Alstom sur la bonne voie pour renforcer sa présence en Arabie saoudite

Alstom a fourni 69 trains pour le métro de Riyad et un système de signalisation Urbalis. Les lignes 3, 4, 5 et 6 du projet ont été construites par Alstom et ses partenaires (Photo, AN)
Alstom a fourni 69 trains pour le métro de Riyad et un système de signalisation Urbalis. Les lignes 3, 4, 5 et 6 du projet ont été construites par Alstom et ses partenaires (Photo, AN)
Alstom a fourni 69 trains pour le métro de Riyad et un système de signalisation Urbalis. Les lignes 3, 4, 5 et 6 du projet ont été construites par Alstom et ses partenaires (Photo, AN)
Alstom a fourni 69 trains pour le métro de Riyad et un système de signalisation Urbalis. Les lignes 3, 4, 5 et 6 du projet ont été construites par Alstom et ses partenaires (Photo, AN)
Alstom a fourni 69 trains pour le métro de Riyad et un système de signalisation Urbalis. Les lignes 3, 4, 5 et 6 du projet ont été construites par Alstom et ses partenaires (Photo, AN)
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Publié le Lundi 19 avril 2021

Alstom sur la bonne voie pour renforcer sa présence en Arabie saoudite

  • Le fournisseur français a participé à plusieurs autres projets clés dans le Royaume
  • «Nous sommes actifs depuis des décennies et avons joué un rôle essentiel dans le secteur de l’énergie du Royaume»

RIYAD: Le fournisseur français de technologies de transport Alstom, qui travaille déjà sur le projet de métro de Riyad, vise une expansion en Arabie Saoudite. 

Andrew DeLeone, président d'Alstom pour l'Afrique, le Moyen-Orient et l'Asie centrale, déclare à cet effet que la société est un partenaire de longue date de l'Arabie saoudite. 

«Nous sommes actifs depuis des décennies et avons joué un rôle essentiel dans le secteur de l’énergie du Royaume», affirme-t-il à Arab News. «Nous avons installé la première turbine à gaz du Royaume en 1951. Nous sommes l'un des plus grands acteurs technologiques du programme du métro de Riyad, qui est l'un des plus grands systèmes de transport public au monde. Nous fournissons des solutions et les lignes 3, 4, 5 et 6 du métro de Riyad ont été construites par Alstom et ses partenaires civils, dans le cadre du consortium Fast. Le système est conçu pour fournir une couverture complète, à l'échelle de la ville, des transports en commun», ajoute-t-il. 

Le journal Al-Eqtisadiah a rapporté en janvier dernier que le métro de Riyad serait lancé au troisième trimestre de cette année. 

Lorsqu'il sera pleinement opérationnel, il comprendra six lignes d'une longueur totale de 176 km et 85 stations. Même après son lancement, Alstom continuera à fournir des services pour le métro. 

«Nous resterons à Riyad pendant de nombreuses années dans le cadre de l’exploitation et de la maintenance de ces quatre lignes ainsi qu’en tant que présence majeure dans le système de métro», a ajouté M. DeLeone. 

Alstom a fourni 69 trains pour le métro de Riyad et un système de signalisation Urbalis. La compagnie a également mis en œuvre la technologie Hesop (harmonic energy saver) pour ce projet. Le système Hesop récupère l'énergie électrique générée par les trains lors du freinage ce qui, outre la réduction des coûts d'exploitation, permettra de réduire de près de 3 millions de kilos les émissions de carbone. Cette technologie permettra également la diminution de la consommation d'énergie à hauteur de 6,6 millions de kilowatts par an. 

Alstom a également un certain nombre d'autres projets dans son portefeuille saoudien. 

EN BREF

  • Alstom a installé la première turbine à gaz du Royaume en 1951. 
  • C'est l'un des plus grands acteurs technologiques du programme du métro de Riyad. 
  • Alstom a fourni les composants clés des trains à grande vitesse qui relient La Mecque et Médine. 

