Le projet de la mer Rouge s'apprête à lancer des ventes sur plan, révèle John Pagano

Le projet de la mer Rouge a été annoncé par le prince héritier Mohammed ben Salmane en juillet 2017. Lorsqu'il sera achevé en 2030, il comprendra 50 hôtels offrant jusqu'à 8 000 chambres d'hôtel et 1 300 propriétés résidentielles sur 22 îles et six sites à l'intérieur des terres.
Le projet de la mer Rouge a été annoncé par le prince héritier Mohammed ben Salmane en juillet 2017. Lorsqu'il sera achevé en 2030, il comprendra 50 hôtels offrant jusqu'à 8 000 chambres d'hôtel et 1 300 propriétés résidentielles sur 22 îles et six sites à l'intérieur des terres.
 John Pagano, PDG de The Red Sea Development Co. (TRSDC)
John Pagano, PDG de The Red Sea Development Co. (TRSDC)
Le projet de la mer Rouge a été annoncé par le prince héritier Mohammed ben Salmane en juillet 2017. Lorsqu'il sera achevé en 2030, il comprendra 50 hôtels offrant jusqu'à 8 000 chambres et 1 300 propriétés résidentielles sur 22 îles et six sites à l'intérieur des terres.
Le projet de la mer Rouge a été annoncé par le prince héritier Mohammed ben Salmane en juillet 2017. Lorsqu'il sera achevé en 2030, il comprendra 50 hôtels offrant jusqu'à 8 000 chambres et 1 300 propriétés résidentielles sur 22 îles et six sites à l'intérieur des terres.
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Publié le Jeudi 11 février 2021

Le projet de la mer Rouge s'apprête à lancer des ventes sur plan, révèle John Pagano

  • Le lancement de Coral Bloom ne représente qu'une partie des projets qui se développent à une grande vitesse le long de la côte saoudienne de la mer Rouge
  • John Pagano confirme que les quatre premiers hôtels ainsi qu’un aéroport international ouvriront d'ici à la fin de l'année prochaine

DJEDDAH : Le lancement, mercredi dernier, du projet d'île de luxe en forme de dauphin, Coral Bloom, ne représente qu'une partie des projets qui se développent très vite le long de la côte saoudienne de la mer Rouge. Le principal développeur de ce projet est sur le point de finaliser 3,7 milliards de dollars (soit 3,05 milliards d’euros) d'investissement de banques locales, et les ventes devant débuter sur plan au deuxième trimestre de cette année.

Dans une interview exclusive pour Arab News, John Pagano, PDG de The Red Sea Development Co. (TRSDC), confirme que les ventes sur plan d'unités immobilières commenceront au deuxième trimestre, mais dans une capacité limitée à environ 300 ou 400 unités. Il explique par ailleurs que la majorité des unités vendues à l’occasion de la première phase seront placées dans le pool de locations destinées aux invités.

TRSDC est détenue à 100% par le Fonds d’investissement public saoudien (FIP) et son objectif principal est le projet de la mer Rouge annoncé par le prince héritier, Mohammed ben Salmane, en juillet 2017.

Les travaux sur le site du projet sont bien avancés et le développeur a indiqué l'année dernière qu'il avait attribué environ 4 milliards de dollars (soit 3,29 milliards d’euros) à des projets de construction en 2020.

John Pagano confirme que les quatre premiers hôtels ainsi qu’un aéroport international ouvriront d'ici à la fin de l'année prochaine.

Douze autres hôtels devraient ouvrir avant 2023 et, une fois achevé, en 2030, le projet comprendra 50 hôtels qui proposeront jusqu'à 8 000 chambres et 1 300 propriétés résidentielles réparties sur 22 îles ainsi que sur 6 sites à l'intérieur des terres.

Mercredi dernier, le prince héritier a lancé le développement de Coral Bloom dans le cadre du projet de la mer Rouge.

Conçu par le cabinet d'architecture britannique de renommée mondiale Foster + Partners et situé sur l'île principale du projet, il constituera le quatrième plus grand récif corallien du monde.

À propos de la conception de Coral Bloom et de l’ensemble du projet de la mer Rouge, Pagano précise que l'accent a été mis sur la préservation de l'environnement unique de ce site.

