Eat, Play, Love : Au sommet du monde

Edge of the World (au bout du monde) est un site spectaculaire en Arabie saoudite (Shutterstock)
Edge of the World (au bout du monde) est un site spectaculaire en Arabie saoudite (Shutterstock)
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Publié le Samedi 27 mars 2021

Eat, Play, Love : Au sommet du monde

  • «Avec une hauteur de 300 mètres et une longueur de plus de 700 mètres, Edge of the World offre des panoramas spectaculaires sur l’immensité désertique»
  • Pour les géologues, l’escarpement de Tuwaiq offre une occasion unique d’étudier l’histoire géologique des plus grands champs pétrolifères du monde, dans l’est de l’Arabie saoudite

BENGALURU: Depuis quelque temps, Edge of the World – un lieu magnifique situé dans l’escarpement de Tuwaiq qui traverse le plateau du Nedjd dans centre de l'Arabie saoudite –  est devenu un lieu d’évasion prisé des citadins en quête de repos, loin de la jungle  bétonnée de Riyad.  

Par temps frais, les visiteurs affluent dans la région pour une journée de randonnée, de camping ou de pique-nique. Lors de ma première visite, mon guide pour cette journée était Meteb Almahmoud, le propriétaire d'Amazing Tours. 

Il existe plusieurs autres sites importants le long du trajet de Riyad à Edge of the World, comme l'explique Almahmoud. L'un des plus remarquables est l'ancienne ville de Qaryat al-Faw, située dans les contreforts de l'escarpement de Tuwaiq, près du village de Wadi ad-Dawasir, et surplombant la bordure nord-ouest du Rub’ Al Khali («Le Quart vide»).  

«Du Ier siècle av. J.-C. au IVᵉ siècle de notre ère, Al-Faw était une importante route commerciale», explique-t-il. Avec plusieurs tombes et tumulus encore préservés, le site fournit des informations précieuses sur le peuple et l'histoire de l'Arabie préislamique. Des vestiges, notamment des statues en bronze, des bijoux en argent et en cuivre, ainsi que des pierres précieuses, ont été extraits de la région et exposés au Musée national de Riyad. Actuellement, le site se transforme en attraction touristique. 

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Edge of the World est situé dans l’escarpement de Tuwaiq qui traverse le centre de l'Arabie saoudite (Shutterstock) 

Lors de la dernière étape de notre randonnée, nous avons franchi les principales portes d’accès à Sha’ib Kharmah (une vallée d’acacias). Nous atteignons notre destination après deux heures de route. Jebel Fihrayn est l'une des nombreuses falaises le long de l'escarpement de Tuwaiq, qui traverse le Royaume sur plus de 600 kilomètres – de la province de Najran à la frontière sud de Qassim, et se terminant à Az-Zulfi. 

«Il y a trente à trente-cinq ans, des expatriés explorant la région se sont trouvés face à cette falaise. Avec une hauteur de 300 mètres et une longueur de plus de 700 mètres, elle offre des panoramas spectaculaires sur l’immensité désertique. Depuis, elle est connue sous le nom de Edge of the World», m'explique Almahmoud. 

Florent Egle, un expatrié français et explorateur passionné m'a dit que lorsqu'il est arrivé pour la première fois dans la région au début de 2010, il n'y avait qu'une seule autre voiture aux alentours, et pas de routes ou de voies pour accéder à la zone. Aujourd’hui, il existe une infrastructure appropriée pour permettre aux visiteurs d'aller et venir facilement», m’a-t-il affirmé. 

