Debout et sans notes, l'ancien ministre, âgé de 93 ans, s'est exprimé pendant près d'une demi-heure devant un parterre de députés, officiels et représentants de la société civile qui l'ont longuement applaudi
Il a tenu à saluer la mémoire du président socialiste de l'époque, François Mitterrand, qui avait promis cette abolition, et de son successeur de droite Jacques Chirac, qui la fit inscrire dans la Constitution en 2007