Depuis le 23 septembre, Israël a lancé une vaste campagne de bombardements à travers le territoire libanais, principalement contre les fiefs du Hezbollah.
Israël a annoncé samedi qu'un tir de drone depuis le Liban avait visé la résidence du Premier ministre Benjamin Netanyahu, en pleine offensive israélienne contre le Hezbollah libanais.
Israël dit vouloir neutraliser le Hezbollah dans le sud du Liban et permettre le retour dans le nord de son territoire de quelque 60 000 habitants, déplacés depuis un an par les tirs de roquettes incessants du mouvement islamiste.
Le président du Parlement iranien a déclaré que Téhéran était prêt à négocier avec la France la mise en œuvre d'une résolution de l'ONU concernant le Sud-Liban
Le Premier ministre Najib Mikati : "Nous sommes surpris par cette position, qui constitue une ingérence flagrante dans les affaires libanaises"
Un député libanais affirme que l'ennemi n'a pas réussi à prendre le contrôle d'un village ou à s'y installer
Il a ajouté que l'ennemi "planifie cette guerre depuis des années et a adopté une politique de terre brûlée le long des frontières, tentant de créer une zone tampon pour annexer la région au sud du Litani, ce que la résistance contrecarrera"
En début de matinée, le porte-parole de l'armée Avichay Adraee a adressé sur X un "avertissement urgent aux résidents de la région de la Békaa"
Le premier concerne "spécialement ceux habitant dans le bâtiment marqué sur la carte dans la zone de Temnine" et l'autre "dans la zone de Saraain al-Tahta et dans les bâtiments environnants"
Le maire Ahmad Kahil, qui se trouvait dans la municipalité avec plusieurs autres responsables pour une réunion du comité de crise local, figure parmi les morts
Le matin, l'aviation israélienne, en guerre ouverte avec le Hezbollah depuis près d'un mois au Liban, a mené "onze frappes sur Nabatiyeh et ses environs", considérés comme un bastion de la formation
Dans le cas du conflit actuel au Proche-Orient, les termes prédominants sont au nombre de deux : « cessez-le feu » et « désescalade »
Des termes simples, répétés quotidiennement depuis le 8 octobre 2023, par les diplomaties concernées, mais en réalité hors de portée pour l’instant, tant les enjeux sont divers et compliqués