Des personnes en deuil et des collègues récitent une prière au-dessus des corps drapés des travailleurs de la défense civile affiliés à l'association islamique des scouts al-Rissala, tués lors d'une frappe israélienne sur la ville de Tayr Dibba, dans le s
"Le nombre est très important et pourrait atteindre un million de personnes", ce qui équivaudrait à un sixième de la population totale du Liban et "pourrait être le plus grand déplacement de population de l'histoire du Liban", a déclaré Najib Mikati.
Un grand nombre de ces déplacés ont trouvé refuge à Beyrouth, dans des conditions précaires, et certains craignent que ces déplacements massifs ne menacent le fragile équilibre entre communautés sunnite, chrétienne, chiite et druze au Liban.
S'adressant à l'Assemblée générale des Nations unies, prince Fayçal demande que la Palestine devienne membre à part entière de l'Organisation
La priorité du Royaume est de«répondre aux besoins des générations futures, d'autonomiser les femmes et les jeunes et de construire des ponts avec le monde»
Les autorités locales et les services d'urgence se sont rapidement rendus sur les lieux pour circonscrire l'incendie et assurer la sécurité des résidents et des commerces voisins.
Cet appel survient dans un pays profondément divisé selon des lignes de fracture communautaires, ravivées par la décision du Hezbollah de rouvrir un front avec Israël en soutien au Hamas palestinien.
Samedi soir, le Premier ministre libanais Najib Mikati avait déjà appelé les Libanais à "se rassembler" pour préserver la paix civile.
Le président du parlement iranien, Mohammad Baqer Qalibaf, a déclaré dimanche que les groupes militants continueraient à affronter Israël avec l'aide de Téhéran .
« Nous n'hésiterons pas à aller jusqu'au bout pour aider la résistance », a déclaré M. Qalibaf.
Très impopulaire en Israël avant le début de la guerre, à cause d'un projet de réforme de la justice ayant profondément divisé le pays, M. Netanyahu fait aussi face à une contestation interne croissante
Pas une semaine ne passe sans que des milliers manifestants l'exhortent, en vain depuis des mois, à signer un accord de trêve avec le Hamas dans la bande de Gaza qui permettrait la libération des 97 otages enlevés le 7 octobre