Le «Hirak» irakien, une révolte de jeunes qui ont «grandi dans un espace de liberté»

Un étudiant irakien agite le drapeau national lors d'une manifestation antigouvernementale dans la ville méridionale de Bassorah le 31 décembre 2019. Hussein FALEH / AFP
Un étudiant irakien agite le drapeau national lors d'une manifestation antigouvernementale dans la ville méridionale de Bassorah le 31 décembre 2019. Hussein FALEH / AFP
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Publié le Vendredi 30 avril 2021

Le «Hirak» irakien, une révolte de jeunes qui ont «grandi dans un espace de liberté»

  • Le 1er octobre 2019, une vague de manifestations, l’une des plus importantes de son histoire moderne, déferle sur l’Irak
  • Les chercheurs en Irak n'hésitent pas à qualifier le mouvement d'octobre 2019 de «révolution», bien qu’il n’ait pas réussi à renverser le régime ou à provoquer un changement politique notable

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Irak, Algérie, Liban: ces trois pays arabes ont connu ces deux dernières années des mouvements de contestation populaire ou «Hiraks». Survenus près d’une décennie après les soulèvements des Printemps arabes, ces mouvements ont la particularité d’être portés par une nouvelle génération plus jeune, plus virulente contre le pouvoir, et plus en harmonie avec son époque. Mais elle est surtout nettement mieux équipée pour exploiter et manœuvrer les modes de «communication 2.0», en l’occurrence les réseaux sociaux, à des fins de mobilisation politique. Dans une série d’articles, Arab News en français se penche, à l’aide de spécialistes de chacun de ces trois pays, sur ces Hiraks qui, bien qu’ils s’inscrivent dans la même époque et se réclament d’une même mouvance, affichent chacun des particularités très spécifiques aux défis sociaux, politiques et économiques de Bagdad, d’Alger et de Beyrouth.

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BERLIN : Le 1er octobre 2019, une vague de manifestations, l’une des plus importantes de son histoire moderne, déferle sur l’Irak. Les autorités lui opposeront une violence inouïe qui va entraîner la mort de plus de 600 manifestants et faire plus de 20 000 blessés, sans compter la disparition forcée de dizaines de figures du mouvement de contestation.

Les crises qui ont culminé avec le soulèvement subsistent à ce jour. Des gouvernorats au centre et au sud de l'Irak sont d’ailleurs le théâtre d’un mouvement de protestation d’un grand nombre de secteurs, qui réclament de meilleurs services publics et la création d’emplois. Éradiquer la corruption, licencier et traduire en justice des responsables et des fonctionnaires impliqués dans le détournement et la dilapidation de fonds publics comptent également parmi leurs exigences.

Un «Printemps» en Irak

La vigueur et l’ampleur des manifestations de 2019 en Irak ne sont pas sans rappeler celles du Printemps arabe, qui ont pris d’assaut les pays de la région éponyme en 2011 et précipité dans leur sillage les régimes solidement ancrés de la Tunisie, de l’Égypte, de la Libye et du Yémen. Seulement, en Irak, les manifestations n'ont pas abouti à la chute complète du régime, mais seulement au renversement du gouvernement de l'ancien Premier ministre Adel Abdel-Mehdi.

Mounqeth Dagher
Mounqeth Dagher, directeur de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord, membre du conseil d'administration à Gallup International et chroniqueur régulier pour le Washington Institute. (Photo fournie)

Dans un entretien avec Arab News, Mounqeth Dagher, le directeur de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord et membre du conseil d'administration à Gallup International, s’est prêté à un exercice de comparaison entre les vastes manifestations en Irak et les révolutions du Printemps. «Les similitudes entre le mouvement d'octobre et les révolutions du Printemps arabe sont plus nombreuses que les divergences», précise-t-il.

 

Ces jeunes ont grandi dans un espace de liberté, contrairement aux générations précédentes qui ont vécu sous le joug de régimes sévères

Mounqeth Dagher

«Dans les deux cas, l'étincelle des manifestations jaillit de revendications, principalement économiques», qui, pour Dagher, se sont transformées plus tard en «détonateur de la révolution des masses populaires».