«Nous fournirons également des solutions en matière de transport pour le quartier financier du roi Abdallah lorsque le projet reprendra et s'achèvera. Nous avons fourni les principaux composants des trains à grande vitesse qui relient La Mecque et Médine. Nous livrerons également le système de transfert de personnes dans le Royaume, sur le modèle de celui en service actuellement à l'aéroport de Djeddah.» 

Andrew DeLeone souligne les importants progrès réalisés par l’Arabie saoudite dans les solutions technologiques sans conducteur. 

«Nous le remarquons déjà à l'aéroport de Djeddah où notre système de transfert de personnes est sans conducteur. Notre système de monorail est également sans conducteur. De même que celui du métro de Riyad. Ce système est un élément central du métro de Riyad.» 

L'Arabie saoudite s’engage à développer 10 000 km supplémentaires de voies ferrées et de métro d'ici à 2030. L'un des éléments principaux de cet engagement étant son ambition de montrer la voie en matière de réduction des émissions liées aux transports et de désengorgement du trafic. Avec pour objectif sur le long terme d'améliorer la santé et la qualité de vie de ses résidents. De son côté, M. DeLeone est convaincu qu'Alstom pourra prendre en charge encore plus de projets dans le Royaume et dans la région. 

«Alstom a obtenu une prolongation de contrat de service de cinq ans pour les systèmes automatisés de transfert de personnes dans les aéroports de Dubaï et pour fournir des services complets d'exploitation et de maintenance. Nous avons un contrat similaire à l'aéroport de Djeddah. Malgré la pandémie, notre technologie et nos services connaissent la croissance. Nous fournirons aussi les tramways pour la ville de Casablanca.» 

La semaine dernière, lors d'un webinaire organisé par la Future Investment Initiative, le gouverneur du Fonds d'investissement public saoudien (PIF), Yasir al-Rumayyan, a déclaré que les programmes environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) sont d’une très grande utilité pour les entreprises du Royaume et du monde entier. 

Il convient de souligner qu’Alstom a déjà fait beaucoup de progrès dans le développement de modes de transport durables et verts. 

«Aujourd'hui est un grand jour pour Alstom, avec notre première commande de trains à hydrogène en France, qui constitue une étape historique dans notre leadership autour d'une mobilité urbaine durable sans dioxyde de carbone (CO2). Le train bimode électrique-hydrogène marquera une étape essentielle dans la réduction des émissions de CO2 du transport ferroviaire et dans le développement d’un écosystème de l’hydrogène», déclare M. DeLeone. 

En janvier, Alstom a fusionné avec la société canadienne Bombardier. 

Selon Reuters, la valeur de l'opération s'élèverait à près de 5,5 milliards d'euros (6,7 milliards de dollars) et le chiffre d’affaires du conglomérat devrait être de 15,7 milliards d'euros avec un carnet de commandes de 71,1 milliards d'euros. Il emploiera également quelque 75 000 personnes dans 70 pays. 

Le Royaume et la région au sens large constituent une zone importante pour la nouvelle entité combinée, avec plus de 1 500 personnes réalisant des projets majeurs à Riyad, Dubaï et au Qatar, selon Andrew DeLeone. 

«Un grand pourcentage de nos travailleurs se trouvent en Arabie saoudite, ou ils exécutent les programmes, et nous nous réjouissons de cette croissance. C'est un endroit où nous pouvons développer notre activité, nous allons donc accroître la présence de nos employés, de nos fournisseurs ainsi que notre impact local.» 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur arabnews.com 