Avec seulement 22 îles sélectionnées pour le développement du projet – sur plus de 90 –, le PDG montre combien il est important de préserver la nature. L'équipe de construction «travaillera autour de la biodiversité unique de la zone afin de l’améliorer».

Au mois de janvier, Pagano a également été nommé PDG d'Amaala, un projet de tourisme de luxe de 4 000 km² situé à peu près à mi-chemin entre le gigantesque développement de Neom, au Nord, et la ville portuaire de Djeddah, plus au Sud.

Le projet de la mer Rouge et Amaala sont soutenus par le FIP, et Pagano indique que sur les 3,9 milliards de dollars déjà fournis par le fonds souverain destiné au développement des deux projets, 1 milliard de dollars, soit 820 millions d’euros, ont été dépensés jusqu'à présent.

Il confirme que 3,7 milliards de dollars (3,05 milliards d’euros) supplémentaires seront fournis par les banques saoudiennes locales et que l’affaire sera conclue prochainement, portant le capital total des deux projets à 7,8 milliards de dollars (6,43 milliards d’euros).

Bien que les projets aient reçu le soutien de développeurs et de bailleurs locaux, Pagano précise qu’il souhaite exploiter le marché international de l'investissement, mais qu'il est conscient que beaucoup exigeront de voir une esquisse du projet avant de signer.

«Les investisseurs font face à des choix, et ils appliqueront des primes de risque différentes en fonction de leur perception du risque», explique-t-il, ajoutant que s'il s'agit actuellement d'un «marché non testé et non prouvé». Il se dit confiant: lorsque les investisseurs internationaux seront en mesure de voir le projet de la mer Rouge ainsi que les plans du gouvernement pour la région, ils se joindront à eux.

«Nous créons un environnement propice pour que les gens viennent investir avec nous. Mon objectif est de livrer la première phase du projet de la mer Rouge, de livrer les premières phases d'Amaala et de montrer au monde ce que l'Arabie saoudite a à offrir», affirme-t-il encore.

«Plus nous approchons de cette étape, plus ils pourront constater les réalisations. Je pense que cela ouvrira grand les portes aux investissements.»

Alors que les ventes sur plan devraient être lancées au deuxième trimestre, Pagano souligne que de grandes opportunités seront proposées aux premiers investisseurs qui devraient gagner davantage d'argent à long terme.»

Au total, les deux projets offriront 11 000 chambres d'hôtel: 8 000 au Red Sea Project et 3 000 à Amaala. Toutefois, Pagano ne cible pas plus d'un million de visiteurs par an.

«Nous ne recherchons pas le tourisme de masse… Nous allons limiter le nombre de visiteurs. Pourquoi? Parce que nous voulons protéger l'environnement », explique-t-il, ajoutant que l'emplacement constitue le plus grand atout de l'entreprise. «Il s'inscrit dans notre bilan de la même manière que notre capital.»

Un fait illustre l’excellence environnementale de TRSDC: il a déjà validé la première étape de la certification platine dans le cadre de la certification du prix de l'industrie Leadership in Energy and Environmental Design (Leed for Cities), un système de standardisation de bâtiments à haute qualité environnementale.

L'entreprise travaille également avec l’US Green Building Council – une organisation privée qui promeut la durabilité dans la conception, la construction et l’exploitation des bâtiments – pour garantir que l'environnement naturel soit protégé et amélioré, pendant la période de construction et au-delà.

«Nous voulons montrer l'exemple au monde, pas juste prononcer des discours. On peut concevoir le développement différemment: ne pas prendre son capital naturel pour acquis», conclut Pagano.