Jebel Fihrayn est l'une des nombreuses falaises le long de l'escarpement de Tuwaiq (Shutterstock) 
Jebel Fihrayn est l'une des nombreuses falaises le long de l'escarpement de Tuwaiq (Shutterstock)

Pour les géologues, l’escarpement de Tuwaiq offre une occasion unique d’étudier l’histoire géologique des plus grands champs pétrolifères du monde, dans l’est de l’Arabie saoudite. Charles Kerans, professeur à l'université du Texas à Austin, et chercheur principal dans le projet de calcaire de Tuwaiq Mountain – qui a étudié l'escarpement en personne ainsi que sur Google Earth – l'a décrit comme «unique en son genre». Les sédiments du gisement se sont formés il y a près de quatre millions d'années et remontent aux périodes du Trias et du Jurassique. «Géographiquement, c'est un affleurement très propre avec des couches relativement continues, intactes et préservées», a expliqué Kerans. «L'escarpement est également considéré comme l'un des meilleurs exemples de dépôt d'eau chaude au monde – très chaud, bas  et avec d'excellents exemples de dépôts marins de l'époque où la péninsule Arabique était une mer tropicale peu profonde.» 

Cela explique pourquoi il n'est pas rare de trouver des fossiles vieux de deux-cents millions d'années, comme des coraux et des palourdes, le long du chemin. L'escarpement présente un intérêt non seulement géographique, mais également historique. 

Wadi ad-Dawasir (Shutterstock) 
Wadi ad-Dawasir (Shutterstock)

Au IIIᵉ siècle av. J.-C, la péninsule Arabique détenait le monopole de la production et du commerce de l'encens et de la myrrhe. Connue sous le nom de Route de l'encens, la route commerciale passait par Hadramout, dans l'actuel Yémen, et se dirigeait vers la Perse, tandis que la route occidentale traversait l'Empire romain. 

En sortant de la voiture et en me dirigeant vers la «fenêtre à encadrement rocheux», je m'attendais à voir une autre série de montagnes indéfinissables. Mais, à ma grande surprise, l’escarpement s’arrête brusquement et cède la place en contrebas à des oueds asséchés et des vallées d'acacias. 

Les vastes étendues de la région m'ont émerveillé. De chaque côté, des crêtes, des falaises de grès et de larges gorges traversent le plateau. Alors que le soleil se couchait contre les crêtes de la formation rocheuse, la zone entière resplendissait avec des nuances discrètes de rouge et de brun. La vallée en contrebas a fusionné avec le ciel en une entité brumeuse, semblant se prolonger à l’infini. Le vaste désert s'étendait en dessous de moi, et j'avais l'illusion que je me trouvais au bout du monde. 

Après avoir découvert la magnificence de la région et appris quelle était sa signification géographique et historique, je pense encore aux paroles de Kerans. Vraiment unique en son genre. 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur arabnews.com 


Décès de la chanteuse britannique Marianne Faithfull, voix singulière du rock

L'icône de la pop britannique Marianne Faithfull se produit sur scène lors d'un concert le 15 mars 2007 à Châlons-en-Champagne, dans l'est de la France. La chanteuse et actrice britannique Marianne Faithfull, surtout connue pour son tube "As Tears Go By", est décédée à l'âge de 78 ans, a annoncé un porte-parole le 30 janvier 2025. (AFP)
L'icône de la pop britannique Marianne Faithfull se produit sur scène lors d'un concert le 15 mars 2007 à Châlons-en-Champagne, dans l'est de la France. La chanteuse et actrice britannique Marianne Faithfull, surtout connue pour son tube "As Tears Go By", est décédée à l'âge de 78 ans, a annoncé un porte-parole le 30 janvier 2025. (AFP)
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  • La chanteuse et actrice britannique Marianne Faithfull, icône folk-rock à la voix singulière et à la vie mouvementée, est décédée jeudi à l'âge de 78 ans
  • Mick Jagger et Keith Richards ont exprimé leur tristesse sur les réseaux sociaux

LONDRES: La chanteuse et actrice britannique Marianne Faithfull, icône folk-rock à la voix singulière et à la vie mouvementée, est décédée jeudi à l'âge de 78 ans, une disparition qui a aussitôt suscité l'hommage des Rolling Stones.