Dernier jour de la COP29, bras de fer Nord-Sud sur la finance climatique

Les participants passent devant le logo de la COP29 lors de la Conférence des Nations Unies sur le changement climatique (COP29) à Bakou, en Azerbaïdjan, le 21 novembre 2024. (AFP)
Les participants passent devant le logo de la COP29 lors de la Conférence des Nations Unies sur le changement climatique (COP29) à Bakou, en Azerbaïdjan, le 21 novembre 2024. (AFP)
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  • Les négociateurs de près de 200 pays, frustrés de deux semaines de tractations stériles, attendent vendredi d'ultimes propositions de compromis financier
  • Le prochain projet de texte est promis pour midi heure locale (08H00 GMT), selon la présidence de la COP29, ce qui lancera un nouveau round de pourparlers en vue d'un texte final dans la soirée de vendredi

BAKOU: La journée sera longue à Bakou: les négociateurs de près de 200 pays, frustrés de deux semaines de tractations stériles, attendent vendredi d'ultimes propositions de compromis financier entre pays riches et en développement à la conférence sur le changement climatique de l'ONU en Azerbaïdjan.

"Nous percevons des lueurs d'espoir", a résumé la négociatrice allemande Jennifer Morgan. "Mais des lueurs d'espoir ne suffisent pas, car il y a aussi des pilules empoisonnées".

Un journaliste de l'AFP a observé dans la soirée de jeudi de nombreuses allées et venues de ministres et diplomates entre les bureaux des délégations brésilienne, européenne, américaine, chinoise... et de la présidence azerbaïdjanaise du sommet. Un délégué européen confirme que les consultations de haut niveau se sont poursuivies jusque très tard dans la nuit.

Le prochain projet de texte est promis pour midi heure locale (08H00 GMT), selon la présidence de la COP29, ce qui lancera un nouveau round de pourparlers en vue d'un texte final dans la soirée de vendredi, au dernier moment.

Vendredi au petit-déjeuner, le négociateur d'un grand pays a indiqué à l'AFP que le texte était "en train d'être poli".

La question centrale, au "stade olympique" de Bakou, est de déterminer combien d'argent les pays développés, au nom de leur responsabilité historique dans le dérèglement climatique, accepteront de transférer aux pays en développement, pour les aider à affronter un climat plus destructeur et à investir dans les énergies bas carbone.

"Nous ne demandons qu'1% du PIB mondial. Est-ce trop demander pour sauver des vies?" demande Juan Carlos Monterrey Gomez, négociateur du Panama.

Depuis le début du sommet, le 11 novembre, des tempêtes ont tué des Philippines au Honduras, l'Espagne panse ses plaies après des inondations meurtrières, l'Equateur a déclaré l'urgence nationale à cause de la sécheresse et des incendies....

- "Au moins" 500 milliards -

L'arrière-plan inédit de cette 29e COP est une année 2024 qui sera vraisemblablement la plus chaude jamais mesurée. Et, neuf ans après l'accord de Paris, l'humanité va encore brûler plus de pétrole, de gaz et de charbon que l'année passée.

Un projet d'accord publié jeudi matin a mécontenté tout le monde car, à la place de chiffres figuraient des "X", et parce qu'il ne tranchait pas entre deux visions très opposées.

L'heure est venue des chiffres, mais combien? "Au moins" 500 milliards de dollars par an de la part des pays développés d'ici 2030, demande la plus grande alliance de pays en développement. A comparer aux 116 milliards de finance climatique fournie en 2022.

Les Européens, premiers contributeurs mondiaux, répètent qu'ils veulent "continuer à montrer la voie": un terme soigneusement choisi, venu directement de l'accord de Paris, en signe de bonne volonté. Mais le resserrement budgétaire limite leur marge de manœuvre.

Les Américains se sont dits "profondément inquiets" du dernier texte. Le commissaire européen Wopke Hoekstra a dénoncé un travail "inacceptable".

"Pourrais-je vous demander, s'il vous plaît, de montrer du leadership?" a-t-il lancé au président de la COP29, le ministre Moukhtar Babaïev, ancien cadre de la compagnie pétrolière azerbaïdjanaise.

Américains et Européens n'ont pas encore révélé combien ils étaient prêts à payer.

- La Chine refuse toute obligation -

"Ils tournent en rond dans leurs jeux géopolitiques", a déploré la ministre colombienne Susan Muhamad.