Gastat: Les exportations non pétrolières de l'Arabie saoudite augmentent de 16,8% au troisième trimestre

 Selon l'Autorité générale des statistiques (Gastat), le Royaume a exporté des biens non pétroliers d'une valeur de 19,58 milliards de riyals saoudiens aux Émirats arabes unis, suivis par l'Inde et la Chine avec 6,78 milliards de riyals saoudiens et 6,48 milliards de riyals saoudiens. (Shutterstock)
Selon l'Autorité générale des statistiques (Gastat), le Royaume a exporté des biens non pétroliers d'une valeur de 19,58 milliards de riyals saoudiens aux Émirats arabes unis, suivis par l'Inde et la Chine avec 6,78 milliards de riyals saoudiens et 6,48 milliards de riyals saoudiens. (Shutterstock)
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  • Les données de la Gastat ont révélé que les importations vers le Royaume ont augmenté de 11,4% en glissement annuel au cours du troisième trimestre
  • Au troisième trimestre, la Chine a représenté la plus grande part des importations avec 53,78 milliards de riyals saoudiens

RIYAD: Les exportations non pétrolières de l'Arabie saoudite ont atteint 79,48 milliards de riyals saoudiens (21,17 milliards de dollars; 1 dollar = 0,96 euro) au troisième trimestre de 2024, soit une hausse de 16,76% par rapport à la même période en 2023, selon les données officielles.

Comme l'indique l'Autorité générale des statistiques (Gastat), le Royaume a exporté des biens non pétroliers d'une valeur de 19,58 milliards de riyals saoudiens aux Émirats arabes unis, suivis par l'Inde et la Chine avec 6,78 milliards de riyals saoudiens et 6,48 milliards de riyals saoudiens.

Les produits chimiques ont dominé les exportations non énergétiques de l'Arabie saoudite au troisième trimestre, représentant 25,5% du total des expéditions, soit une augmentation annuelle de 5,3%. Les produits en plastique et en caoutchouc ont suivi, représentant 24,9% du total, avec une augmentation de 8,9% par rapport au troisième trimestre de 2023.

Le renforcement du secteur privé non pétrolier est un objectif clé de la Vision 2030 de l'Arabie saoudite, alors que le Royaume s'efforce de diversifier son économie et de réduire sa dépendance à l'égard des revenus du pétrole brut.

«La proportion des exportations non pétrolières (y compris les réexportations) par rapport aux importations a augmenté pour atteindre 36,6% au troisième trimestre de 2024, contre 34,9% au troisième trimestre de 2023. Cela est dû à une augmentation de 16,8% des exportations non pétrolières et à une augmentation de 11,4% des importations au cours de cette période», a déclaré la Gastat.  

En octobre, Moody's a prévu que le produit intérieur brut réel hors hydrocarbures du Royaume augmenterait de 5% à 5,5% entre 2025 et 2027, sous l'effet de l'augmentation des dépenses publiques.

Le Fonds monétaire international a prévu que l'économie saoudienne augmenterait de 4,6% en 2025, soutenue par les efforts de diversification visant à renforcer le secteur privé non pétrolier.

Cependant, la Gastat a souligné que les exportations globales de marchandises ont diminué de 7,3% en glissement annuel au cours du troisième trimestre, principalement en raison d'une baisse de 14,9% des exportations de pétrole.

Par conséquent, la part des exportations de pétrole dans les exportations totales est tombée à 71,3% au cours du troisième trimestre, contre 77,3% au cours de la même période de l'année précédente.

Pour stabiliser le marché, l'Arabie saoudite a mis en œuvre une réduction de la production de 500 000 barils par jour en avril 2023, prolongée jusqu'en décembre.

Principaux partenaires commerciaux

La Chine est restée la première destination des exportations de l'Arabie saoudite au troisième trimestre, avec des marchandises d'une valeur de 41,94 milliards de riyals saoudiens. Le Japon et la Corée du Sud ont suivi avec respectivement 25,62 et 25,50 milliards de riyals saoudiens, tandis que l'Inde a reçu 24,35 milliards de riyals saoudiens.

Les données de la Gastat ont révélé que les importations vers le Royaume ont augmenté de 11,4% en glissement annuel au cours du troisième trimestre, atteignant 217,25 milliards de riyals saoudiens, tandis que l'excédent de la balance commerciale des marchandises du pays a diminué de 43,4%.  

Au troisième trimestre, la Chine a représenté la plus grande part des importations avec 53,78 milliards de riyals saoudiens, suivie par les États-Unis et l'Inde avec respectivement 17,58 et 11 milliards de riyals saoudiens.  

