Aujourd'hui, à la veille du référendum constitutionnel promu par le président Abdelmadjid Tebboune, le courant islamiste apparaît divisé
Cette nouvelle loi fondamentale met l'accent sur une série de droits et libertés, censés répondre aux aspirations du mouvement de protestation populaire anti-pouvoir
"Si on nous impose aujourd'hui de respecter des points de la Constitution qui ne sont pas adaptés à pouvoir mener la guerre en respectant la Constitution, et bien il faut modifier la Constitution", a estimé le maire de Nice
"La volonté d'agir ne suffit pas", a estimé Christian Estrosi, martelant "nous ne pouvons pas gagner la guerre contre cet ennemi avec les lois de la paix"
Près de 25 millions d'électeurs sont appelés à se prononcer dimanche sur une révision constitutionnelle censée fonder une « Nouvelle République » et répondre aux aspirations du mouvement de protestation populaire « Hirak »
Dans certains quartiers d'Alger, nombre de panneaux électoraux sont restés vides, sur d'autres les affiches ont été arrachées
En octobre 2019, l'augmentation du prix du ticket de métro déclenchait une crise sociale sans précédent au Chili, révélant un profond malaise dans un pays où l'eau, l'électricité, le gaz, ainsi que l'éducation, la santé et les retraites relèvent essentiel
Le 15 novembre, après un mois de violentes manifestations, la coalition gouvernementale et les principaux partis d'opposition parvenaient à un accord sur l'organisation d'un référendum sur la Constitution qui aura finalement lieu ce dimanche
« Le projet s'inscrit en droite ligne avec les exigences de l'édification de l'Etat moderne et répond aux revendications du Hirak populaire authentique béni », a dit dimanche M. Tebboune
Selon les nouvelles dispositions, le président garde la quasi-totalité de ses prérogatives, mais il ne pourra exercer plus de deux mandats « consécutifs ou séparés »