Le directeur du Centre de réflexion politique en Irak, Ihsan al-Shammari, identifie pour sa part une particularité du mouvement irakien qui le place à ses yeux à l’écart des révolutions du Printemps arabe.

irak
Ihsan al-Shammari, analyste politique irakien et directeur du Centre de réflexion politique en Irak. (Photo fournie)

«La divergence en Irak réside dans le discours sectaire alimenté par les forces politiques, ainsi que dans la transformation de l'Irak en un État tributaire de l'Iran. En contrepartie, le peuple irakien est impatient de se libérer du modèle établi par le régime politique post-2003», précise Al-Shammari.

«Nous voulons une patrie» et «Que la malédiction s’abatte sur l'Iran comme sur l'Amérique» comptent parmi les slogans les plus prisés au sein du mouvement de contestation irakien. Le fait de scander ces mots confère au soulèvement une dimension qui dépasse les notions de services ou d’économie et qui réoriente les revendications pour les inscrire dans le cadre du respect de la souveraineté de l'Irak, loin des arcs de l'Iran et des États-Unis, dans la perspective d’un nouveau contrat social avec les pouvoirs politique.

C'est bien une révolution!

À vrai dire, les chercheurs en Irak n'hésitent pas à qualifier le mouvement d'octobre 2019 de «révolution», bien qu’il n’ait pas réussi à renverser le régime ou à provoquer un changement politique notable comme celles du Printemps arabe.

Dagher attribue la divergence entre le bilan du Printemps arabe et celui du mouvement irakien à un facteur supplémentaire: «Les pays arabes qui ont connu des révolutions bénéficiaient de l’existence de forces de l’opposition, ce qui n'était pas le cas en Irak. Les partis au pouvoir ont donc pu résister aux manifestations.»

Dagher, chroniqueur régulier pour le Washington Institute, estime néanmoins que «l’exploit le plus important du mouvement irakien aura été de vaincre la peur et de rassembler les manifestants derrière les mêmes slogans».

«Les jeunes ont eu pour la première fois l’occasion de mesurer l'importance de leurs actions. Ils ont pu ainsi affronter le régime, renverser le gouvernement, influencer le Parlement et ébranler le système politique. C’est une première dans l'histoire politique moderne de l'Irak», explique-t-il.

 

La divergence en Irak réside dans le discours sectaire alimenté par les forces politiques, ainsi que dans la transformation de l'Irak en un État tributaire de l'Iran. Le peuple irakien est impatient de se libérer du modèle établi par le régime politique post-2003

Ihsan al-Shammari

Al-Shammari, bien connu des Irakiens en raison de ses passages fréquents sur les plateaux des émissions télévisées, estime que «la prouesse la plus notable du mouvement d'octobre est la conscientisation du public à grande échelle et le démantèlement des tabous de la peur, du sacré et de l'autorité».

Al-Shammari pousse plus loin son raisonnement et affirme à Arab News que «le mouvement a rapatrié le pouvoir décisionnel et l’a rendu à la société, ce qui lui a permis de renverser le gouvernement d'Adel Abdel-Mehdi».

Contrairement à Dagher qui n’en perçoit pas les résultats tangibles, Al-Shammari insiste sur le fait que «le mouvement a réussi à obtenir une nouvelle loi électorale, des élections anticipées, en plus de générer de nouveaux votes». Même le nouveau gouvernement dirigé par Moustafa al-Kazimi est le fruit du mouvement Tishreen, qu’il reflète ou non les revendications des manifestations, affirme-t-il.

Une génération entêtée

Un période de huit ans sépare le mouvement d'octobre des révolutions du Printemps arabe, pendant laquelle la corruption, l'insécurité, la chute des revenus, la pauvreté et le chômage ont pris de l’ampleur. Alors, pourquoi les Irakiens ont-ils donc retardé leur contestation? «Je ne pense pas que le mouvement soit en retard», répond Ihsan al-Shammari.