Mick Jagger et Keith Richards ont exprimé leur tristesse sur les réseaux sociaux. "Elle était une merveilleuse amie, une magnifique chanteuse et une grande actrice", a écrit Jagger, qui a partagé sa vie. "Elle va me manquer", a aussi réagi Richards.

Un peu plus tôt, un porte parole de la chanteuse avait annoncé son décès. "Elle s'est éteinte paisiblement à Londres aujourd'hui, en compagnie de sa famille", indique un communiqué transmis à l'AFP.

La chanteuse Carla Bruni-Sarkozy a dit "au-devoir à sa très chère amie Marianne". "Repose en paix, Marianne", a écrit l'autrice J.K. Rowling.

A l'époque du "Swinging London" dans les années 1960, la chanteuse blonde est repérée lors d'une soirée par le manager des Stones, Andy Oldham. Mick Jagger et Keith Richards lui proposent de chanter leur titre "As Tears Go By" (1964), avec lequel elle entre dans le Top 10 britannique à seulement 17 ans.

Viennent ensuite d'autres succès: "Come and Stay With Me", "This Little Bird" et "Summer Nights".

Marquée par des hauts et des bas liés à des problèmes de toxicomanie, sa carrière l'a aussi menée au théâtre et au cinéma.

Marianne Faithfull est née le 29 décembre 1946 à Londres d'un père officier, espion de Sa Majesté, et d'une aristocrate autrichienne.

Mariée à 18 ans avec le galeriste John Dunbar, elle le quitte bientôt pour Mick Jagger, dont elle sera la compagne et la muse entre 1966 et 1970.

En 1968, elle joue le rôle d'une motarde nue sous sa combinaison en cuir dans "La motocyclette" de Jack Cardiff, avec Alain Delon.

C'est l'époque où elle est entraînée dans ce qu'elle appellera le "cirque permanent" des Rolling Stones, et devient progressivement accro à l'héroïne.

 

- Renaissance musicale -

 

Sa relation avec Mick Jagger et leurs frasques, qui font la Une des tabloïds britanniques, auraient inspiré les tubes "Wild Horses" et "You Can't Always Get What You Want".

S'ensuivent une tentative de suicide, la fin de leur relation, la perte de la garde de son fils né de sa précédente union, et une descente aux enfers dans les squats et les rues de Soho, à Londres.

Elle survit de justesse à une overdose, mais les drogues dures et la nicotine ont marqué sa voix, devenue rocailleuse.

Elle confiait à l'AFP en 2014: "honnêtement, certains de mes souvenirs des années 60 sont merveilleux et d'autres sont horribles".

Elle traverse ensuite une période punk, pendant laquelle elle chante des textes mordants et désabusés comme "Why D'Ya Do It?" ou "Working Class Hero" de John Lennon. L'album "Broken English" (1979), qui signe son retour, est considéré comme un classique.

Elle prend ensuite un tournant plus jazz et blues, avec son album "Strange Weather". Dans les années 1990, une cure de désintoxication lui permet de remonter la pente.

Au cinéma, elle apparaît dans "Intimité" de Patrice Chéreau ou Marie-Antoinette (2006) de Sofia Coppola, où elle interprète Marie-Thérèse d'Autriche.

Ces dernières années, la chanteuse avait souffert de multiples problèmes de santé, dont un cancer du sein et une maladie pulmonaire causée par des années de tabagisme.

Elle avait collaboré avec des artistes comme PJ Harvey et Nick Cave, qui l'ont décrite comme une de leurs sources d'inspiration.

En 2020, elle avait été sévèrement affectée par le Covid-19 et hospitalisée, au point où les médecins ont cru qu'elle n'y survirait pas. Mais la chanteuse était allée au bout de son 21e et dernier album, "She Walks in Beauty".