Le port du roi Abdelaziz de Dammam a été le principal point d'entrée des marchandises au troisième trimestre, avec des importations évaluées à 64,88 milliards de riyals saoudiens, soit 29,9% du total des expéditions entrantes.  

Parmi les autres principaux terminaux d'entrée des importations, le port maritime islamique de Djeddah a traité 20,1% des expéditions entrantes, suivi de l'aéroport international du roi Khaled de Riyad et de l'aéroport international du roi Abdelaziz, qui ont traité respectivement 12,6% et 6,4% des importations dans le Royaume.  

Statistiques de septembre

Dans un rapport séparé, la Gastat a révélé que les exportations non pétrolières de l'Arabie saoudite ont augmenté de 22,8% en septembre, atteignant 25,95 milliards de riyals saoudiens.  

L'autorité a révélé que le Royaume a envoyé des biens non énergétiques d'une valeur de 6,54 milliards de riyals saoudiens aux EAU en septembre, tandis que l'Inde et la Chine ont reçu des expéditions entrantes d'une valeur de 2,35 milliards de riyals saoudiens et de 1,73 milliard de riyals saoudiens, respectivement.  

Les produits en plastique et en caoutchouc représentaient 25,7% des exportations non pétrolières en septembre, soit une augmentation annuelle de 19,5%, tandis que les produits chimiques représentaient 25,3%, soit une augmentation de 4,4%.

La proportion des exportations non pétrolières par rapport aux importations a atteint 37,1% en septembre, contre 34,8% au cours du même mois en 2023.

Malgré la croissance des exportations non pétrolières, les exportations globales de marchandises ont chuté de 14,9% en septembre en raison d'une baisse de 24,5% des exportations de pétrole. Par conséquent, la part des exportations de pétrole dans les exportations totales est tombée de 79,7% en septembre 2023 à 70,7% en septembre 2024.

La Chine est restée le principal partenaire commercial, recevant 13,91 milliards de riyals saoudiens d'exportations, suivie par le Japon avec 7,98 milliards de riyals saoudiens et les Émirats arabes unis avec 7,49 milliards de riyals saoudiens.

Les autres principales destinations des exportations saoudiennes sont l'Inde, la Corée du Sud, les États-Unis et l'Égypte, ainsi que Singapour, Bahreïn et la Pologne.  

En septembre, les exportations de l'Arabie saoudite vers les pays du Conseil de coopération du Golfe s'élevaient à 12,08 milliards de riyals saoudiens, tandis que la valeur des expéditions vers les pays islamiques non arabes était de 6,71 milliards de riyals saoudiens.  

Selon la Gastat, les importations du Royaume ont augmenté de 15% en glissement annuel en septembre, atteignant 69,88 milliards de riyals saoudiens, tandis que l'excédent de la balance commerciale a diminué de 56,9% au cours de la même période.  

La Chine a occupé la première place dans les importations du Royaume, constituant 25,8 pour cent des importations totales en septembre, évaluées à 17,99 milliards de riyals saoudiens.  

En septembre, l'Arabie saoudite a reçu des envois d'une valeur de 5,39 milliards de riyals saoudiens et de 3,45 milliards de riyals saoudiens en provenance des États-Unis et de l'Allemagne, respectivement.  

Le rapport a révélé que le Royaume a traité des expéditions entrantes d'une valeur de 19,65 milliards de riyals saoudiens, soit 28,1 pour cent des importations totales au port du roi Abdelaziz de Dammam en septembre.  

Le port maritime islamique de Djeddah a traité 17,9% de l'ensemble des expéditions entrantes, tandis que l'aéroport international du roi King Khaled a géré 13,1% du total des marchandises entrantes.  

Le secteur non pétrolier de l'Arabie saoudite est un élément clé de son initiative Vision 2030, qui vise à réduire la dépendance à l'égard du pétrole et à diversifier l'économie.  

Des initiatives telles que les mégaprojets, les investissements dans les énergies renouvelables et l'expansion d'industries telles que l'industrie manufacturière, la logistique et le tourisme visent à stimuler la croissance et la création d'emplois.  

