadan, la ville d'AlUla accueille un nouveau foyer du mouvement slow food. Ce centre célèbre l'agriculture durable, les traditions alimentaires locales et les repas réfléchis.

Ce mouvement mondial vise à favoriser un lien plus profond entre les consommateurs et leurs sources de nourriture, en prônant l'utilisation d'ingrédients saisonniers et locaux, et en soutenant tous les membres de la communauté, des valeurs qui ont guidé le développement d'AlUla en tant que destination durable.

Le Centre des arts culinaires Dadan est un centre mondial d'éco-gastronomie qui allie l'héritage de l'oasis verdoyante d'AlUla aux valeurs contemporaines d'un système alimentaire équitable et durable.

Situé près du site historique de Dadan, le centre propose des repas, des ateliers interactifs et la possibilité de rencontrer les agriculteurs d'AlUla, le tout dans un cadre naturel d'exception.

Le marché fermier de Dadan, qui met en valeur les richesses agricoles de la ville tous les week-ends avec un éventail de produits frais et saisonniers, est l'un des sites incontournables d'AlUla.

Les familles locales, dont les moyens de subsistance sont étroitement liés à l'agriculture de l'oasis, présentent leurs produits et invitent les visiteurs à découvrir les saveurs authentiques d'AlUla. Les visiteurs peuvent savourer des plats préparés selon des méthodes traditionnelles ou choisir des produits frais à déguster sur l'aire de pique-nique, adoptant ainsi la philosophie « de l'oasis à la table » qui est au cœur de la mission du centre. Chaque achat soutient directement les agriculteurs locaux.

Le restaurant Diyar du centre, nommé d'après le mot arabe signifiant « maison », offre une expérience gastronomique inoubliable. Chaleureux et accueillant, il surplombe les montagnes majestueuses et sert des plats préparés à partir d'ingrédients provenant de sources durables et cultivés localement. Sous la direction du chef primé Sergio Rama, il redéfinit l'hospitalité en transformant des repas simples en une célébration de la communauté et du patrimoine.

Une autre façon d'en savoir plus sur AlUla et ses habitants est de participer aux ateliers du centre, qui enseignent les pratiques durables et les traditions locales. 

Qu'il s'agisse d'apprendre les principes fondamentaux de la cuisine de la ferme à la table, de maîtriser les arts de la saumure et de la fermentation ou d'explorer les multiples utilisations du moringa dans les huiles et les savons, les participants acquièrent des connaissances pratiques sur de multiples pratiques artisanales et alimentaires.

Grâce au centre d'art culinaire Dadan, AlUla invite le monde à redécouvrir le plaisir d'une cuisine saine et traditionnelle dans son oasis intemporelle.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


« Unstoppable » : Une sortie attendue mais réjouissante

"Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome dans le rôle de Robles, Jennifer Lopez dans celui de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans celui de son beau-père Rick. (Fourni)
"Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome dans le rôle de Robles, Jennifer Lopez dans celui de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans celui de son beau-père Rick. (Fourni)
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  • Le film "Unstoppable" raconte l'histoire réelle d'Anthony Robles, un lutteur américain qui a remporté le championnat national de lutte universitaire de 125 livres (57 kg) en 2011 bien qu'il soit né avec une seule jambe
  • Le problème avec les films de sport (ou du moins les bons), c'est qu'il faut vraiment s'appuyer sur tous les clichés et embrasser toutes les expressions qui font chavirer le cœur

LONDRES : Il est facile d'oublier qu'il arrive parfois que l'on attende simplement une dose de bonnes vibrations d'un film — et peu de genres s'y prêtent mieux que le biopic sportif.

Le film "Unstoppable" raconte l'histoire réelle d'Anthony Robles, un lutteur américain qui a remporté le championnat national de lutte universitaire de 125 livres (57 kg) en 2011 bien qu'il soit né avec une seule jambe.

Réalisé par William Goldenberg (scénariste et monteur de renom, qui fait ici ses débuts en tant que réalisateur), "Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome ("Moonlight", "When They See Us") dans le rôle de Robles, avec Jennifer Lopez dans le rôle de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans le rôle de son beau-père Rick.

Déjà talentueux lutteur au lycée, Robles rate la bourse d'études dont il rêvait, mais choisit de payer pour aller à l'université d'État de l'Arizona et gagner une place dans l'équipe de lutte de l'établissement.

Malgré le comportement abusif de Rick à la maison, Robles continue de gagner la confiance de ses coéquipiers. Soutenu par la foi inébranlable de sa mère et de son entraîneur au lycée (joué par Michael Pena), il se montre non seulement digne de sa place, mais aussi un athlète capable de performer sur la scène nationale.

Le problème avec les films de sport (ou du moins les bons), c'est qu'il faut vraiment s'appuyer sur tous les clichés et embrasser toutes les expressions qui font chavirer le cœur. Parce que, si vous le faites - et si le film a un casting décent qui fait un travail sérieux - le résultat en vaut la peine.

C'est le cas de "Unstoppable", un film aussi déterminé que son protagoniste du monde réel. Bien sûr, il y a quelques éléments de l'histoire qui sont évoqués puis abandonnés. Bien sûr, la montée en puissance de l'épreuve de force est plus que prévisible.

Mais ce film bénéficie de l'excellente performance de Jerome (aidé par des effets et des cascades absolument parfaits, qui voient Robles lui-même exécuter certaines séquences de lutte), et d'une distribution secondaire immensément talentueuse.

Lopez, Cannavale et Peña jouent tous très bien leur rôle, mais Don Cheadle mérite également des éloges pour son interprétation en tant qu'entraîneur et mentor de Robles à l'université.

S'agit-il de l'exploration la plus sophistiquée du monde de la lutte universitaire ? Non. Mais s'agit-il d'un film chaleureux et décent qui vous fera du bien ? Absolument.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com