"Cette pandémie m'a salement touchée, j'ai failli mourir", avait-elle confié à l'AFP en 2021, craignant "ne plus pouvoir chanter un jour".

Marianne Faithfull, qui a vécu à Paris, était rentrée à Londres depuis quelques années pour se rapprocher de son fils et de ses petits-enfants.


Eurovision 2025: Louane représentera la France

La chanteuse française Louane pose sur le tapis rouge à son arrivée pour assister à la 26e édition de la cérémonie des NRJ Music Awards au Palais des Festivals, à Cannes, dans le sud-est de la France, le 1er novembre 2024. (AFP)
La chanteuse française Louane pose sur le tapis rouge à son arrivée pour assister à la 26e édition de la cérémonie des NRJ Music Awards au Palais des Festivals, à Cannes, dans le sud-est de la France, le 1er novembre 2024. (AFP)
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  • La chanteuse pop Louane, 28 ans, a annoncé jeudi sur Instagram qu'elle allait "représenter la France" à l'Eurovision
  • La chanteuse "portera les espoirs de tout un pays lors de la grande finale de l’Eurovision 2025, le 17 mai à Bâle en Suisse", a confirmé France Télévisions dans un communiqué

PARIS: La chanteuse pop Louane, 28 ans, a annoncé jeudi sur Instagram qu'elle allait "représenter la France" à l'Eurovision, concours européen dont la finale se tiendra le 17 mai à Bâle, en Suisse.

"Je suis sûre que tu es fière, que tu regardes de loin, alors tu sais quoi ? Je vais le faire pour nous, je vais le faire pour nos rêves: je vais représenter la France à l'Eurovision", a annoncé l'interprète de "Secret" et autres tubes pop, dans un message vidéo posté sur son compte Instagram (1,2 million d'abonnés).

Anne Peichert - alias Louane - fait référence à sa mère, décédée d'un cancer en 2014. Sa vidéo est illustrée par des photos de famille d'elle, enfant puis adolescente déjà passionnée de musique.

"Je me rappelle de toutes ces soirées, des paillettes dans mes yeux chaque année, on ne pouvait rater ça pour rien au monde", se remémore aussi Louane, en voix off de cette vidéo d'annonce.

"On était à des années-lumières de s'imaginer que ce soit possible mais t'en rêvais. Moi aussi j'en rêvais de cette vie-là, de ce moment", ajoute-t-elle.

La chanteuse "portera les espoirs de tout un pays lors de la grande finale de l’Eurovision 2025, le 17 mai à Bâle en Suisse", a confirmé France Télévisions dans un communiqué.

"C'est une grande fierté d'accueillir Louane dans la famille Eurovision. Une artiste authentique, passionnée et passionnante. Elle a déjà conquis le public français qui la connaît et l'aime depuis toujours", déclare Alexandra Redde-Amiel, cheffe de la délégation française à l'Eurovision et directrice des divertissements et des jeux de France Télévisions, dans ce communiqué.

La chanteuse, appréciée par un public intergénérationnel, a vu sa carrière décoller après sa participation au télé-crochet musical "The Voice" (TF1) en 2014.

L'émission lui permet aussi d'être repérée pour jouer le premier rôle dans le film "La Famille Bélier", gros succès de fin 2014 avec 7,5 millions d'entrées.

Son premier opus "Chambre 12", certifié double diamant, marque le coup d'envoi d'un succès aussi populaire que durable.

Pour "Solo", cinquième album studio sorti en octobre, l'artiste travaille avec son compagnon, le chanteur et musicien Florian Rossi, et dévoile une facette plus intime d'elle-même.

Elle succède à Slimane, qui avait pris la quatrième place de l'Eurovision en 2024, avec "Mon amour".

La France n'a plus remporté ce grand concours européen de la chanson depuis la victoire de Marie Myriam, en 1977.