Al-Shammari, qui a occupé le poste de conseiller dans le gouvernement de l'ancien Premier ministre Haïder al-Abadi, rappelle que «plusieurs mouvements ont eu lieu en 2011 et 2015. Celui de 2019 était toutefois plus réfléchi et ses motivations plus sérieuses, en réaction à une sphère politique qui, non contente d’avoir transformé l'Irak en un État satellite voué à l’échec, avait dépassé les bornes en termes de corruption et de déliquescence des services».

En outre, la génération de jeunes qui viendra plus tard nourrir les flammes du mouvement évoluait encore à l’époque et développait ses outils. Ces jeunes ont «grandi dans un espace de liberté, contrairement aux générations précédentes qui ont vécu sous le joug de régimes sévères», explique Dagher.

Ce dernier ajoute: «Cette génération est tournée vers le monde, elle apprend facilement et profite des expériences et des erreurs des autres pays C’est la génération de la technologie, de la vitesse et des décisions prises rapidement, contrairement aux générations précédentes, lestées par les opinions de la famille, les anciens, etc.»

Al-Shammari ne tarit pas d’éloges au sujet de cette «génération prometteuse et fiable, car elle a cassé le sacré et ses figures, comme les personnalités religieuses et politiques. Cela nous donne l'espoir d’un avenir meilleur».

Briser le monopole politique

Du mouvement de contestation sont nés des dizaines de nouveaux partis politiques. Certains se préparent d’ailleurs aux élections anticipées prévues au mois d’octobre 2021, parce que «cette génération veut briser le monopole politique détenu par le pouvoir», déclare Al-Shammari .

Pour autant, la voie des jeunes vers le Parlement et le gouvernement n’apparaît pas si dégagée. En effet, les conditions politiques ne sont pas optimales et l'intégrité des élections ne peut être garantie en raison de la prolifération des factions armées dans la majorité des villes. Les forces politiques utilisent des fonds publics pour soudoyer les électeurs et tenter d'influencer le scrutin, en plus de l’éventualité de fraude électorale.

Al-Shammari estime hâtif l’empressement des protestataires à créer des formations politiques et il justifie sa position par une situation qui «n’est pas favorable à l’action politique en ce qui les concerne».

Quoi qu’il en soit, en Irak, la participation aux élections ne semble pas être le seul outil dont dispose la génération de la contestation. Des gouvernorats tels que Dhi Qar ou Bassora insufflent toujours la vie à de vastes manifestations. Cette flamme risque d’embraser à nouveau le reste de d'Irak si les revendications ne sont pas satisfaites à court terme.


La culture et l'histoire du Royaume sont célébrées dans le cadre de l'événement « Mémoire de la terre »

Le ministère de la Culture d'Arabie saoudite a organisé un événement intitulé « Mémoire de la terre », qui se déroule jusqu'à dimanche dans plusieurs régions du Royaume pour commémorer la Journée de la fondation. (SPA)
Le ministère de la Culture d'Arabie saoudite a organisé un événement intitulé « Mémoire de la terre », qui se déroule jusqu'à dimanche dans plusieurs régions du Royaume pour commémorer la Journée de la fondation. (SPA)
Le ministère de la Culture d'Arabie saoudite a organisé un événement intitulé « Mémoire de la terre », qui se déroule jusqu'à dimanche dans plusieurs régions du Royaume pour commémorer la Journée de la fondation. (SPA)
Le ministère de la Culture d'Arabie saoudite a organisé un événement intitulé « Mémoire de la terre », qui se déroule jusqu'à dimanche dans plusieurs régions du Royaume pour commémorer la Journée de la fondation. (SPA)
Le ministère de la Culture d'Arabie saoudite a organisé un événement intitulé « Mémoire de la terre », qui se déroule jusqu'à dimanche dans plusieurs régions du Royaume pour commémorer la Journée de la fondation. (SPA)
Le ministère de la Culture d'Arabie saoudite a organisé un événement intitulé « Mémoire de la terre », qui se déroule jusqu'à dimanche dans plusieurs régions du Royaume pour commémorer la Journée de la fondation. (SPA)
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  • L'événement fait revivre le patrimoine à travers des expositions, de la musique, de l'artisanat et des expériences interactives.
  • Organisé près du parc du roi Abdulaziz, il propose une série d'activités inspirées par le patrimoine naturel et culturel de l'Arabie saoudite.

