Le président Aoun a exprimé sa gratitude pour le rôle joué par le Royaume dans le soutien à la stabilité, à la sécurité et au fonctionnement des institutions libanaises
Le prince héritier Mohammed ben Salmane a reçu M. Aoun au palais Al-Yamamah à Riyad lors d'une cérémonie officielle
Les deux hommes ont tenu une réunion au cours de laquelle ils ont discuté des derniers développements au Liban et dans la région, ainsi que des moyens de renforcer les relations bilatérales
Une cérémonie de réception officielle a été organisée au palais Al-Yamamah à Riyad pour M. Aoun, qui effectue sa première visite au Royaume en tant que chef d'État libanais
Si une personne n'a pas réellement commis un crime, mais en a seulement entretenu l'idée, l'État se penchera sur cette question et la réglera.
« Selon les directives du prince héritier, si aucune poursuite n'a été engagée contre vous pour homicide, vol ou agression et que vous avez été induit en erreur, l'État vous accueillera et ne vous punira pas », a-t-il déclaré.
Le président syrien par intérim, Ahmad al-Chareh, a chargé dimanche un comité d'experts de rédiger un projet de déclaration constitutionnelle pour « construire un État de droit » durant la phase de transition en Syrie
Ce comité de sept membres, dont deux femmes, devra rédiger « la déclaration constitutionnelle pour la phase de transition » en Syrie, a indiqué un communiqué de la présidence.
De nombreuses bases de la quatrième division d'élite, anciennement dirigée par Maher, le jeune frère redouté du président déchu Bashar Assad, sont aujourd'hui pillées.
Les documents laissés sur place montrent comment celui que l'on appelait "le Maître" et ses acolytes se sont enrichis de manière excessive, tandis que certains de leurs hommes de troupe luttaient pour nourrir leurs familles.
Israël et le Hamas sont en désaccord persistant sur la forme à donner à la suite du processus à compter de ce dimanche.
Le Hamas a rejeté cette proposition et a exigé de passer à la phase deux prévue par l'accord initial, estimant que le compromis américain revient à permettre à Israël de « se soustraire aux accords qu'il a signés ».
La Suisse a invité les 196 États parties à la Convention de Genève à participer à la conférence".
La Suisse est le dépositaire des Conventions de Genève qui définissent les lois de la guerre et du droit humanitaire. Elle a déjà organisé des conférences similaires en 1999, 2001 et 2014.