L'Espagne, comme le Portugal voisin, est frappée cet hiver par une aridité précoce et extrême en raison de la faible pluviométrie enregistrée en janvier
la situation ne devrait pas s'améliorer dans les prochains jours, puisque les prévisions météorologiques des deux pays font état de précipitations en dessous des moyennes de saison
Près de cent trente mille Iraniens ont succombé au virus et, avec très peu de personnes vaccinées, le nombre de morts devrait continuer de grimper
L’investiture en août du président iranien, Ebrahim Raïssi – un partisan de la ligne dure choisi par Ali Khamenei et directement impliqué dans des crimes contre l’humanité – n’a fait qu’exacerber la douleur des Iraniens en 2021
Dimanche, plus d'un millier de personnes ont défilé vers le siège du gouvernorat de la même province, pour appeler les responsables à mettre fin à « leurs projets de transfert d'eau de la province vers d'autres régions voisines »
Le président iranien Ebrahim Raïssi avait promis le 11 novembre de résoudre le problème de l'eau à Ispahan, Yazd et Semnan, dans la même région
L'eau de mer montante dans le lit de la Moulouya pousse les riverains à abandonner l'exploitation de leurs terres à cause d'un excès de salinité
Impact direct du phénomène, accentué par la sécheresse: sur la rive droite, dans la commune rurale de Karbacha, les melons sont jaune pâle et difformes
Les récentes pluies ont largement épargné l'ouest de la Tunisie où se trouve ce barrage, tombé ces derniers jours à un plus bas historique de 17% de sa capacité. A l'échelle du pays, les barrages sont à seulement 31% de leur remplissage maximal
Les périodes de sécheresse sont de plus en plus longues et intenses, ce qui préoccupe nombre de cultivateurs comme Ali Fileli, 54 ans, qui exploite 22 hectares près de Kairouan, dans le centre semi-aride de la Tunisie
les champs à Ninive, au Kurdistan d'Irak voisin et en Syrie toute proche se sont progressivement asséchés l'été dernier pour ne plus ressembler qu'à des amoncellements de poussières impropres à la culture
Outre le déficit en pluies, l'Irak souffre de la baisse du niveau des cours d'eau, dont ceux du Tigre et de l'Euphrate, provoquée par les barrages construits en amont en Turquie et en Iran