Les pays développés négocient en fait en parallèle davantage d'"ambition" pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, mais s'opposent aux pays producteurs de pétrole comme l'Arabie saoudite. Le groupe arabe a explicitement prévenu qu'il n'accepterait aucun texte ciblant "les combustibles fossiles".

Ce qui fait désordre un an après la COP28 de Dubaï, qui a appelé à lancer la transition vers la sortie des combustibles fossiles.

En public, les pays donnent de la voix. Mais en coulisses, Chinois, Occidentaux, Etats insulaires... Tous se parlent encore.

Le ministre irlandais Eamon Ryan confie à l'AFP qu'"il y a de l'espace pour un accord".

La Chine, clé pour trouver l'équilibre entre Occidentaux et Sud, a appelé "toutes les parties à se retrouver à mi-chemin".

Pékin a toutefois tracé une ligne rouge: elle ne veut aucune obligation financière. Pas question de renégocier la règle onusienne de 1992 qui stipule que la responsabilité de la finance climatique incombe aux pays développés.

Les délégués se préparent déjà à une prolongation samedi. Une tradition des COP.


Le Saudi French Business Council collabore avec CCI France UAE pour accueillir une délégation française

Le Saudi French Business Council (CAFS) collabore avec CCI France UAE pour organiser la visite d'une délégation française. (AFP)
Le Saudi French Business Council (CAFS) collabore avec CCI France UAE pour organiser la visite d'une délégation française. (AFP)
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  • Cette réunion d'accueil donnera lieu à des présentations de l'économie saoudienne et de l'environnement des affaires par l'Ambassade de France et les membres du CAFS
  • Elle se terminera par un déjeuner de réseautage qui donnera l'occasion aux participants de se rencontrer et d'élargir leurs réseaux d'affaires

RIYAD: Le Conseil d'affaires franco-saoudien collabore avec CCI France UAE pour organiser la visite d'une délégation française.

Cette réunion d'accueil donnera lieu à des présentations de l'économie saoudienne et de l'environnement des affaires par l'Ambassade de France et les membres du CAFS.

Elle se terminera par un déjeuner de réseautage qui donnera l'occasion aux participants de se rencontrer et d'élargir leurs réseaux d'affaires.


Les secteurs industriel et minier saoudiens offrent des opportunités lucratives aux entrepreneurs

Bandar ben Ibrahim Alkhorayef s'exprimant lors du Misk Global Forum 2024. (SPA)
Bandar ben Ibrahim Alkhorayef s'exprimant lors du Misk Global Forum 2024. (SPA)
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  • Les secteurs industriel et minier de l'Arabie saoudite recèlent des opportunités prometteuses pour les jeunes et les entrepreneurs, a insisté le ministre de l'industrie du Royaume
  • S'exprimant lors du Misk Global Forum 2024 à Riyad, Bandar ben Ibrahim Alkhorayef a déclaré que ces opportunités vont au-delà de l'investissement direct et comprennent le développement d'idées innovantes

DJEDDAH: Les secteurs industriel et minier de l'Arabie saoudite recèlent des opportunités prometteuses pour les jeunes et les entrepreneurs, a insisté le ministre de l'industrie du Royaume.

S'exprimant lors du Misk Global Forum 2024 à Riyad, Bandar ben Ibrahim Alkhorayef a déclaré que ces opportunités vont au-delà de l'investissement direct et comprennent le développement d'idées innovantes pour améliorer l'efficacité de la production, la qualité de la fabrication et la conservation de l'énergie dans les installations industrielles.

Il a expliqué que les institutions travaillant dans le domaine des ressources industrielles et minérales ont mis en place une série d'outils et d'initiatives pour soutenir la croissance des entreprises et faciliter l'investissement pour les jeunes innovateurs dans les deux secteurs, selon l'Agence de presse saoudienne.