Ces efforts renforcent la position commerciale mondiale du Royaume et attirent les investissements étrangers, le secteur non pétrolier jouant un rôle de plus en plus vital dans sa transformation économique.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Mikati: L'attaque militaire israélienne au Liban est un rejet de la solution politique

Un véhicule militaire endommagé se trouve sur les lieux d'une frappe aérienne israélienne qui a visé un poste de l'armée libanaise à Amriyeh, dans le sud du Liban, le 24 novembre 2024. (AFP)
Un véhicule militaire endommagé se trouve sur les lieux d'une frappe aérienne israélienne qui a visé un poste de l'armée libanaise à Amriyeh, dans le sud du Liban, le 24 novembre 2024. (AFP)
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  • L'attentat s'est produit alors que le haut diplomate européen Josep Borrell, en visite au Liban, a appelé à un cessez-le-feu immédiat dans le cadre de la guerre entre Israël et le Hezbollah
  • Mikati a appelé «les pays du monde et les institutions internationales compétentes à assumer leurs responsabilités à ce sujet»

BEYROUTH: Une frappe israélienne sur un centre de l'armée libanaise a tué, dimanche, un soldat et blessé 18 autres, a déclaré l'armée libanaise. Le Premier ministre sortant, Najib Mikati, a qualifié l'attaque de «message sanglant direct rejetant tous les efforts pour parvenir à un cessez-le-feu».

L'attentat s'est produit alors que le haut diplomate européen Josep Borrell, en visite au Liban, a appelé à un cessez-le-feu immédiat dans le cadre de la guerre entre Israël et le Hezbollah.

Selon le commandement de l'armée libanaise, le premier adjudant, Diab Mohammed Jaafar, a été tué lorsqu'Israël a pris pour cible le poste de contrôle d'Al-Amariyeh, sur la route entre Tyr et la ville de Naqoura.

Dans un communiqué, Mikati a déclaré: «Les messages d'Israël rejetant une solution se poursuivent et, tout comme il s'est opposé à l'appel franco-américain en faveur d'un cessez-le-feu en septembre, il réagit une fois de plus en faisant couler le sang libanais et en rejetant de manière flagrante la solution qui est discutée.»


Les Émirats arabes unis arrêtent trois suspects dans le meurtre de Zvi Kogan

Zvi Kogan se tient à l'extérieur d'un supermarché, à Dubaï, aux Émirats arabes unis, le 18 novembre 2024, dans cette capture d'écran obtenue à partir d'une vidéo diffusée sur les médias sociaux. (@dudikepler/Reuters)
Zvi Kogan se tient à l'extérieur d'un supermarché, à Dubaï, aux Émirats arabes unis, le 18 novembre 2024, dans cette capture d'écran obtenue à partir d'une vidéo diffusée sur les médias sociaux. (@dudikepler/Reuters)
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  • Ministère de l'Intérieur : Les Émirats arabes unis ont une capacité inébranlable à faire face à toute tentative d'atteinte à la sécurité et à la stabilité de leur société
  • Après avoir reçu un avis de disparition de la part de la famille de la victime, une équipe de recherche et d'enquête spécialisée a été constituée, a rapporté l'agence de presse Emirates News Agency, citant le ministère

DUBAI : Les autorités ont arrêté trois suspects impliqués dans le meurtre du ressortissant moldave Zvi Kogan, a annoncé dimanche le ministère de l'Intérieur des Émirats arabes unis.

Après avoir reçu un avis de disparition de la part de la famille de la victime, une équipe de recherche et d'enquête spécialisée a été constituée, a rapporté l'agence de presse Emirates News Agency, citant le ministère.

Ces recherches ont abouti à la découverte du corps de la victime, à l'identification et à l'arrestation des auteurs du crime, ainsi qu'à l'engagement des procédures judiciaires nécessaires. M. Kogan vivait aux Émirats arabes unis en tant que résident, a indiqué l'agence WAM.

Le ministère a réaffirmé la capacité inébranlable des Émirats arabes unis à faire face à toute tentative d'atteinte à la sécurité et à la stabilité de sa société.

Il a affirmé que les Émirats arabes unis et leurs institutions s'engageaient pleinement à préserver la sécurité de leurs citoyens, de leurs résidents et de leurs visiteurs.