La crise agricole pousse l'État à être particulièrement attentif à ces discussions entre fabricants et commerçants de produits de grande consommation
Les négociations se terminent habituellement le 1er mars mais ont été avancées cette année par le gouvernement qui espérait ainsi que soient répercutées plus vite dans les rayons les baisses de prix de gros de certaines denrées
Les dirigeants font face à l'année de tous les dangers, exacerbés par l’intelligence artificielle, qualifiée de «force pour l’économie et la société» selon les organisateurs
«Les dernières perspectives des économistes en chef mettent en évidence la nature précaire de l'environnement économique actuel»
Par rapport à novembre, les prix des transports ont diminué de 0,4% en décembre, tandis que les dépenses pour les vêtements et les chaussures ont baissé de 0,3%
En revanche, les prix de l’éducation et du tabac n’ont pas connu de changement significatif en décembre par rapport au mois précédent
«Il n'y aura pas de retour aux prix qu'on a pu connaître en 2019 et 2020,» soit avant l'envolée des prix de l'alimentaire ces trois dernières années, a estimé le président de la principale organisation représentative des agro-industriels, l'Ania
Pour le représentant des industriels, des hausses sont probables sur certains produits en tension, comme le sucre, le riz, l'huile d'olive, le cacao ou le jus d'orange