En Tunisie, dans le but de moderniser les secteurs bancaire et financier, des lois de finances successives ont institué le régime fiscal des différents instruments de financements islamiques
En juillet 2017, après des mois d'attente, les autorités du Maroc ont donné leur feu vert aux banques islamiques dites "participatives" pour un démarrage effectif de leurs activités.
Ces données ont été renforcées par le programme proactif de soutien économique ciblé de la CBUAE atteignant 256 milliards d'AED depuis son lancement
COVID-19 a modifié les perspectives de l'activité économique mondiale et nationale, posant des défis à l'environnement opérationnel du secteur bancaire