Le Royaume a été classé troisième dans le rapport Global Entrepreneurship Monitor pour 2023-2024 - une étude qui évalue les écosystèmes des pays du monde entier.

L'Arabie saoudite a montré des progrès significatifs, avec son score de l'indice du contexte national de l'entrepreneuriat passant de 5 en 2019 à 6,3 en 2022 et 2023.

L'analyse souligne que cela reflète les efforts fructueux du pays pour diversifier son économie et favoriser un climat propice aux propriétaires d'entreprises. Le rapport met également l'accent sur l'entrepreneuriat féminin, avec huit femmes créant de nouvelles entreprises pour dix hommes en 2023.

Alkhorayef a ajouté que les programmes introduits comprennent des solutions financières, notamment le programme 1K Miles, conçu pour aider les entrepreneurs à transformer leurs idées en projets, et l'Industrial Hackathon, qui permet aux jeunes innovateurs de présenter des solutions créatives aux défis auxquels sont confrontées les installations industrielles.

Le ministre a également souligné que le Royaume est devenu un centre mondial pour les entrepreneurs, leur offrant la possibilité de présenter des idées innovantes et de tester leur succès. Il a souligné que le soutien indéfectible du gouvernement aux jeunes crée de vastes opportunités pour la réussite de leurs projets.

Il a souligné que l'Arabie saoudite s'est récemment concentrée sur l'exploitation de ses atouts stratégiques pour développer son secteur industriel et stimuler sa compétitivité. Il s'agit notamment d'utiliser ses ressources naturelles et ses avancées technologiques pour être compétitif au niveau mondial dans les industries émergentes et s'imposer comme un acteur clé dans les chaînes d'approvisionnement internationales.

Au cours de l'événement de la veille, le coprésident de la Fondation Bill et Melinda Gates, Bill Gates, a souligné le rôle crucial de l'innovation pour relever les défis du développement mondial et améliorer la qualité de vie des populations vulnérables.

Gates a insisté sur l'importance d'investir dans la technologie et l'éducation comme fondement d'un avenir durable, soulignant que de tels investissements permettent aux générations futures d'avoir un impact positif sur leurs communautés.

Il a salué le leadership de l'Arabie saoudite en matière d'autonomisation des jeunes, mettant en avant des initiatives telles que le MGF 2024, qui se concentre sur le développement des compétences des jeunes et la promotion de l'innovation et de l'esprit d'entreprise. Il a qualifié le forum de modèle mondial digne d'être imité.

Gates a également appelé au renforcement de la coopération internationale afin de développer des solutions communes pour relever les défis actuels.

Le coprésident a souligné l'importance d'encourager la créativité, le travail d'équipe et la réflexion collective pour construire un avenir plus durable, en insistant sur le fait que la collaboration mondiale pouvait conduire à des avancées transformatrices qui améliorent la vie de millions de personnes.

Le MGF 2024 a annoncé le lancement de l'initiative "Misk Grand Challenges" en partenariat avec la Fondation Gates, visant à inspirer les jeunes à proposer des solutions innovantes aux problèmes mondiaux d'éducation et de citoyenneté, en encourageant la créativité et en engageant des esprits brillants à relever les défis urgents du développement.

Lors d'une table ronde organisée dans le cadre du forum, Abdallah Al-Saleem, PDG et cofondateur de Mushtari, a donné des indications précieuses sur le moment et la manière dont les entrepreneurs devraient chercher des conseils pour leurs entreprises.

"C'est toujours le bon moment pour demander de l'aide", a déclaré Al-Saleem, soulignant l'importance de l'apprentissage continu et de la consultation dans le développement d'une entreprise.

Il a préconisé une approche à deux volets pour la recherche de conseils, en faisant la distinction entre les consultants généraux en affaires et les experts spécifiques à un secteur.

"Il y a deux personnes auprès desquelles il faut chercher de l'aide: les personnes qui ont une connaissance générale du secteur et les personnes qui ont une connaissance spécifique du secteur", a-t-il ajouté.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com