L'astronaute fera partie de la mission SpaceX Crew-6, dont le lancement est prévu en 2023
Nouveaux venus dans le monde de l'exploration spatiale, les Emirats arabes unis, qui comptent sept émirats parmi lesquels ceux d'Abou Dhabi et de Dubaï, y ont rapidement imprimé leur marque
Thomas Pesquet, rentré de sa deuxième mission à bord de la Station spatiale internationale en novembre, met à profit sa formation de pilote de ligne pour cette association, dont il est parrain
Aviation sans Frontières livre des vivres et des médicaments et effectue des évacuations sanitaires pour 120 ONG et organisations internationales
"On va descendre 8 ou 9 mètres par seconde, c'est assez rapide et beaucoup plus fort qu'un avion qui atterrit dans l'eau", a expliqué l'astronaute sur la radio France Inter
Une fois que la capsule aura "tapé" la surface de la mer ("splashdown" en anglais), elle flottera, et l'équipage sera récupéré au plus vite par des navires positionnés à proximité
Il s'agit de la troisième mission habitée régulière assurée par SpaceX pour le compte de l'agence spatiale américaine. Son équipage est ainsi baptisé Crew-3
Ils doivent remplacer les quatre astronautes de Crew-2, dont le Français Thomas Pesquet, qui se trouvent dans la Station spatiale internationale depuis avril
Cette mission est la cinquième sur les 11 (habitées et non habitées) nécessaires au total à la construction de la station spatiale chinoise, qui devrait être achevée fin 2022
Appelée Tiangong («Palais céleste»), elle sera semblable en taille à l'ancienne station soviétique Mir (1986-2001). Sa durée de vie sera d'au moins 10 ans