RIYAD : Le ministère de la Culture d'Arabie saoudite a organisé une manifestation intitulée « Mémoire de la terre », qui se déroule jusqu'à dimanche dans plusieurs régions du Royaume pour commémorer la Journée de la fondation.

L'événement propose un voyage immersif à travers la riche histoire et le patrimoine culturel du pays, avec des expositions interactives, des spectacles musicaux et des démonstrations d'artisanat qui, selon un rapport de l'agence de presse saoudienne, « donnent vie aux récits historiques ».

À Qassim, une zone est réservée aux enfants et propose des expériences attrayantes pour découvrir l'histoire du Royaume, tandis qu'un espace familial comprend des « activités de divertissement telles que des puzzles et des jeux passionnants », selon la SPA.

L'événement comprend également des spectacles musicaux, des expositions d'arts du spectacle, un espace de restauration pour tous les publics et une section d'artisans soutenant l'initiative de l'Année de l'artisanat.

L'événement a pour but de mettre en valeur le patrimoine culturel du Royaume, de raviver les célébrations de sa fondation et de renforcer la prise de conscience nationale de son histoire.

Dans la région du nord du pays, des expositions comprenant des stations interactives détaillent les étapes importantes qui ont façonné l'État saoudien. 

L'événement vise à sensibiliser la population nationale en recréant des événements, des personnages et des costumes historiques, tout en mettant en valeur le patrimoine culturel grâce à un mélange de styles traditionnels et modernes, a déclaré la SPA.

La zone des artisans a présenté les compétences de ces derniers, offrant aux visiteurs un aperçu du riche patrimoine artisanal du Royaume. Une zone pour les enfants proposait des leçons d'histoire interactives, et il y avait également une zone familiale avec des puzzles et des jeux.

À Najran, l'événement a attiré un nombre « remarquable » de citoyens et de résidents qui ont pu « explorer la création de l'État saoudien à travers des éléments clés de l'histoire, de la culture et du patrimoine, ainsi que des personnages notables et des vêtements traditionnels », a rapporté l'agence SPA.

Organisé près du parc du roi Abdulaziz, l'événement proposait une série d'activités inspirées par le patrimoine naturel et culturel de l'Arabie saoudite. L'espace réservé aux artisans a été l'un des points forts de l'événement, avec la présentation d'objets traditionnels tels que les brûleurs d'encens et le tissage Sadu, ainsi que l'Al-Khous, une méthode de tissage traditionnelle utilisant des feuilles de palmier, qui constitue une part importante du patrimoine culturel et social de Najran. 

« Le processus consiste à les couper, les laver, les sécher et les empaqueter, puis à les tremper dans l'eau pour les ramollir. Elles sont ensuite cousues ensemble, façonnées en tissu et soigneusement découpées pour éliminer les épines. Une fois préparées, les frondes sont colorées et transformées en produits finis », explique la SPA.

À Jazan, les habitants ont exprimé leur fierté nationale en portant des vêtements traditionnels et en arborant des drapeaux et des symboles saoudiens. Accompagnés de leurs parents, les enfants ont pu explorer l'événement et découvrir l'histoire de l'Arabie saoudite, qui s'étend sur plus de trois siècles.

