Depuis le 23 septembre, Israël a lancé une vaste campagne de bombardements à travers le territoire libanais, principalement contre les fiefs du Hezbollah.
Israël a annoncé samedi qu'un tir de drone depuis le Liban avait visé la résidence du Premier ministre Benjamin Netanyahu, en pleine offensive israélienne contre le Hezbollah libanais.
Israël dit vouloir neutraliser le Hezbollah dans le sud du Liban et permettre le retour dans le nord de son territoire de quelque 60 000 habitants, déplacés depuis un an par les tirs de roquettes incessants du mouvement islamiste.
Un proche du chef présumé d'Al-Qaïda a demandé la libération des otages israéliens retenus à Gaza, estimant que les garder captifs dessert la cause palestinienne, trop délaissée à son goût.
Vendredi, le Hamas a déclaré que les otages ne seraient pas libérés avant « l'arrêt » de l'offensive israélienne.
"Après la mort de Yahya Sinouar, une nouvelle perspective s'ouvre et nous devons nous en saisir pour obtenir un cessez-le-feu et la libération des otages a déclaré Josep Borrel.
Le Premier ministre israélien Netanyahu a de son côté prévenu que la mort du chef du Hamas, un des objectifs du gouvernement israélien depuis le 7 octobre, "ne veut pas dire la fin de la guerre à Gaza, mais le début de la fin".
Un soldat et un réserviste ont été légèrement blessés lors de l'échange de tirs, selon l'armée israélienne
L'agence de presse officielle jordanienne, Petra a cité une source militaire jordanienne selon laquelle ces informations israéliennes étaient "fausses"
C’est le grand dilemme que vivent les descendants des Palestiniens qui ont choisi de rester sur leurs terres à la création de l'État d’Israël et qui peinent à concilier leur identité israélienne et leur origine ethnique
Ce dilemme qu’ils portent tant bien que mal depuis des décennies s’est particulièrement aiguisé depuis la guerre menée par Israël contre Gaza, au lendemain du 7 octobre, puis avec l’élargissement de cette guerre au Liban
Le président du Parlement iranien a déclaré que Téhéran était prêt à négocier avec la France la mise en œuvre d'une résolution de l'ONU concernant le Sud-Liban
Le Premier ministre Najib Mikati : "Nous sommes surpris par cette position, qui constitue une ingérence flagrante dans les affaires libanaises"