La clé de l'énigme semble résider dans un assemblage complexe de rayons à l'intérieur de ces vertèbres qui, bien qu'ultra-légers, supportaient le poids de la tête et du cou du ptérosaure
La structure n'a pas d'équivalent connu dans le règne animal, moderne ou éteint, et la chercheuse s'est dite "surprise que personne ne l'ait découverte avant"