L'événement comprenait également une série d'activités s'inspirant des éléments naturels et culturels de l'Arabie saoudite et apportant une touche de modernité. 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Le président du Conseil de la Choura dirige la délégation saoudienne à la conférence du Parlement arabe

Le président du Conseil de la Shoura, Cheikh Abdullah bin Mohammed bin Ibrahim Al-Sheikh, a conduit la délégation saoudienne à la septième conférence du Parlement arabe et des présidents des conseils et parlements arabes, qui s'est tenue  samedi au siège de la Ligue des États arabes au Caire. (SPA
Le président du Conseil de la Shoura, Cheikh Abdullah bin Mohammed bin Ibrahim Al-Sheikh, a conduit la délégation saoudienne à la septième conférence du Parlement arabe et des présidents des conseils et parlements arabes, qui s'est tenue samedi au siège de la Ligue des États arabes au Caire. (SPA
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  • La conférence a porté sur le renforcement de l'unité parlementaire arabe, avec un point clé de l'ordre du jour consacré au soutien du peuple palestinien.
  • Les participants ont travaillé à la formulation d'une position parlementaire arabe unifiée pour défendre les droits des Palestiniens.

Le Caire : Cheikh Abdullah bin Mohammed bin Ibrahim Al-Sheikh, président du Conseil de la Choura, a conduit la délégation saoudienne à la 7e Conférence du Parlement arabe et des présidents des conseils et parlements arabes.

La conférence, qui s'est tenue samedi au siège de la Ligue des États arabes au Caire, portait sur le renforcement de l'unité parlementaire arabe.

Un point de l'ordre du jour était consacré au soutien du peuple palestinien et au rejet de toute proposition de déplacement forcé. Dans le cadre des discussions, les participants ont travaillé à la formulation d'une position parlementaire arabe unifiée pour défendre les droits des Palestiniens. Le résultat a été la publication d'un plan d'action parlementaire arabe unifié décrivant les mesures concrètes que les parlementaires arabes pourraient prendre.

Avant son approbation officielle, les présidents des conseils et parlements arabes ont tenu une session consultative à huis clos pour finaliser les principaux aspects du plan, qui sera soumis au sommet arabe pour adoption.

La délégation du Royaume à la conférence comprenait le secrétaire général du Conseil de la Choura, Mohammed bin Dakhil Al-Mutairi, ainsi que les membres du Conseil Saad bin Salib Al-Otaibi, Tariq bin Saeed Al-Shammari, Hanan bint Abdullah Al-Sammari, Abdullah bin Abdulaziz bin Aifan et Amal bint Abdulaziz Al-Hazani.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L'ambassade saoudienne en Syrie célèbre le jour de la fondation du Royaume

Le vice-ministre des affaires étrangères, Yasser Al-Jundi, des membres du corps diplomatique accrédité en Syrie et un groupe d'hommes d'affaires et d'intellectuels ont assisté à la célébration. (Photo Fournie)
Le vice-ministre des affaires étrangères, Yasser Al-Jundi, des membres du corps diplomatique accrédité en Syrie et un groupe d'hommes d'affaires et d'intellectuels ont assisté à la célébration. (Photo Fournie)
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  • Le vice-ministre syrien des Affaires étrangères, Yasser Al-Jundi, ainsi que des membres du corps diplomatique accrédité en Syrie et un groupe d'hommes d'affaires et d'intellectuels ont assisté à la célébration.
  • Le ministre saoudien des Communications et des Technologies de l'information, Abdullah Al-Swaha, a rencontré des cadres supérieurs de grandes entreprises mondiales lors de la Future Investment Initiative à Miami.

DAMAS : L'ambassade d'Arabie saoudite en République arabe syrienne a organisé une réception à l'occasion de la Journée de la fondation du Royaume à son siège dans la capitale syrienne, Damas.

Le vice-ministre syrien des Affaires étrangères, Yasser Al-Jundi, ainsi que des membres du corps diplomatique accrédité en Syrie et un groupe d'hommes d'affaires et d'intellectuels ont assisté à la célébration, a rapporté samedi l'agence de presse saoudienne.

Parallèlement, le ministre saoudien des Communications et des Technologies de l'information, Abdullah Al-Swaha, a tenu des réunions de haut niveau avec des cadres supérieurs de grandes entreprises mondiales lors de la Future Investment Initiative à Miami, afin de renforcer les partenariats dans les domaines de la technologie, de l'intelligence artificielle, de l'investissement et du secteur spatial.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com