Ithra présente des trésors islamiques historiques lors de la deuxième biennale des arts islamiques 

La biennale de cette année, intitulée « And All That Is In Between », explore les différentes façons dont la foi est vécue, exprimée et célébrée. (Photo fournie)
La biennale de cette année, intitulée « And All That Is In Between », explore les différentes façons dont la foi est vécue, exprimée et célébrée. (Photo fournie)
La biennale de cette année, intitulée « And All That Is In Between », explore les différentes façons dont la foi est vécue, exprimée et célébrée. (Photo fournie)
La biennale de cette année, intitulée « And All That Is In Between », explore les différentes façons dont la foi est vécue, exprimée et célébrée. (Photo fournie)
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  • Un édit ancien, un fragment de tapis de prière et un manuscrit religieux parmi les objets exposés
  • L'événement explore les façons dont la foi est vécue, exprimée et célébrée

DJEDDAH : Des objets islamiques historiques sont exposés par le Centre du roi Abdulaziz pour la culture mondiale à l'occasion de la deuxième édition de la Biennale des arts islamiques qui se tient actuellement à Djeddah.

Se déroulant jusqu'au 25 mai dans l'emblématique terminal occidental du Hadj, la biennale de cette année, intitulée « And All That Is In Between » (en français, « Et tout ce qui se trouve entre les deux »), explore les façons dont la foi est vécue, exprimée et célébrée.

Parmi les pièces exposées figurent un édit du sultan ottoman Mustafa III, qui a régné de 1757 à 1774, concernant la tombe du prophète Mahomet, un fragment de tapis de prière, un manuscrit de tafsir (interprétation du Coran), un support de manuscrit pliant, une lampe de mosquée et un grand minbar (chaire) en bois.

Ithra, qui est reconnu comme un leader mondial dans le domaine des arts et du patrimoine islamiques, présentera ses pièces dans la section Al-Madar de la biennale. Cette exposition rassemble des contributions d'institutions locales et internationales de premier plan, soulignant la richesse et la diversité de la culture islamique.

« C'est un privilège pour Ithra de participer à la biennale », a déclaré Farah Abushullaih, directrice du musée d'Ithra. « C'est un privilège pour la collection islamique d'Ithra d'être présentée une fois de plus à cette prestigieuse biennale, qui célèbre la diversité et la profondeur des arts islamiques ».

« Notre participation souligne notre engagement permanent à préserver et à partager le riche patrimoine de l'art islamique avec un public mondial, tout en développant la connaissance des concepts clés des traditions islamiques qui ont façonné et continuent de façonner les identités islamiques aujourd'hui », a-t-elle ajouté. 

Les objets exposés, qui ont été soigneusement sélectionnés en collaboration avec Heather Ecker et Marika Sardar de l'équipe de conservation d'Al-Madar, reflètent le thème du waqf. Ce concept islamique fondamental consiste à consacrer des biens au bénéfice de la communauté, en soutenant des initiatives religieuses, éducatives ou caritatives.

La participation d'Ithra s'inscrit dans sa mission d'inspirer, d'enrichir et d'encourager l'appréciation du patrimoine islamique par le biais de diverses initiatives, notamment sa conférence triennale sur l'art islamique et ses grandes expositions. L'exposition "In Praise of the Artisan" (Éloge de l'artisan) présente plus de 130 œuvres historiques et contemporaines, dont beaucoup sont exposées au public pour la première fois.

Grâce à sa solide programmation de conférences, d'ateliers et de démonstrations en direct, Ithra continue d'honorer le passé et le présent, en positionnant l'artisanat islamique comme une tradition vivante. Ses efforts soulignent le rôle de l'institution en tant que championne mondiale de l'échange culturel et de la créativité.

La Biennale des arts islamiques, organisée par la Fondation de la Biennale de Diriyah, offre une plateforme pour explorer les arts et les traditions islamiques.

La première édition de l'événement en 2023, à laquelle Ithra a également participé, a attiré plus de 600 000 visiteurs.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com