Les films «Barbie» et «Oppenheimer» partent favoris dimanche pour les Golden Globes en pleine quête de renouveau, après des accusations de racisme et de corruption
Le battage médiatique autour du phénomène «Barbenheimer» tombe à pic pour les Golden Globes, récemment rachetés et réformés par des investisseurs privés
Le physicien de 67 ans décrit dans son ouvrage une sorte d'entonnoir, invisible à tout observateur extérieur, qui devient avec le temps de plus en plus long et étroit, et au fond duquel se trouve l'étoile ayant donné naissance au trou noir
La géométrie de cet espace «ressemble beaucoup à celle de l'Enfer de Dante» Alighieri, écrit Carlo Rovelli
Porté par le duo Margot Robbie et Ryan Gosling, le film Barbie a réuni plus de 940 000 spectateurs pour sa troisième semaine dans les salles, soit au total près de quatre millions de spectateurs
Sans surprise, il est suivi de près par Oppenheimer, la nouvelle œuvre de Christopher Nolan qui dresse le portrait tortueux du physicien américain ayant conçu la bombe atomique
«La dévastation causée par les armes nucléaires à Hiroshima et Nagasaki ne peut jamais se répéter», a déclaré le Premier ministre Fumio Kishida lors d'une cérémonie à Hiroshima
«Le chemin vers cet objectif devient de plus en plus difficile en raison des divisions croissantes au sein de la communauté internationale sur le désarmement nucléaire et la menace nucléaire de la Russie», a-t-il déploré
Très attendu, le film retrace en 03H00 les moments clés de la vie de Robert Oppenheimer (1904-1967), un physicien qui a marqué l'histoire des États-Unis et du XXe siècle
Celui qui a contribué à faire entrer le monde dans une nouvelle ère: celle du nucléaire